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Bible Commentaries
2 Timothée 2

Bible annotéeBible annotée

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versets 1-26

1 � 13 Encouragement au combat et � la souffrance

Toi donc��?en consid�ration des exemples que je viens de citer, imitant celui d�On�siphore, fuyant ceux de Phygelle et Hermog�ne�?� (2 Timoth�e 1:15-18).

La gr�ce qui est en J�sus-Christ, la pleine possession du salut qu�il a accompli, telle est la force du serviteur de Dieu. Plus il se p�n�tre de cette gr�ce, moins il se confie en lui-m�me, plus aussi il est pr�par� au combat (2 Timoth�e 2:3).

Par ces t�moins, les uns entendent ceux qui avaient assist� avec Timoth�e aux instructions de l�ap�tre, � sa pr�dication; d�autres, avec plus de raison, comprennent par l� les anciens en pr�sence de qui ce disciple avait fait sa profession de christianisme (1 Timoth�e 6:12) et qui lui avaient impos� les mains (1 Timoth�e 4:14; 2 Timoth�e 1:6).

C�est ce qui l�autorisait � commettre ces choses � d�autres.

Grec : �?d�en instruire aussi d�autres?�.

Il n�y a dans cette commission de Paul � Timoth�e pas un mot qui permette de penser que ce dernier recevait par l� le pouvoir d�instituer lui-m�me des anciens, sans l�assentiment des �glises, comme on l�a trop souvent pr�tendu.

Toute ce que l�ap�tre recommande � son disciple, c�est de transmettre � d�autres les enseignements qu�il a entendus de lui.

Que ces enseignements concernassent surtout les devoirs des anciens, aptes eux-m�mes � enseigner, c�est ce qui est �vident; mais cela ne prouve nullement que Timoth�e p�t les rev�tir de ces charges de sa propre autorit�, lui qui, bien que choisi par l�ap�tre Paul, n�en avait pas moins re�u l�imposition des mains par tout le corps des anciens (1 Timoth�e 4:14).

Le serviteur de J�sus-Christ doit donc, pour plaire au Chef, pour lui donner tout son temps, toutes ses forces, et m�me sa vie, n��tre point embarrass� par les choses de ce monde, par des occupations �trang�res � sa vocation (1 Corinthiens 7:29-34).

Cette seconde image, diff�rente de la pr�c�dente, (2 Timoth�e 2:4) est emprunt�e aux combats de la lice, o� aucun athl�te n��tait couronn� s�il n�avait combattu selon les lois prescrites.

Ces lois, pour le serviteur de J�sus-Christ, sont celles que lui dictent la Parole et l�Esprit de Dieu : il doit combattre selon la v�rit�, la charit�, l�humilit�, surtout en ne recherchant que la gloire de Dieu dont il attend la couronne (comparer 1 Corinthiens 9:25-27).

Troisi�me image, destin�e � inspirer au serviteur de Dieu cette patience de la foi, qui travaille avec constance avant de recueillir les fruits de son travail, et m�me sans en voir aucun fruit. La r�compense est r�serv�e pour le ciel; la terre est le lieu du combat, de l�activit�, de la souffrance.

Voici quel est le sens litt�ral du grec : �?Le laboureur qui prend de la peine doit participer le premier aux fruits?�. C�est bien l� son droit, mais le droit de celui qui prend de la peine, qui laboure sons champ. En sorte qu�il n�est point ici question de cette autre v�rit� que �?l�ouvrier est digne de son salaire?�, et que, pour le sens, cette version litt�rale revient � celle que nous laissons subsister dans le texte.

La derni�re image que Paul a employ�e r�veille dans l�esprit tout un ordre de pens�es relatives aux glorieuses promesses faites aux serviteurs fid�les, (Daniel 12:3; Matthieu 19:28; Matthieu 25:21) � la peine, � la patience, aux renoncements qui sont ins�parables de leur vocation : voil� ce que Timoth�e doit consid�rer, m�diter encore pour son encouragement, avec cette intelligence que le Seigneur lui donnera.

Le texte re�u exprime cette derni�re pens�e sous la forme d�un v�u : �?Que le Seigneur te donne l�intelligence?�. Cette le�on n�est pas autoris�e, la particule car aurait d� d�j� en avertir; elle motive par une promesse pr�cieuse le devoir de consid�rer.

Le plus salutaire encouragement qu�un serviteur de Dieu puisse trouver dans ses �preuves, c�est la contemplation de son Sauveur, n� comme nous sur la terre, de la race appauvrie de David, (Romains 1:3) souffrant et toujours renon�ant � lui-m�me, mais dont les combats ont �t� couronn�s par sa glorieuse r�surrection et par toutes les f�licit�s du ciel.

Cette contemplation fortifie d�autant plus la foi et le d�vouement de ses serviteurs, que J�sus-Christ n�est pas seulement leur mod�le, mais que, maintenant ressuscit� des morts et glorifi�, il est la source de cette puissance de r�surrection et de vie qui s�accomplit en eux comme elle triompha en lui-m�me.

C�est de ce Sauveur ressuscit� qu�ils doivent se souvenir sans cesse (Romains 6:3 et suivants; Galates 2:20).

Par ces mots : mon �vangile, (Romains 2:16; Romains 16:25) l�ap�tre oppose l��vangile qu�il pr�che � toute fausse doctrine; c�est, comme il le dit ailleurs, �?l��vangile qui m�a �t� confi�?� (1 Timoth�e 1:11; comparez Romains 2:16, note.).

M�me les souffrances de Paul, et cet opprobre d��tre li� comme un malfaiteur tournaient � la gloire de l��vangile et au salut �ternel des �lus.

Toutes les souffrances d�un tel martyr, en faisant triompher la v�rit�, facilitent la victoire � ceux qui le suivent dans la carri�re, et son exemple remplit de consolation et de courage ceux qui en sont t�moins (2 Corinthiens 1:5-7, note; Philippiens 1:12-14; Colossiens 1:24).

Qui pourrait lier la parole de Dieu ? Quelle sainte ironie il y a dans ce mot ! et comme il d�nonce la folie des ennemis de Dieu et de sa v�rit� !

Cette parole est certaine (comparez 1 Timoth�e 1:15; 1 Timoth�e 2:1); il faut suivre J�sus-Christ en toutes choses, et jusque dans ses souffrances et dans sa mort, pour parvenir l� o� il est, dans la vie du ciel et dans son r�gne glorieux, auquel il veut associer ses rachet�s. Aucun autre chemin n�y conduit que celui qu�il a suivi lui-m�me.

Ainsi, par humiliation � la gloire, par la mort � la vie, telle est la devise du chr�tien (comparer Romains 6:18, note; Romains 8:17, note; Galates 2:20, note; Colossiens 1:24, note; Philippiens 3:10, note.).

Il faut remarquer encore sur ces paroles :

  1. Que le moyen de mourir (� nous-m�mes, au monde, au p�ch�) c�est de souffrir, et tel peut �tre le fruit b�ni de la souffrance.
  2. Qu�ici le verbe mourir est au pass� (aoriste), ce qui suppose que le disciple de J�sus est d�j� entr� avec Christ dans la communion de ses souffrances et de sa mort. Nos anciennes versions effacent cette nuance.
  3. Que tous ces verbes sont compos�s de la particule avec, sans le mot lui, qui est dans la pens�e de l�ap�tre, mais qu�il n�exprime pas (2 Timoth�e 2:10).
  4. Qu�� cause de l��lan et du rythme de ces paroles, plusieurs ex�g�tes y voient une partie d�une hymne ou cantique de l��glise.

Matthieu 10:33; comparez Matthieu 7:23; Luc 13:25-27. Quiconque, en entendant de telles paroles, n��prouve pas un saint tremblement, n�a jamais compris ou jamais cru ce qu�elles renferment ! Cette sentence est juste l�oppos�e des deux pr�c�dentes.

Si nous sommes infid�les, ou, selon l�original, �?si nous ne croyons pas?�, Dieu n�en reste pas moins ce qu�il est; il demeure fid�le � ses promesses et � ses menaces, qu�il ne peut renier parce que ce serait se renier lui-m�me.

Ainsi, � nous toute la responsabilit� !

Les hommes peuvent manquer � Dieu, mais Dieu ne peut manquer � lui-m�me. S�ils se rendent indignes par leur l�chet� de coop�rer � ses desseins et de travailler � ses �uvres, il saura bien accomplir sans eux ses �uvres et ses desseins, et tire m�me sa gloire de leur infid�lit�.� Quesnel

Plan

II. Comment Timoth�e doit se conduire en pr�sence des faux docteurs

Il doit protester contre les disputes de mots, se rendre approuv� de Dieu, dispenser droitement la Parole, r�prouver les discours vains et profanes, tels que ceux d�Hym�n�e et de Phil�te qui ont abandonn� la v�rit� en niant la r�surrection (14-18).

Toutefois le fondement pos� par Dieu demeure ferme�; il conna�t les siens et les sanctifie, faisant d�eux des vases � honneur pour son service (19-21).

En fuyant les d�sirs de la jeunesse, et se rev�tant de toutes les vertus de la vie chr�tienne, Timoth�e doit rejeter les questions folles et inutiles, �viter les contestations, instruire avec douceur les adversaires, dans l�espoir que Dieu leur donnera la repentance, pour conna�tre la v�rit� et �chapper aux pi�ges du d�mon (22-26).

14 � 26 comment Timoth�e doit se conduire en pr�sence des faux docteurs

C�est-�-dire des s�rieuses v�rit�s qu�il vient de rappeler dans les versets pr�c�dents, par opposition aux �?disputes de mots?� qu�il va condamner.

Grec : �?ce qui n�est utile � rien, sinon au renversement (ou � la ruine) de ceux qui les �coutent?�. Si tel est le r�sultat des disputes de mots, (comparez 1 Timoth�e 6:4, note) que faut-il attendre, de nos jours, de la plus grande partie des discussions th�ologiques ?

Litt�ralement : �?Ouvrier qui n�a aucun sujet de honte (ou de confusion), et qui coupe droitement la Parole de la v�rit�?�.

Les uns pensent, avec Calvin, que cette expression figur�e fait allusion � un p�re de famille, qui coupe et distribue � chacun des siens la part de nourriture qui lui convient.

D�autres la rapprochent de cette locution tr�s usit�e chez les Grecs : couper droit son chemin, pour dire : choisir la bonne route et y pers�v�rer courageusement, au travers de tous les obstacles.

Le chemin, ici, c�est la Parole de la v�rit�; Timoth�e l�a choisi; il n�a plus qu�� y marcher sans d�vier, comme un voyageur qui sait o� le conduit le chemin qu�il suit.

Comparer 2 Timoth�e 2:14; 1 Timoth�e 4:7; 1 Timoth�e 6:20, note.

Il y a un progr�s, in�vitable dans l�erreur qui produit l�impi�t�, comme dans la v�rit� d�o� ressort la sanctification. L�ap�tre en fournit la preuve dans les deux exemples qu�il va citer.

Quelle �nergie et quelle v�rit� dans cette image (comparer 1 Timoth�e 1:10, note) !

Le corps que ronge l�erreur, c�est l��glise, ou l��me qui en est atteinte.

Hym�n�e n�est connu que par 1 Timoth�e 1:20, Phil�te ne l�est pas du tout.

Les donn�es historiques nous manquent pour �tablir quelle �tait leur doctrine et pour comprendre m�me quelle est exactement l�erreur que l�ap�tre leur reproche ici. Celle-ci para�t avoir eu pour point de d�part un faux spiritualisme.

Ils pr�tendaient que la r�surrection avait d�j� eu lieu, c�est-�-dire que, niant la r�surrection du corps et la vie future, ils enseignaient que l�homme ressuscite spirituellement, et d�s ici-bas, pour vivre dans une immortalit� fantastique (comparer 1 Corinthiens 15:12, note.).

Ces erreurs se retrouvent plus tard dans tous les syst�mes des gnostiques. Paul en indique ici et peut-�tre d�j� dans 1 Corinthiens 15 les premiers germes. Ces aberrations supposent une m�connaissance compl�te du p�ch� et de la r�demption accomplie par la mort et la r�surrection de Christ.

Il peut bien arriver, et il arrive malheureusement toujours, que l�erreur �?renverse la foi de quelques-uns?� (2 Timoth�e 2:18); mais le solide fondement que Dieu lui-m�me a pos� et sur lequel repose la foi de l��glise ne peut jamais �tre �branl�; il se retrouve debout apr�s toutes les temp�tes.

Ce fondement, quel est-il ? On a fait � cette question diverses r�ponses; il n�y en a qu�une � faire et qui est de l�ap�tre lui-m�me : C�est J�sus-Christ et l��vangile de sa gr�ce (1 Corinthiens 3:11; �ph�siens 2:20).

On grave sur les monuments des inscriptions qui en marquent la destination, qui en sont le sceau : �?l�in�branlable fondement de Dieu?� porte aussi les deux inscriptions significatives que Paul cite ici.

La premi�re nous rappelle que cette triste confusion de la v�rit� et de l�erreur, des justes et des impies, qui souvent afflige notre �me et �branle notre foi, n�existe pas pour Dieu : il conna�t les siens, (Nombres 16:5; Jean 10:14) et il saura les pr�server de tout mal pour la vie �ternelle.

La seconde �tablit la r�gle infaillible d�apr�s laquelle nous pouvons juger et de nous-m�mes et des autres : Quiconque invoque le nom du Seigneur, le reconna�t pour son Sauveur, fait profession de lui appartenir, et ne se retire pas de l�injustice, se s�duit lui-m�me (1 Jean 1:6; comparez �sa�e 52:11) La premi�re de ces sentences est propre � rassurer le croyant, la seconde � produire une crainte salutaire.

Encore une pens�e qui doit calmer les craintes des vrais croyants � la vue du mal qui se glisse dans l��glise.

L�image dont l�ap�tre rev�t ici sa pens�e, (2 Timoth�e 2:20) et qu�il emploie ailleurs dans un sens un peu diff�rent, (Romains 9:21) signifie que, vu l��tat de p�ch� o� le monde est plong�, il est impossible que le m�lange du bien et du mal cesse ici-bas, et il en conclut seulement, pour chaque disciple de J�sus-Christ, le devoir sacr� de veiller, afin de se purifier de ces choses-l�, c�est-�-dire de ce dont il a parl� 2 Timoth�e 2:16-18. En le faisant, il sera un vase � honneur pour le service de son Dieu et pr�par� pour toute bonne �uvre, quelque corruption qui puisse r�gner autour de lui.

Ce qui ne veut point dire que l��glise doive assister, avec une passive indiff�rence, � l�invasion de l�erreur et du p�ch� dans son propre sein, et y souffrir des hommes tels qu�Hym�n�e et Phil�te. Paul lui-m�me d�clare qu�il les a exclus de la communion des chr�tiens (1 Timoth�e 1:20).

Toutes ces vertus, qui font le vrai serviteur de Dieu, que Paul a recommand�es d�j� � son disciple, (1 Timoth�e 6:11) et qu�il oppose aux d�sirs de la jeunesse (grec : d�sirs juv�niles), montrent assez que, par ces derniers, il n�entend pas exclusivement, ni m�me principalement, parle des passions sensuelles, ce qui aurait lieu d��tonner dans une exhortation adress�e � Timoth�e, qui n��tait plus dans la premi�re jeunesse, et dont le caract�re chr�tien �tait �prouv�.

Paul a en vue d�autres dispositions qui sont la tentation habituelle d�hommes jeunes encore et occupant dans l��glise un rang �lev� : ainsi l�orgueil cach�, l�ambition, l�amour de la domination, la recherche fi�vreuse de toute sorte de changements.

L��ge apostolique inclinait alors vers sa fin, d�autres temps commen�aient pour l��glise; des novateurs y paraissaient avec l�assurance qui les distingue toujours, pr�tendant apporter des vues plus spirituelles, plus profondes sur le christianisme; il �tait bien difficile, pour les successeurs imm�diats des ap�tres, de se pr�server purs et fermes sous la pression de ces tendances erron�es, et cette exhortation d�un homme de Dieu qui s�en va au martyre n�a rien que de tr�s fond� sur l�exp�rience.

Invoquer le nom du Seigneur (J�sus-Christ) est le signe auquel se reconnaissent les chr�tiens (comparer 2 Timoth�e 2:19, o� le texte re�u lit �?le nom de Christ?�, et 1 Corinthiens 1:2). C�est dans ses relations avec eux que Timoth�e doit rechercher (grec : �?poursuivre?�) la justice, la charit� et la paix.

(2 Timoth�e 2:16; 1 Timoth�e 1:4; 1 Timoth�e 6:4-20) La liaison de ce verset avec celui qui pr�c�de, par une simple particule adversative (mais), prouve aussi qu�il faut interpr�ter le verset pr�c�dent dans le sens indiqu� (comparer encore � cet �gard 2 Timoth�e 2:24-26).

1 Timoth�e 3:2. Edifiant l��glise, plut�t par l�enseignement positif de la v�rit� que par les controverses et montrant � tous cette tendre sollicitude dont Paul avait fait preuve dans son minist�re : 1 Thessaloniciens 2:7.

La repentance pour conna�tre la v�rit�; quelle profondeur d�exp�rience il y a dans le rapport de ces deux mots, de ces deux choses !

Le mot rendu par se d�gager et qui ne se trouve qu�ici, signifie proprement : revenir au bon sens, par opposition � la folie, ou � la sobri�t�, par opposition � l�ivresse.

Cette folie, cette ivresse sont les instruments de Satan, pour soumettre les esprits � sa volont�.

On revient de cet esclavage par la repentance ou le changement du c�ur. Suivant d�autres celui qui les aurait pris pour faire sa volont� serait Dieu (2 Timoth�e 2:25).

Que de sagesse et d�amour dans la mani�re dont l�ap�tre veut que son disciple traite ceux qui errent ainsi (2 Timoth�e 2:24-26) !

Jamais d�emportement dans la d�fense de la v�rit�, ni d�aigreur dans la correction du p�cheur. Qui le regarde, non comme un fr�re �gar�, opposera � l�erreur et au p�ch� la vigueur de l�autorit� et la force de la doctrine; amis il gagnera l�h�r�tique et le p�cheur par la douceur et la condescendance de la charit�. Celui qui comprend bien que la foi et la repentance sont un don de Dieu, combien sont puissantes les illusions, nombreux les artifices du diable, et quelle est la captivit� du p�ch�, loin d�insulter au p�cheur, aura compassion de sa mis�re. Adorons la mis�ricorde de Dieu sur nous-m�mes, esp�rons-la pour les plus grands p�cheurs; craignons pour nous, prions pour eux.� Quesnel

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 2 Timothy 2". "Bible annotée". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/ann/2-timothy-2.html.
 
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