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Bible Commentaries
Hébreux 13

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versets 1-25

1 � 16 Fid�lit� dans la conduite et dans la profession de la foi

Grec : demeure, sous-entendu : parmi vous (comparer H�breux 10:24; Romains 12:10; 1 Thessaloniciens 4:9; 1 Pierre 1:22; 2 Pierre 1:7).

Les �glises de la Palestine s��taient, d�s le commencement, distingu�es par leur amour fraternel (Actes 2:45-47; Actes 4:32-37); peut-�tre cet amour s��tait-il refroidi, et �tait-ce l� un signe de la rechute que l�auteur voudrait pr�venir (Matthieu 24:12, note).

Les versets H�breux 13:2; H�breux 13:3 signalent sp�cialement deux occasions o� devait s�exercer cet amour des fr�res.

Lot, Abraham (Gen�se 18 et Gen�se 19).

Tels enfants de Dieu, envers qui s�exerce l�hospitalit�, peuvent �tre, pour la famille qui les re�oit, ces anges (envoy�s de Dieu) qui y laissent de pr�cieuses b�n�dictions.

Sans le savoir ! ce que nous faisons pour Dieu a souvent une port�e plus grande que nous ne savons (Matthieu 25:40-45; Matthieu 26:12).

Voir sur ce devoir de l�hospitalit�, que les chr�tiens de la primitive �glise, et ceux de l��glise de J�rusalem en particulier, avaient tant d�occasions de pratiquer, Romains 12:13; 1 Pierre 4:9; 1 Timoth�e 3:2; 1 Timoth�e 1:8.

Comparer H�breux 10:33; H�breux 10:34; Matthieu 25:36.

Tous les chr�tiens, ayant la m�me foi, le m�me esprit, le m�me amour fraternel (H�breux 13:1), sont solidaires les uns des autres (1 Corinthiens 12:26), quand l�un est li�, maltrait�, tous le sont en lui.

Les derni�res paroles, exprimant la raison de cette solidarit� : comme �tant aussi vous-m�mes dans un corps, ont �t� diversement interpr�t�es.

Calvin entend par le corps o� sont les chr�tiens le corps de Christ, l��glise; de l� nos anciennes versions : �?comme �tant du m�me corps?�, sens tr�s beau, mais qui n�est pas dans le texte. B�ze traduit : �?comme si, en personne, vous �tiez maltrait�s?�.

Enfin, la plupart des interpr�tes, prenant les termes tels qu�ils sont, y trouvent cette pens�e : �tant dans un corps, et vivant dans ce monde, vous �tes expos�s aux m�mes dangers, aux m�mes souffrances qui t�t ou tard vous atteindront : prenez donc part aux �preuves de vos fr�res.

Il faut traduire ainsi le commencement de ce verset, et non : le mariage est honorable � tous �gards.

Ce que veut l�auteur, c�est condamner l�adult�re et tous les genres de souillure de la chair, comme le montrent les mots qu�il ajoute : et le lit conjugal sans souillure, car Dieu jugera les fornicateurs et les adult�res.

Ce contexte montre que son intention n�est pas de combattre l�erreur de ceux qui d�pr�ciaient l�institution du mariage (1 Timoth�e 4:3).

Au lieu de : � tous �gards (grec), en toutes choses, beaucoup d�interpr�tes traduisent : parmi tous, chez tous.

L�auteur voudrait dire : le mariage doit �tre �galement respect� par tous, par ceux qui sont mari�s et qui doivent tenir leur union conjugale pour une chose sainte, et par ceux qui, n��tant pas mari�s eux-m�mes, doivent honorer le mariage d�autrui.

Ou �?votre disposition d�esprit?� (comparer 1 Timoth�e 3:3).

Voir l�exemple que donnait l�ap�tre Paul (Philippiens 4:11; Philippiens 4:12; comparez 1 Timoth�e 6:6).

Pr�cieuse promesse souvent r�p�t�e par Dieu � ses enfants (Gen�se 28:15; Deut�ronome 31:6; Deut�ronome 31:8), dans les positions les plus diverses (Josu� 1:5; 1 Chroniques 28:20).

Il y a, dans le texte original, une double n�gation dont la force pourrait se rendre ainsi : �?Je ne te laisserai certainement pas, je ne t�abandonnerai certainement pas?�.

voir Psaumes 118:6, comparez Psaumes 56:5; Psaumes 56:12.

Ces conducteurs (H�breux 13:17; H�breux 13:24) sont tous ceux qui avaient exerc� quelque minist�re dans l��glise : des anciens, des diacres et des �vang�listes, comme �tienne; m�me des ap�tres, dont quelques-uns �taient morts.

On a conclu de ce terme de conducteurs que l��p�tre �tait adress�e � Rome, o� il para�t avoir �t� en usage (Zahn, Einleitung, I, page 484). Mais il �tait aussi employ� � J�rusalem (Actes 15:22).

L�issue de leur vie (grec conduite), la fin d�une vie de fid�lit� et de d�vouement accomplie dans les travaux et les souffrances pour Christ, d�une vie qui s��tait termin�e par le martyre, �tait un puissant t�moignage en faveur de la v�rit� de l��vangile.

C�est l� ce qu�en tous les temps il faut consid�rer s�rieusement, pour imiter la foi (1 Corinthiens 4:16) de ceux qui ont laiss� de tels exemples.

Par opposition aux �?conducteurs?� humains qui passent (H�breux 13:7) et aux doctrines changeantes des hommes (H�breux 13:9).

C�est l� le seul moyen qui nous fait pers�v�rer dans la vraie foi, � savoir si nous retenons le fondement, sans nous en d�partir tant soit peu. Car le savoir de celui qui ne conna�t pas Christ, quand m�me il embrasserait le ciel et la terre, n�est que pure vanit�; car en Christ sont renferm�s tous les tr�sors de la sagesse c�leste.� (Colossiens 2:3) Calvin

Hier, aujourd�hui, �ternellement, ces mots embrassent le pass�, le pr�sent, l�avenir, tous les temps d��ternit� en �ternit� (comparer H�breux 1:8-12; Apocalypse 1:8; Apocalypse 1:17).

Ainsi toujours Christ est le m�me dans son amour dans sa fid�lit�, dans son action pour r�pandre la v�rit� et la vie. Source in�puisable de confiance pour les siens !

Grec : Ne soyez pas emport�s de mani�re � passer � c�t� de J�sus-Christ qui, dans son immutabilit�, doit devenir le rocher de vos �mes (�ph�siens 4:14; �ph�siens 4:15).

Ni les doctrines diverses (portant sur une grande vari�t� de points) et �trang�res (inspir�es par un esprit oppos� � celui de l��vangile), qui provenaient de la sp�culation ou de la curiosit�, ni le formalisme juif, qui pla�ait la pi�t� dans l�usage de certains aliments ou la participation aux repas sacr�s (1 Corinthiens 10:18), ne pouvait affermir le c�ur, lui donner la certitude le courage, la paix. Il n�y a pour cela qu�un moyen : la gr�ce re�ue par une foi vivante.

La derni�re proposition est susceptible de deux constructions :

  1. en suivant l�ordre des mots grecs : dans lesquels n�ont pas trouv� profit ceux qui marchent, qui cheminent dans cette vie comme des voyageurs.
  2. Ceux qui marchent en eux (dans ces repas), qui s�y attachent, les pratiquent, n�y ont pas trouv� profit.

Ces trois versets (H�breux 13:10-12) sont destin�s � r�futer l�erreur de ceux qui, dans leur faux attachement au juda�sme, esp�raient pouvoir �?affermir leur c�ur?� par l�usage d�aliments consacr�s dans les sacrifices (H�breux 13:9), ou trouver la justice dans ces sacrifices m�mes.

L�auteur veut leur prouver que cette erreur, non seulement ne leur profite de rien (H�breux 13:9), mais les exclut de tous les avantages du sacrifice de Christ. Pour cela, il affirme trois choses :

  1. Nous, chr�tiens, nous avons un autel, le vrai autel d�expiation, dont celui du tabernacle n��tait que l�image, et cet autel, c�est la croix de Christ (H�breux 13:12), o� il a �?offert nos p�ch�s en son corps sur le bois;?� (1 Pierre 2:24) mais cet autel, m�me vos pr�tres qui servent au tabernacle n�ont pas le pouvoir d�en manger (H�breux 13:10).
  2. En effet, les corps des animaux qui sont offerts au grand jour des expiations ne peuvent devenir votre nourriture, puise qu�il est interdit d�en manger et qu�ils doivent �tre enti�rement br�l�s hors du camp (tant que le peuple �tait au d�sert) ou hors de la ville o� maintenant s�offrent les sacrifices (L�vitique 16:27). Ainsi vous n�avez rien du symbole et vous vous privez de la r�alit� du vrai autel (H�breux 13:11).
  3. Mais J�sus, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, s�est conform� m�me � cette prescription tout ext�rieure de la loi : il a souffert hors de la porte (de J�rusalem), il a �t� rejet� comme une victime maudite (H�breux 13:12).

Ce sacrifice, dont nous nourrissons nos �mes, vous vous en excluez si vous retournez aux sacrifices symboliques institu�s par la loi. Ceux-ci sont d�sormais inutiles; et, d�apr�s les prescriptions m�mes de cette loi, ils ne nous offrent pas de repas auxquels nous puissions participer pour affermir nos �mes (H�breux 13:9).

D�apr�s une autre interpr�tation (Weiss), l�auteur voudrait dire simplement : Il ne peut y avoir pour les chr�tiens de repas attach�s � des sacrifices, car l�unique sacrifice qu�ils connaissent et qui constitue leur autel (H�breux 13:10), le sacrifice de Christ, ne saurait, en sa qualit� de sacrifice pour le p�ch� (H�breux 13:11), �tre accompagn� d�un repas, puisque, d�apr�s les prescriptions de la loi, il �tait interdit, m�me aux sacrificateurs, de manger de la chair des victimes offertes pour le p�ch�

Ce fut pour J�sus la derni�re profondeur de l�humiliation et de l�opprobre, que d��tre ainsi rejet� par son peuple comme une victime charg�e d�ex�cration, condamn� comme un blasph�mateur � mourir hors du camp (L�vitique 24:14).

Or, ses rachet�s qui, par la foi en son sacrifice, obtiennent le pardon de leurs p�ch�s et la r�conciliation avec Dieu, ont le devoir sacr� de porter son opprobre (H�breux 11:26), de le suivre jusque dans ses humiliations et dans sa mort, pour s�offrir comme lui tout entiers � Dieu.

Dans un sens, Christ est mort pour que nous ne mourions pas; dans un autre sens, il est mort pour nous rendre capables de mourir avec lui (comparer 2 Corinthiens 5:14, note).

Hors du camp signifie donc d�abord : hors du juda�sme qui a crucifi� son Messie, mais aussi hors du monde qui crucifie toujours le Sauveur, et, s�il le faut, hors de cette vie (H�breux 13:14).

Puissant motif de �?sortir vers J�sus hors du camp?� (H�breux 13:14).

Les biens terrestres, que nous perdrons � agir ainsi, sont passagers et ne sauraient balancer les avantages �ternels que nous trouvons � suivre Christ (H�breux 11:10 et H�breux 13:13-16).

Ayant le sacrifice parfait pour l�expiation et le pardon de nos p�ch�s, n�attachons plus nos c�urs aux sacrifices symboliques, mais offrons-en de vraiment spirituels (1 Pierre 2:5), des sacrifices de louange et de fid�le confession du nom de Dieu, qui supposent le sacrifice du c�ur et de la vie (Romains 12:1, note).

Ces sacrifices ne deviennent acceptables et ne sont agr��s de Dieu que par lui, par ce Sauveur et M�diateur, en vertu de l�amour dont il nous a aim�s le premier.

L�auteur appelle ce sacrifice de louange (expression emprunt�e de L�vitique 7:11) le fruit des l�vres, d�apr�s Os�e 14:2. dans la version grecque des Septante.

Enfin les mots : qui confessent son nom, sont envisag�s par plusieurs interpr�tes comme une r�miniscence du Psaumes 54:8

Si l�action de gr�ce et la confession du nom de Dieu sont ce sacrifice de louange que Dieu r�clame, il ne faut pas oublier qu�il y a d�autres sacrifices de la reconnaissance et de l�amour que nous devons lui offrir dans la personne de nos fr�res pauvres et souffrants.

N�oubliez pas la bienfaisance et la communication (grec), la vertu qui vous portera � �?faire part?� de vos biens (Romains 15:26; 2 Corinthiens 8:4).

Si nos c�urs sont � Dieu, nos biens seront � nos fr�res.

On pourrait entendre aussi ce mot de la communion mutuelle de l�amour fraternel, comme dans Actes 2:42; Galates 2:9; 1 Jean 1:7.

Il ajouterait alors une id�e nouvelle � celle qu�exprime le terme pr�c�dent. L�amour fraternel, et les relations intimes qu�il cr�e, peuvent �tre appel�s, aussi bien que la confession de son nom, sacrifices agr�ables � Dieu.

Plan

E. Recommandations. V�ux. Salutations

Ob�issance aux conducteurs et intercession

L�auteur invite les lecteurs � montrer de la d�f�rence envers leurs conducteurs pour que ceux-ci puissent remplir leur t�che avec joie. Il leur demande de prier pour lui, afin qu�il leur soit rendu bient�t (17-19).

V�ux

L�auteur souhaite � ses lecteurs que le Dieu de paix, qui a ressuscit� J�sus-Christ, les rende accomplis. Il les supplie d�accueillir l�exhortation qu�il leur adresse (20-22).

Communications

Timoth�e a �t� rel�ch�; s�il vient bient�t, l�auteur ira avec lui. Il salue les conducteurs et tous les membres de l��glise, et leur transmet les salutations de ceux d�Italie. Que la gr�ce soit avec eux tous�! (23-25)

17 � 25 recommandations, v�ux, salutations

H�breux 13:7; 1 Thessaloniciens 5:12; 1 Thessaloniciens 5:13; 1 Pierre 5:2.

Ils veillent pour vos �mes, c�est-�-dire au salut de vos �mes.

Grande responsabilit� des pasteurs (�z�chiel 33) qui doivent rendre compte des �mes !

Responsabilit� non moins grande des troupeaux qui, en n��tant pas soumis (grec en ne c�dant pas), peuvent entraver l��uvre de leurs conducteurs, � leur propre d�savantage spirituel !

Comparer Romains 15:30; 2 Corinthiens 1:11; �ph�siens 6:19; Colossiens 4:3; 1 Thessaloniciens 5:25; 2 Thessaloniciens 3:1.

On peut se demander si l�auteur comprend dans le pluriel nous ses collaborateurs; en tout cas, il ne pense pas aux �?conducteurs?� mentionn�s au verset pr�c�dent, car il ne se compte pas parmi eux.

Ces paroles motivent la demande de pri�res que l�auteur adresse � ses fr�res et doivent �loigner les pr�jug�s qui pouvaient exister contre lui dans leur c�ur : il affirme qu�il s�assure fr�quemment, tous les jours (verbe au pr�sent; le texte re�u porte le verbe au parfait : nous sommes assur�s), qu�il a une bonne conscience.

Le t�moignage de sa conscience ne suffit pas au serviteur de Dieu, il lui faut de plus la confiance de ses fr�res pour qu�il puisse leur faire du bien.

Ces mots se rapportent � la demande de prier pour lui (H�breux 13:18); et telle est sa confiance dans les pri�res de ses fr�res, qu�il fait d�pendre d�elles son retour aupr�s d�eux.

L�auteur, qui a demand� les pri�res de ses fr�res, prie lui-m�me pour eux, et dans ce v�u, si riche en pens�es chr�tiennes, il jette un dernier regard sur son �p�tre enti�re, demandant � Dieu d�en appliquer � ses lecteurs les saintes v�rit�s.

Il s�adresse au Dieu de la paix qui est la source de la paix, qui la donn� volontiers, c�est par ce nom que Paul aime � d�signer Dieu (Romains 15:33; Romains 16:20; Philippiens 4:9; 1 Thessaloniciens 5:23).

Notre auteur ajoute que ce Dieu a ramen� d�entre les morts notre Seigneur J�sus, couronnant par l� l��uvre du Sauveur. C�est la premi�re fois que la r�surrection de J�sus-Christ est mentionn�e dans notre �p�tre, mais elle est suppos�e dans la description de l�entr�e de Christ, souverain sacrificateur de la nouvelle Alliance, dans les lieux saints, aupr�s de Dieu.

L�auteur d�signe le Sauveur par ces termes remarquables : le grand Pasteur des brebis, pour le placer bien au-dessus de tous les �?conducteurs?� (H�breux 13:17) qui d�pendent de lui et ne sont que ses serviteurs. Il rappelle que J�sus m�rite seul ce titre, parce qu�il a vers� son sang pour ses brebis (Jean 10:11), et que ce sang a scell� une alliance (H�breux 9:15; H�breux 9:24) qui est �ternelle, par opposition � l�Alliance mosa�que qui avait vieilli et qui allait �tre abolie (H�breux 8:13).

Appuy� sur ces v�rit�s, ou plut�t sur ces faits divins, il exprime son v�u pour ses fr�res : c�est que ce Dieu de la paix (grec) les forme compl�tement � toute bonne �uvre pour faire sa volont� (1 Pierre 5:10).

Mais comment parviendront-ils � cette perfection qui est selon la volont� divine; ? L�auteur sait que Dieu les y am�nera lui-m�me : faisant pour lui-m�me en nous ce qui lui est agr�able, car c�est Dieu qui accomplit en nous tout ce qu�il nous commande (�ph�siens 2:10; Philippiens 2:13).

Le mot : pour lui-m�me se lit dans Codex Sinaiticus, A, C, et doit �tre maintenu; il a �t� omis dans quelques documents, parce qu�on n�en comprenait pas le sens.

A, C, versions, portent : en vous, c�est probablement une correction amen�e par le vous de la phrase pr�c�dente.

Enfin, cette parfaite sanctification ne peut s�op�rer que par J�sus-Christ vivant et agissant en nous; elle n�a pas pour but notre glorification, mais sa gloire �ternelle qui subsistera aux si�cles des si�cles.

Tout l��vangile et toute la vie chr�tienne se trouvent r�sum�s dans ce v�u.

Grec : �?la parole d�exhortation?�, que je vous adresse dans cette lettre. Requ�te empreinte de modestie, bien propre � gagner les c�urs (Romains 15:14-16).

Bien que sa lettre soit l�une des plus longues du Nouveau Testament, l�auteur a le sentiment qu�il s�est exprim� aussi bri�vement que possible, �tant donn� l�importance des sujets trait�s et l�abondance de ses pens�es.

On peut traduire aussi par l�imp�ratif : sachez.

Les donn�es historiques manquent absolument sur ce fait (voir l�Introduction). En communiquant cette nouvelle � ses lecteurs, l�auteur exprime encore une fois (comparez H�breux 13:19) le d�sir de les revoir bient�t.

Cette salutation n�indique pas avec certitude le pays d�o� la lettre a �t� �crite. Ce pourrait �tre d�une contr�e o� se trouvaient des fr�res venus d�Italie, mais c�est plus probablement de Rome, les mots ceux d�Italie d�signent, en ce cas, l�entourage de l�auteur (voir l�Introduction).

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Hebrews 13". "Bible annotée". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/ann/hebrews-13.html.
 
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