Elisama. Peut-�tre le secr�taire d��tat, d�j� nomm� J�r�mie 36:12; peut-�tre aussi un fils de David lui-m�me, anc�tre d�une branche collat�rale, comparez 2 Samuel 5:16; 1 Chroniques 3:8; 1 Chroniques 14:7. Les d�tails donn�s ici sur la filiation d�Isma�l aggravent son crime, tout en nous permettant d�en deviner les motifs.
Dix hommes. On s�est �tonn� que ces dix hommes aient pu op�rer tant de carnage; mais ils �taient arm�s et d�termin�s, tandis que les autres �taient sans soup�ons et sans d�fense.
Ils mangeaient ensemble. Gu�dalia, dont la s�curit� ne se d�ment pas, avait invit� � sa table son ennemi. Ce trait augmente la noirceur du crime d�Isma�l.
Faisant mourir celui� Les Juifs c�l�braient, apr�s le retour de l�exil, un je�ne le troisi�me jour du septi�me mois, en souvenir de ce crime horrible et de la catastrophe supr�me qui l�avait suivi; Zacharie 7:5; Zacharie 8:19.
Avant que personne le s�t. Isma�l s��tait rendu ma�tre de la ville et en avait sans doute fait fermer les portes.
Ces 80 personnes �taient de pieux p�lerins appartenant � cette population samaritaine, form�e d�isra�lites et d�Assyriens, qui fut plus tard si odieuse aux Juifs. On est �tonn� de les voir venir adorer � J�rusalem, au moment o� le temple est en ruines. Mais les lieux o� avaient exist� les �difices sacr�s conservaient un caract�re saint. Plus tard encore, ce peuple fit de vains efforts pour se r�unir aux Juifs et adorer avec eux dans le temple r�tabli � J�rusalem.
En pleurant. Quelques interpr�tes rapportent ce trait aux p�lerins et non � Isma�l pr�tendant qu�il serait absurde qu�il e�t simul� le deuil tout le long du chemin. Mais cette interpr�tation est contraire au texte.
Venez vers Gu�dalia : nouvelle perfidie; Isma�l veut sans doute conna�tre par l� si ces p�lerins appartiennent au parti de Gu�dalia et des Chald�ens.
Isma�l parait ici pouss� par ce fanatisme farouche, cette haine de l��tranger qui va devenir de plus en plus le caract�re du peuple juif.
Ces dix hommes �chappent � la mort en offrant une ran�on.
Ces cachettes sont encore en usage aujourd�hui en Orient sous le nom de silos; elles sont assez bien dissimul�es pour ne pouvoir �tre d�couvertes que par celui qui les a faites.
� cause de Gu�dalia; d�autres lisent � c�t� de Gu�dalia, dans ce sens : que les corps de ces 70 personnes auraient �t� jet�s � c�t� du cadavre de Gu�dalia; mais l�ordre des mots n�est pas favorable � cette interpr�tation. Ce que nous avons dit (voir verset 6, note) justifie notre sens.
Celle que le roi Asa avait fait faire : comparez 1 Rois 15:22. Il s�agit d�une citerne que le roi Asa avait fait creuser dans l�int�rieur de la ville, pour fournir de l�eau � la garnison, et non pas des foss�s qui environnaient la place, comme quelques-uns l�ont pens�.
Le peuple qui �tait rest� : expression r�p�t�e deux fois dans le m�me verset, la premi�re pour comprendre indistinctement tous ceux qui furent emmen�s, et la seconde pour opposer les captifs ordinaires aux filles du roi ou princesses de sang royal.
Chez les fils d�Ammon. Comparez J�r�mie 40:14.
Johanan : voir J�r�mie 40:15.
Gabaon, actuellement el-Dschib (comparez Josu� 9:3; 2 Samuel 2:13), bourg situ� � deux kilom�tres au nord de Mitspa.
Huit hommes. il n�en avait donc perdu que 2.
Le khan de Cimham. Ce Cimham serait-il le fils de Barzilla� (2 Samuel 19:37-40) qui aurait �tabli en cet endroit un lieu de repos pour les voyageurs ?
versets 1-18
Elisama. Peut-�tre le secr�taire d��tat, d�j� nomm� J�r�mie 36:12; peut-�tre aussi un fils de David lui-m�me, anc�tre d�une branche collat�rale, comparez 2 Samuel 5:16; 1 Chroniques 3:8; 1 Chroniques 14:7. Les d�tails donn�s ici sur la filiation d�Isma�l aggravent son crime, tout en nous permettant d�en deviner les motifs.
Dix hommes. On s�est �tonn� que ces dix hommes aient pu op�rer tant de carnage; mais ils �taient arm�s et d�termin�s, tandis que les autres �taient sans soup�ons et sans d�fense.
Ils mangeaient ensemble. Gu�dalia, dont la s�curit� ne se d�ment pas, avait invit� � sa table son ennemi. Ce trait augmente la noirceur du crime d�Isma�l.
Faisant mourir celui� Les Juifs c�l�braient, apr�s le retour de l�exil, un je�ne le troisi�me jour du septi�me mois, en souvenir de ce crime horrible et de la catastrophe supr�me qui l�avait suivi; Zacharie 7:5; Zacharie 8:19.
Avant que personne le s�t. Isma�l s��tait rendu ma�tre de la ville et en avait sans doute fait fermer les portes.
Ces 80 personnes �taient de pieux p�lerins appartenant � cette population samaritaine, form�e d�isra�lites et d�Assyriens, qui fut plus tard si odieuse aux Juifs. On est �tonn� de les voir venir adorer � J�rusalem, au moment o� le temple est en ruines. Mais les lieux o� avaient exist� les �difices sacr�s conservaient un caract�re saint. Plus tard encore, ce peuple fit de vains efforts pour se r�unir aux Juifs et adorer avec eux dans le temple r�tabli � J�rusalem.
En pleurant. Quelques interpr�tes rapportent ce trait aux p�lerins et non � Isma�l pr�tendant qu�il serait absurde qu�il e�t simul� le deuil tout le long du chemin. Mais cette interpr�tation est contraire au texte.
Venez vers Gu�dalia : nouvelle perfidie; Isma�l veut sans doute conna�tre par l� si ces p�lerins appartiennent au parti de Gu�dalia et des Chald�ens.
Isma�l parait ici pouss� par ce fanatisme farouche, cette haine de l��tranger qui va devenir de plus en plus le caract�re du peuple juif.
Ces dix hommes �chappent � la mort en offrant une ran�on.
Ces cachettes sont encore en usage aujourd�hui en Orient sous le nom de silos; elles sont assez bien dissimul�es pour ne pouvoir �tre d�couvertes que par celui qui les a faites.
� cause de Gu�dalia; d�autres lisent � c�t� de Gu�dalia, dans ce sens : que les corps de ces 70 personnes auraient �t� jet�s � c�t� du cadavre de Gu�dalia; mais l�ordre des mots n�est pas favorable � cette interpr�tation. Ce que nous avons dit (voir verset 6, note) justifie notre sens.
Celle que le roi Asa avait fait faire : comparez 1 Rois 15:22. Il s�agit d�une citerne que le roi Asa avait fait creuser dans l�int�rieur de la ville, pour fournir de l�eau � la garnison, et non pas des foss�s qui environnaient la place, comme quelques-uns l�ont pens�.
Le peuple qui �tait rest� : expression r�p�t�e deux fois dans le m�me verset, la premi�re pour comprendre indistinctement tous ceux qui furent emmen�s, et la seconde pour opposer les captifs ordinaires aux filles du roi ou princesses de sang royal.
Chez les fils d�Ammon. Comparez J�r�mie 40:14.
Johanan : voir J�r�mie 40:15.
Gabaon, actuellement el-Dschib (comparez Josu� 9:3; 2 Samuel 2:13), bourg situ� � deux kilom�tres au nord de Mitspa.
Huit hommes. il n�en avait donc perdu que 2.
Le khan de Cimham. Ce Cimham serait-il le fils de Barzilla� (2 Samuel 19:37-40) qui aurait �tabli en cet endroit un lieu de repos pour les voyageurs ?