Le secours que j�implore est urgent, car ma vie touche � son terme.
2 � 9
Ce morceau trahit une grande agitation int�rieure. Les appels � Dieu sont entrem�l�s de plaintes.
D�but du verset : Touchante demande, dont l�incons�quence n�est qu�apparente. C�est au fond la situation du chr�tien lui-m�me : poursuivi par la justice de Dieu, il recourt � Dieu; fin du verset : Si Dieu ne prend pas en main la cause de Job, elle est sans espoir : ce ne sont pas les hommes qui prendront piti� de lui.
D�but du verset : Aucun de mes adversaires ou de mes voisins ne voudrait se d�clarer pour moi (me cautionner, verset 3), car ils sont incapables de comprendre le v�ritable �tat des affaires.
Fin du verset : Mais cet aveuglement me confirme dans la pens�e que la lutte engag�e entre eux et moi n�aboutira pas � leur avantage.
On fait pr�somptueusement part � ses amis de sa pr�tendue sagesse, et l�on n�en a pas assez pour sa propre famille.
Ce verset difficile a �t� compris diff�remment, par exemple : Ils sont pr�ts � vendre leurs amis; aussi les yeux de leurs enfants seront-ils consum�s, c�est-�-dire : Leur duret� � l��gard d�un ami sera punie par le sort r�serv� � leurs enfants.
Il m�a fait. Ici Job en revient � Dieu.
Comme de l�ombre : sans consistance.
L�innocent qui souffre s�indigne en voyant l�impie prosp�rer.
Pour conclusion, nouvelle affirmation de son innocence (Job 16:17), qui lui permet d�avoir encore confiance en Dieu, tandis que, avec ses amis il n�y a rien � faire.
Revenir, et m�adresser la parole.
Ces tr�sors de mon c�ur. Nous dirions moins hardiment : Ces projets chers � mon c�ur.
Ils n�ont jamais voulu comprendre que c�en est fait de moi. Ils ont toujours (Job 5:17-26; Job 8:20-21; Job 11:13-19) band� ma plaie � la l�g�re.
13 � 15
Moi qui suis qualifi� pour savoir ce qu�il en est de moi, je dis qu�il n�y a nulle esp�rance.
Les esp�rances descendent dans le tombeau en m�me temps que la vie. Et peut-�tre alors aurons-nous ensemble, mes esp�rances et moi, du repos dans la poussi�re.
versets 1-16
Le secours que j�implore est urgent, car ma vie touche � son terme.
2 � 9
Ce morceau trahit une grande agitation int�rieure. Les appels � Dieu sont entrem�l�s de plaintes.
D�but du verset : Touchante demande, dont l�incons�quence n�est qu�apparente. C�est au fond la situation du chr�tien lui-m�me : poursuivi par la justice de Dieu, il recourt � Dieu; fin du verset : Si Dieu ne prend pas en main la cause de Job, elle est sans espoir : ce ne sont pas les hommes qui prendront piti� de lui.
D�but du verset : Aucun de mes adversaires ou de mes voisins ne voudrait se d�clarer pour moi (me cautionner, verset 3), car ils sont incapables de comprendre le v�ritable �tat des affaires.
Fin du verset : Mais cet aveuglement me confirme dans la pens�e que la lutte engag�e entre eux et moi n�aboutira pas � leur avantage.
On fait pr�somptueusement part � ses amis de sa pr�tendue sagesse, et l�on n�en a pas assez pour sa propre famille.
Ce verset difficile a �t� compris diff�remment, par exemple : Ils sont pr�ts � vendre leurs amis; aussi les yeux de leurs enfants seront-ils consum�s, c�est-�-dire : Leur duret� � l��gard d�un ami sera punie par le sort r�serv� � leurs enfants.
Il m�a fait. Ici Job en revient � Dieu.
Comme de l�ombre : sans consistance.
L�innocent qui souffre s�indigne en voyant l�impie prosp�rer.
Pour conclusion, nouvelle affirmation de son innocence (Job 16:17), qui lui permet d�avoir encore confiance en Dieu, tandis que, avec ses amis il n�y a rien � faire.
Revenir, et m�adresser la parole.
Ces tr�sors de mon c�ur. Nous dirions moins hardiment : Ces projets chers � mon c�ur.
Ils n�ont jamais voulu comprendre que c�en est fait de moi. Ils ont toujours (Job 5:17-26; Job 8:20-21; Job 11:13-19) band� ma plaie � la l�g�re.
13 � 15
Moi qui suis qualifi� pour savoir ce qu�il en est de moi, je dis qu�il n�y a nulle esp�rance.
Les esp�rances descendent dans le tombeau en m�me temps que la vie. Et peut-�tre alors aurons-nous ensemble, mes esp�rances et moi, du repos dans la poussi�re.