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Bible Commentaries
1 Thessaloniciens 5

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versets 1-28

1 � 11 Le jour du Seigneur viendra inattendu : veillons

Soit que l�ap�tre e�t appris que les chr�tiens de Thessalonique se livraient � des recherches curieuses, � de st�riles calculs sur l��poque de la venue de Christ, soit qu�il voul�t simplement pr�venir les fausses cons�quences qu�ils aurait pu tirer de l�instruction qui pr�c�de, (1 Thessaloniciens 4:13-18) il s�applique ici, et surtout 2 Thessaloniciens 2:1-3, � donner � cette attente du retour de J�sus son vrai caract�re religieux, moral, pratique, et pour cela il ne fait gu�re que rappeler des paroles du Seigneur lui-m�me, et en tirer de s�rieux avertissements (comparer 1 Thessaloniciens 4:15, note).

Les temps indiquent l�intervalle qui peut nous s�parer encore de la venue du Sauveur; les �poques signifient les moments pr�cis, les circonstances de cette venue (comparer Actes 1:7) Les Thessaloniciens n�avaient pas besoin d�instructions sur ce point, elles ne pouvaient pas leur �tre donn�es, m�me par l�ap�tre, et la raison en est verset 2.

Le jour du Seigneur, le jour de son retour pour le jugement du monde (1 Corinthiens 1:8; 1 Corinthiens 5:5; 2 Corinthiens 1:14; Philippiens 1:6-10; 2 Thessaloniciens 2:2); les �critures insistent toujours sur l�incertitude absolue de ce jour (1 Thessaloniciens 4:15, note.)

L�image qu�emploie ici l�ap�tre est emprunt�e aux discours du Seigneur (Matthieu 24:43; Matthieu 24:44; Luc 12:39; Luc 12:40; comparez Apocalypse 3:3; Apocalypse 16:15), et l�on voit par ces paroles de Paul : vous savez vous-m�mes, que ces enseignements avaient �t� transmis aux chr�tiens de Thessalonique.

Le Seigneur d�crit aussi, par d�autres images, la s�curit� fatale dans laquelle vit le monde au sujet de sa venue (Matthieu 24:37-39; Luc 17:26-30).

Une femme enceinte ignorant le moment pr�cis des douleurs, mais de douleurs in�vitables, qui peuvent la surprendre au milieu de la joie ou au sein du sommeil, cette image est d�une saisissante v�rit�.

Un Dieu qui nous avertit si souvent et de tant de mani�res que nous serons surpris, est bien loin de vouloir nous surprendre. C�est l�oubli de Dieu et notre propre incr�dulit�, qui causent une surprise si d�plorable, et qui est sans ressource.� Quesnel

Les t�n�bres indiquent ici, selon le sens profond des �critures, tout l��tat intellectuel et moral de l�homme �tranger � Dieu et irr�g�n�r�, sa vie charnelle, (Romains 13:12; Romains 13:13) ses errements, son aveuglement spirituel.

Au contraire, comme Dieu est la lumi�re, celui qui marche en Dieu sait o� il est et o� il va; il ne bronche pas, il n�est point surpris (Jean 3:19; Jean 8:12; 1 Jean 1:6; 1 Jean 1:7).

Sur cette expression : fils de la lumi�re, du jour, voir Jean 12:36; �ph�siens 5:8.

Le jour qui a dissip� les t�n�bres (Romains 13:12) est d�j� l�aurore du jour de Christ dans le c�ur des fid�les; la lumi�re ne fait plus qu�y grandir jusqu�� sa perfection, qui sera atteinte quand Christ para�tra. Ils ne peuvent donc plus �tre surpris, ni se livrer encore aux �uvres des t�n�bres (verset 6 et suivants).

Toutes les �uvres des t�n�bres m�ritent ce nom, au propre comme au figur�, parce que, de toutes mani�res, elles fuient le jour et la lumi�re.

Rien de tout cela ne convient plus aux �?fils de la lumi�re?�, qui opposent la vigilance au sommeil, et la sobri�t� � l�enivrement (verset 6).

Il ne suffit pas, pour �viter les �uvres des t�n�bres, de veiller et d��tre sobre; il faut combattre, repousser tous les assauts du tentateur.

Et, � cet effet, le chr�tien poss�de des armes qui lui sont propres. L�ap�tre en fait ailleurs une �num�ration plus compl�te (�ph�siens 6:11-18, note). Ces armes, pour parler sans figure, sont la foi, l�amour, l�esp�rance, que l�ap�tre trouvait avec bonheur chez ses fr�res de Thessalonique, (voir 1 Thessaloniciens 1:3, note) et qu�il rappelle encore ici.

L�esp�rance ferme du salut (verset 8) se fonde sur le d�cret de la gr�ce de Dieu, qui nous a destin�s, non � la col�re, mais � l�acquisition du salut, et sur la mort de Christ pour nous; mais cette esp�rance, � son tour, doit, � la fois, sanctifier la vie et �carter toute appr�hension et toute crainte � la pens�e du retour de Christ.

L�ap�tre emploie ici ces mots dans un sens tout diff�rent de celui du verset 6. Il revient � l�id�e qu�il a exprim�e dans les m�mes termes � 1 Thessaloniciens 4:13-15.

Dormir, c�est l�image de la mort; veiller, c�est l�image de la vie. Sa pens�e est donc : que nous soyons encore trouv�s vivants � la venue du Seigneur, ou que nous soyons parmi �?ceux qui dorment?� et qu�il ressuscitera, nous vivrons tous ensemble avec lui. Pr�cieuse assurance (1 Thessaloniciens 4:17, note).

Ce mot exhortez-vous les uns les autres est le m�me que nous rendons (1 Thessaloniciens 4:18) par �?consolez-vous les uns les autres?�, le terme original ayant les deux sens. Et il n�est pas s�r qu�ici l�ap�tre ne pense pas de m�me � la consolation puissante que les chr�tiens doivent se communiquer les uns aux autres par l�assurance qu�ils ont de vivre tous ensemble avec le Seigneur.

Quoi qu�il en soit, ils sont certainement appel�s � s�exhorter, � se consoler mutuellement, et ainsi � s��difier l�un l�autre.

�difier, c�est b�tir, rendre toujours plus ferme l��difice de la foi, de l�esp�rance, de la charit� (voir sur le sens de ce mot Romains 14:19, note). comparez 1 Corinthiens 3:9; 1 Corinthiens 10:23; 1 Corinthiens 14:4; 1 Corinthiens 14:17.

Comparer 1 Corinthiens 16:16 note. On con�oit facilement combien il est indispensable que les ministres de la Parole de Dieu soient estim�s et aim�s, � cause de leur �uvre, �uvre excellente et sainte, qui ne peut avoir de succ�s qu�� cette condition. Mais, d�autre part, Paul plaide leur cause en rappelant les devoirs et les renoncements qui leur incombent, bien plus qu�il ne revendique pour eux des honneurs.

En g�n�ral, l�exp�rience prouve que ceux qui travaillent, qui pr�sident dans le Seigneur, qui avertissent, sont consid�r�s et aim�s de leurs troupeaux. Les troupeaux toutefois peuvent faillir � leurs obligations, et, dans ce cas, l�exhortation de l�ap�tre, ou plut�t son humble pri�re, (verset 12) leur rappelle leur devoir.

Une variante porte : �?entre eux?�, ou �?avec eux?�, c�est-�-dire avec ceux qui pr�sident. Elle n�est pas fond�e, mais cette exhortation g�n�rale � conserver la paix peut se lier � celle qui pr�c�de, la d�sunion, le trouble dans les troupeaux venant souvent d�un manque d��gards pour les pasteurs et pour leurs avertissements.

On voit que l�ap�tre recommande � tous les membres de l��glise, et non pas seulement � ses conducteurs de pratiquer cet amour fraternel, plein � la fois de fid�lit� et de tendre support.

Il faut de la s�v�rit� pour arr�ter les d�r�glements qui viennent des esprits brouillons et inquiets; de la douceur pour encourager ceux qui se laissent abattre par leurs fautes ou par leurs scrupules; de l�application et de la charit� pour souffrir et instruire ceux qui p�chent par d�faut de lumi�re et d�instruction.� Quesnel

Voir sur cet exercice de la charit�, qui est le devoir le plus important de la vie chr�tienne, mais qui est difficile pour les croyants eux-m�mes, Romains 12:20; Romains 12:21, note.

Comment peut-on �tre toujours joyeux ? L�ap�tre nous l�apprend ailleurs (Romains 12:12; Philippiens 2:17-18; Philippiens 4:4).

Toujours sous la croix, et toujours dans la joie : c�est un paradoxe que l��vangile nous enseigne, et que la seule gr�ce de J�sus-Christ nous peut faire comprendre et pratiquer.� Quesnel

Tel est encore le moyen d��tre toujours joyeux.

Par la pri�re l��me s��l�ve au-dessus des choses visibles qui la troublent et l�attristent, se r�fugie dans le sein de Dieu, et jouit des biens �ternels, source de toute joie (Romains 12:12; �ph�siens 6:18; Colossiens 4:2).

Prier sans cesse ne signifie pas seulement s�adonner fid�lement � la pri�re � certains moments qu�il faut savoir mettre � part pour cela, mais �tre toujours en communion avec Dieu, avoir le c�ur dirig� vers lui, l�implorer en secret, ce qui est possible au sein de la vie la plus occup�e (comparer �ph�siens 6:18; Colossiens 4:2).

Jamais le chr�tien ne doit prier sans rendre gr�ces pour les bienfaits qu�il a re�us. Rien ne dispose mieux � la pri�re que cette reconnaissance du c�ur. Celle-ci est la volont� de Dieu � notre �gard, et le moyen de lui �tre agr�able (�ph�siens 5:20).

L�expression figur�e dont se sert l�ap�tre vient de ce qu�il consid�re l�Esprit de Dieu comme une flamme ou un feu susceptible de s��teindre.

On peut l�entendre des mouvements du Saint-Esprit dans le c�ur qui sont �touff�s par l�influence de la chair ou du monde (comparer �ph�siens 4:30). Mais ainsi que le prouve le verset suivant, l�ap�tre pense plut�t aux manifestations de l�Esprit de Dieu dans l��glise, aux dons, que Dieu distribue comme il le veut (1 Corinthiens 14).

On pouvait �teindre les dons de l�Esprit en n�en permettant pas l�expression et l�application au profit de tous. On �teint l�Esprit aujourd�hui encore par des institutions d��glise et de culte qui n�offrent aux membres vivants du troupeau aucun moyen de faire valoir ce qu�ils re�oivent pour l��dification commune; on l��teint par des formes invariables qui ne laissent aucune place aux manifestations infiniment vari�es du souffle divin; on l��teint surtout lorsqu�on lui trace, au moyen de certaines c�r�monies r�serv�es � une seule classe d�hommes, un canal par lequel seul il doit venir animer l��glise (Succession apostolique, interm�diaire oblig� du pr�tre ou du pasteur).

C�est une des principales causes de la d�cadence de notre �glise, remarque Gerlach, que l�action des la�ques, l�expression des dons qu�ils ont re�us de Dieu pour l�utilit� de tous, n�a aucune sph�re d�activit� qui lui soit assign�e dans le troupeau.

L�ap�tre mentionne, comme exemple, l�un des dons de l�Esprit que l�on pouvait �teindre, le don de proph�tie, (Romains 12:6; 1 Corinthiens 12:10) l�un des plus excellents, (1 Corinthiens 14:5) par lequel Dieu communiquait � l��glise de nouvelles lumi�res, des r�v�lations (Il ne s�agit pas des proph�ties �crites de l��criture, que nul n��tait tent� de m�priser).

Il pouvait arriver que l�on trait�t ce don avec trop peu d�estime, soit par un manque d�intelligence, soit parce que celui qui pr�sidait les assembl�es avait un soin exag�r� de l�ordre, soit parce qu�il s��tait �lev� de faux proph�tes qui discr�ditaient ce don chez d�autres (2 Thessaloniciens 2:2; 1 Jean 4:1).

Cette exhortation compl�te et modifie la pr�c�dente; les chr�tiens ne devaient point m�priser le don de proph�tie, mais tout aussi peu recevoir sans examen tout homme qui pr�tendait � ce don, et toute doctrine qu�il apportait. De l� cette particule adversative (mais) omise � tort par le texte re�u.

De l� aussi il ressort d�apr�s le contexte, que ces mots : mais �prouvez toutes choses, ne doivent pas se prendre dans le sens universel qu�on leur donne ordinairement; ils s�appliquent imm�diatement au discernement des esprits (1 Corinthiens 12:10; 1 Jean 4:1).

Paul n��tablit point la raison comme juge de la r�v�lation; mais, selon l�ordre de Dieu, les op�rations et les dons de son Esprit sont divers, en sorte que si les uns ont mission de parler dans l��glise, les autres doivent �?�prouver les esprits, afin de savoir s�ils viennent de Dieu?�.

Et pour cela m�me il faut � ces derniers une mesure, une r�gle, qui n�est autre que la v�rit� de Dieu, sa Parole, l�enseignement apostolique, rendu vivant dans l�exp�rience par le Saint-Esprit. Ce double t�moignage est n�cessaire pour ne retenir que ce qui est bon et rejeter tout le reste.

Ce pr�cepte compl�te aussi le pr�c�dent sous cette forme n�gative. �?Retenir ce qui est bon?�, c�est s�abstenir de toute esp�ce de mal, du mal sous quelque forme qu�il se pr�sente.

Nos anciennes versions traduisent : �?de toute apparence de mal?�, mais le mot employ� par l�ap�tre n�a pas ce sens.

� la suite de toutes ces exhortations qui supposent l��uvre de l�homme travaillant � sa propre sanctification, Paul tourne sa pens�e vers l��uvre de Dieu; il �l�ve son c�ur vers le Dieu de la paix, source de toute paix, Celui qui la donne � ses enfants; il lui demande d�accomplir lui-m�me tous ces pr�ceptes, de r�aliser tous ces traits de la vie chr�tienne dans les �mes de ses lecteurs.

Bien plus, il promet, au nom du Dieu fid�le, qu�il en sera ainsi (verset 24). Tous les commandements de Dieu, en effet, toutes les expressions de sa sainte volont� sont en m�me temps des promesses de sa part; car �?il donne ce qu�il ordonne?� (comparer Philippiens 2:12; Philippiens 2:13).

La sanctification que l�ap�tre souhaite � ses lecteurs embrasse les trois parties qui composent l�homme entier : l�esprit, l��me et le corps (voir sur ces termes 1 Corinthiens 2:14, note, et 1 Corinthiens 15:45, note).

L�esprit est sanctifi�, conserv� irr�pr�hensible, quand il est p�n�tr� et conduit par l�Esprit de Dieu, qui y fait r�gner la lumi�re et la vie divines; l��me est sanctifi�e quand toutes les impressions, les affections, les d�sirs dont elle est le si�ge sont sous la domination de l�esprit, sanctifi� lui-m�me, et non sous l�empire de la chair et du monde. Le corps est sanctifi� quand ses app�tits et ses besoins sont �lev�s et purifi�s par l�influence respective de l��me et de l�esprit, et quand ses membres et toutes ses forces servent d�instruments � l�accomplissement de la volont� de Dieu.

Dans cette hi�rarchie, l�esprit doit r�gner sur l��me, et l��me sur le corps.

Il pourrait sembler inutile d�insister ainsi sur la sanctification de chaque partie de l��tre humain, attendu que, si l�esprit est sanctifi�, l��me et le corps le seront aussi. Le p�ch�, en effet, ne consiste-t-il pas en ce que l�esprit, s�par� de la communion avec Dieu pour qui il �tait cr��, est tomb� sous la domination de la chair, d�o� est r�sult� tout le d�sordre moral que nous observons dans la nature humaine ?

Cela est vrai, et toutefois l��criture insiste sur la sanctification de l��me et du corps, (Romains 6:12-19; Romains 12:1; 2 Corinthiens 7:1) afin de pr�venir l�erreur funeste qui a port� tant d�hommes � croire qu�ils pouvaient servir Dieu de leur esprit, tandis qu�ils n�attachaient aucune importance � ce que les affections de l��me fussent bien r�gl�es, ni, surtout, � ce que les actions du corps fussent sous la discipline de l�esprit.

L�homme est un dans ses facult�s et ses forces diverses; il ne peut �tre vraiment r�g�n�r�, et dans une communion r�elle avec Dieu, que lorsque son �tre entier est devenu un temple du SaintEsprit.

Dans ce passage encore, l�ap�tre dirige la pens�e du fid�le vers la venue de J�sus-Christ, afin qu�il trouve en elle un puissant motif d�avancer dans la sanctification. �tre trouv� irr�pr�hensible, non seulement aux yeux des hommes, (1 Corinthiens 4:3-5) mais devant Celui qui sonde les c�urs, (Romains 9:1 note) tel est le but constant de tous les efforts du chr�tien.

Celui qui vous appelle ne signifie pas seulement Celui qui vous invite ou qui vous fait conna�tre, par l��vangile, le chemin du salut; car ce mot appel d�signe toujours une action int�rieure de la gr�ce qui rend efficace cette vocation (voir Romains 1:6, note).

Or cette action divine, dont le croyant a d�j� �prouv� la r�alit� dans sa propre exp�rience, est pour lui le plus puissant t�moignage que Dieu continuera jusqu�� la fin son �uvre en lui. L�ap�tre en trouve surtout le garant dans une des perfections de Dieu lui-m�me : il est fid�le, immuable dans les desseins de sa gr�ce, dans son amour �ternel; il le fera (verset 24; comparez 1 Corinthiens 1:7-9; Philippiens 1:6).

Comparer : �ph�siens 6:18,.

Voir Romains 16:16, note; 1 Corinthiens 16:20; 2 Corinthiens 13:12.

Il �tait d�usage en Orient que des amis se saluassent par un baiser; de l� le baiser fraternel des chr�tiens, un saint baiser, ou �?baiser de charit�?� (1 Pierre 5:14).

On pourrait voir dans ces paroles une simple recommandation de l�ap�tre que sa lettre soit lue � tous les membres de l��glise, qu�aucun ne manque quand il en sera fait lecture, ou qu�elle soit communiqu�e � ceux qui seraient absents.

Telle est l�opinion de beaucoup d�interpr�tes. Mais alors, pourquoi cette solennelle adjuration par le Seigneur ? Il faut, avec Calvin, chercher un autre motif de ces paroles.

Il craignait, ou que des hommes mal intentionn�s et envieux ne supprimassent sa lettre, ou que d�autres, par une fausse sagesse et une prudence charnelle, ne la communiquassent qu�� un petit nombre. Car il y a toujours de ces gens qui nient que les choses qu�ils reconnaissent eux-m�mes comme excellentes soient utiles au vulgaire. Ainsi l�Esprit de Dieu veut que ce qu�il a produit dans cette lettre, par le minist�re de Paul, soit publi� au sein de toute l��glise. D�o� il para�t qu�ils sont plus endurcis que les d�mons, ceux qui, aujourd�hui, interdisent au peuple la lecture des �p�tres de saint Paul, puisqu�ils ne sont point �mus d�une si s�v�re adjuration

Comparer 1 Corinthiens 16:23; Philippiens 4:23.

� quoi doivent aboutir les instructions, sinon � nous faire d�sirer la gr�ce pour les pratiquer ?� Quesnel

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 1 Thessalonians 5". "Bible annotée". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/ann/1-thessalonians-5.html.
 
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