Bible Commentaries
2 Rois 7

versets 1-20

Une mesure, litt�ralement, un s�a; d�apr�s les rabbins : le tiers d�un �pha (Gen�se 18:6 et 1 Samuel 25:18). Prix assez modique pour que la diff�rence avec les prix actuels ressorte dans toute sa grandeur.

Fleur de farine : Exode 29:2; �z�chiel 16:13.

Orge : nourriture des chevaux.

La porte : le lieu du march�.

L�officier sur� Voir 2 Rois 5:18.

L��ternel f�t-il des fen�tres� Incr�dulit� railleuse : Quand m�me Dieu ferait pleuvoir du ciel un d�luge de farine� M�me expression que Gen�se 7:11.

Sans doute ces l�preux, refoul�s par l�invasion ennemie, n�avaient pas �t� re�us dans la ville.

Sur le soir : voir versets 9 et 12.

L�extr�mit� du camp : la plus rapproch�e de la ville.

Nous ignorons la cause, a�rienne ou souterraine, par laquelle ce bruit fut produit.

Les rois des H�thiens. Voir Gen�se 10:15, note. Ce peuple, d�apr�s les inscriptions assyriennes, s�allia, ainsi que les Isra�lites, avec les Syriens contre Salmanasar II. Nous avons vu, � la fin du premier livre des Rois (note), comment le roi raconte qu�il les d�fit tous ensemble � Karkar. Le danger commun une fois �loign�, ces peuples avaient tous rompu leur alliance avec la Syrie. Les H�thiens �taient des guerriers c�l�bres; David en avait � sa solde; Urie et Ahim�lec, parmi ses officiers, �taient H�thiens.

Et les rois d��gypte : expression populaire. Les Syriens pouvaient bien supposer que les Isra�lites, � bout de ressources, avaient �t� demander secours au nord et au sud, afin de prendre les Syriens entre deux feux.

Nous n�agissons pas bien. Ils sentent que, comme le dit Grotius, c�est leur devoir de faire conna�tre une chose qui int�resse vivement le salut public.

Et les hommes de la garde appel�rent, n�osant pas quitter leur poste.

Ils sont comme toute la multitude� La mis�re est arriv�e � un tel point, que peu importe le nombre de ces chevaux et de ces hommes; d�une mani�re comme de l�autre, la mort les attend ainsi que le reste du peuple. La r�p�tition de ces mots trahit la vivacit� de l��motion.

Deux chars : pour qu�en cas de surprise du premier, le second puisse au besoin t�moigner de la pr�sence des Syriens.

� la porte : o� il se tenait pour maintenir quelque ordre dans la sortie des affam�s et dans le trafic de ces richesses.

18 � 20

Cette r�p�tition d�taill�e est dict�e au narrateur par l�impression profonde que ce ch�timent fit sur chacun.