Un voile sur sa figure, ou un masque. Bien qu�op�rant de nuit, il craint encore, d��tre reconnu.
Ils redoutent la lumi�re autant qu�en g�n�ral on redoute la nuit.
18 � 21
Ces quatre versets �tonnent. Il semble que Job devrait dire au contraire que les m�chants ne sont pas punis, ce qu�il dira effectivement versets 22 � 25. Veut-il montrer ironiquement qu�il sait, quand il lui pla�t, d�peindre le sort fatal des m�chants aussi bien que l�ont fait ses interlocuteurs ? La chose est douteuse. D�autres, avec quelques anciennes traductions, prennent ces versets comme un v�u : Qu�il soit emport� Que sa part sur la terre soit maudite ! V�ux auxquels la r�alit� ne r�pond pas (versets 22 � 24). Mais cette traduction ne se justifie pas. D�autres enfin pensent que ces versets faisaient primitivement partie du discours de Bildad, qui ne se compose que de quelques lignes (chapitre 25), ou de celui de Tsophar qui a peut-�tre enti�rement disparu.
Sa part : ses propri�t�s.
Le s�jour des morts entra�ne et attire � lui les p�cheurs aussi rapidement que la neige fond sous l�action de la chaleur.
Le crime, pour le criminel.
L�chet� : d�pouiller une femme qui n�a pas de fils pour prendre sa d�fense.
22 � 25
Ici nous rentrons dans le courant des id�es de Job : ces m�chants, ou bien meurent sans souffrance, ou bien quittent cette terre rassasi�s d�heureux jours.
Ses yeux reposent avec satisfaction sur leurs voies.
versets 1-25
Un voile sur sa figure, ou un masque. Bien qu�op�rant de nuit, il craint encore, d��tre reconnu.
Ils redoutent la lumi�re autant qu�en g�n�ral on redoute la nuit.
18 � 21
Ces quatre versets �tonnent. Il semble que Job devrait dire au contraire que les m�chants ne sont pas punis, ce qu�il dira effectivement versets 22 � 25. Veut-il montrer ironiquement qu�il sait, quand il lui pla�t, d�peindre le sort fatal des m�chants aussi bien que l�ont fait ses interlocuteurs ? La chose est douteuse. D�autres, avec quelques anciennes traductions, prennent ces versets comme un v�u : Qu�il soit emport� Que sa part sur la terre soit maudite ! V�ux auxquels la r�alit� ne r�pond pas (versets 22 � 24). Mais cette traduction ne se justifie pas. D�autres enfin pensent que ces versets faisaient primitivement partie du discours de Bildad, qui ne se compose que de quelques lignes (chapitre 25), ou de celui de Tsophar qui a peut-�tre enti�rement disparu.
Sa part : ses propri�t�s.
Le s�jour des morts entra�ne et attire � lui les p�cheurs aussi rapidement que la neige fond sous l�action de la chaleur.
Le crime, pour le criminel.
L�chet� : d�pouiller une femme qui n�a pas de fils pour prendre sa d�fense.
22 � 25
Ici nous rentrons dans le courant des id�es de Job : ces m�chants, ou bien meurent sans souffrance, ou bien quittent cette terre rassasi�s d�heureux jours.
Ses yeux reposent avec satisfaction sur leurs voies.
Ils ont disparu, doucement.