O� Dieu me gardait. Maintenant Dieu me garde dans un sens bien diff�rent (Job 13:27).
En pleines t�n�bres : quand par exception, il se pr�sentait des afflictions, des obscurit�s, des doutes.
Aux jours de mon automne : de la pleine vigueur de l�homme fait; le printemps d�signerait l�enfance; l��t�, la jeunesse.
5 et 6
Apr�s la communion avec Dieu, sa plus grande joie, c��tait sa belle et nombreuse famille; puis Job rappelle (verset 6) l�abondance dans laquelle il vivait et il la d�peint par des images hardies.
7 � 10 consid�ration dont il �tait entour� m�me en dehors de sa famille
Il habitait la campagne, au milieu de vastes propri�t�s. De l� il se rendait au chef-lieu pour prendre part aux assembl�es des notables, qui avaient lieu sur la place entre la porte et l�int�rieur de la ville (Ruth 4:1).
Les jeunes gens se cachaient : se retiraient en arri�re, parce qu�il ne convenait pas qu�ils fussent au premier rang en pr�sence d�un pareil personnage.
Les vieillards restaient debout, jusqu�� ce qu�il f�t assis.
11 � 17 cause de tant de prosp�rit� et d�honneurs
Je ne pouvais parler, me montrer nulle part, qu�on n�e�t le sentiment que j��tais vraiment un b�ni de l��ternel. Et pourquoi b�ni ? Voir versets 12 et 13.
Qui allait p�rir, au moment o� j�intervenais en sa faveur.
Job avait pris la justice pour v�tement; mais il �tait lui-m�me tellement p�n�tr� de justice, que cette vertu, figur�e ici comme une personne, le prenait, lui, pour v�tement. En d�autres termes Job et la justice se confondaient, ne faisaient qu�un.
Du violent : de l�homme sans c�ur, qui faisait tort aux malheureux.
18 � 25 cela �tant, Job avait le droit de s�attendre � une prosp�rit� durable
Dans mon nid : en paisible possession de tous les biens que je viens de rappeler.
Que le sable. Plusieurs traduisent : que ceux du ph�nix, oiseau merveilleux qui se br�lait avec son nid apr�s cinq cents ans de vie. Mais ce serait ici le seul passage o� le mot ainsi rendu n�aurait pas son sens habituel de sable. Puis la fable du ph�nix est-elle aussi ancienne que notre livre ?
Ma racine, pensais-je, sera ouverte � l�eau. Il faut, pour qu�une plante prosp�re, que rien n�emp�che l�eau de p�n�trer dans ses racines. Or on ne voyait gu�re ce qui pouvait arr�ter le bonheur de Job.
L�arc est le symbole de la force.
� partir de ce verset, Job en revient avec complaisance � la description de la confiance qu�on avait en lui et des honneurs qu�on lui rendait.
On attendait : on �tait d�sireux de savoir mon opinion sur les principales questions en jeu.
Ils ouvraient la bouche. Dans les pays secs, la pluie joue le r�le d�un bienfaiteur. Comme la terre, fendue par la s�cheresse semble s�entrouvrir pour recevoir la pluie du printemps (la derni�re pluie avant la moisson), ainsi on attendait, la bouche entrouverte, pour voir ce que je dirais.
Quand j�allais chez eux : verset 7.
Comme un roi au milieu de sa troupe, de ses gardes : le premier, sans contestation possible. Cette image guerri�re est suivie d�une autre comparaison, plus paisible, et qui en m�me temps renferme peut-�tre un reproche � l�adresse des amis qui l�ont si mal consol�.
versets 1-25
2 � 10 description de son bonheur pass�
O� Dieu me gardait. Maintenant Dieu me garde dans un sens bien diff�rent (Job 13:27).
En pleines t�n�bres : quand par exception, il se pr�sentait des afflictions, des obscurit�s, des doutes.
Aux jours de mon automne : de la pleine vigueur de l�homme fait; le printemps d�signerait l�enfance; l��t�, la jeunesse.
5 et 6
Apr�s la communion avec Dieu, sa plus grande joie, c��tait sa belle et nombreuse famille; puis Job rappelle (verset 6) l�abondance dans laquelle il vivait et il la d�peint par des images hardies.
7 � 10 consid�ration dont il �tait entour� m�me en dehors de sa famille
Il habitait la campagne, au milieu de vastes propri�t�s. De l� il se rendait au chef-lieu pour prendre part aux assembl�es des notables, qui avaient lieu sur la place entre la porte et l�int�rieur de la ville (Ruth 4:1).
Les jeunes gens se cachaient : se retiraient en arri�re, parce qu�il ne convenait pas qu�ils fussent au premier rang en pr�sence d�un pareil personnage.
Les vieillards restaient debout, jusqu�� ce qu�il f�t assis.
11 � 17 cause de tant de prosp�rit� et d�honneurs
Je ne pouvais parler, me montrer nulle part, qu�on n�e�t le sentiment que j��tais vraiment un b�ni de l��ternel. Et pourquoi b�ni ? Voir versets 12 et 13.
Qui allait p�rir, au moment o� j�intervenais en sa faveur.
Job avait pris la justice pour v�tement; mais il �tait lui-m�me tellement p�n�tr� de justice, que cette vertu, figur�e ici comme une personne, le prenait, lui, pour v�tement. En d�autres termes Job et la justice se confondaient, ne faisaient qu�un.
Du violent : de l�homme sans c�ur, qui faisait tort aux malheureux.
18 � 25 cela �tant, Job avait le droit de s�attendre � une prosp�rit� durable
Dans mon nid : en paisible possession de tous les biens que je viens de rappeler.
Que le sable. Plusieurs traduisent : que ceux du ph�nix, oiseau merveilleux qui se br�lait avec son nid apr�s cinq cents ans de vie. Mais ce serait ici le seul passage o� le mot ainsi rendu n�aurait pas son sens habituel de sable. Puis la fable du ph�nix est-elle aussi ancienne que notre livre ?
Ma racine, pensais-je, sera ouverte � l�eau. Il faut, pour qu�une plante prosp�re, que rien n�emp�che l�eau de p�n�trer dans ses racines. Or on ne voyait gu�re ce qui pouvait arr�ter le bonheur de Job.
L�arc est le symbole de la force.
� partir de ce verset, Job en revient avec complaisance � la description de la confiance qu�on avait en lui et des honneurs qu�on lui rendait.
On attendait : on �tait d�sireux de savoir mon opinion sur les principales questions en jeu.
Ils ouvraient la bouche. Dans les pays secs, la pluie joue le r�le d�un bienfaiteur. Comme la terre, fendue par la s�cheresse semble s�entrouvrir pour recevoir la pluie du printemps (la derni�re pluie avant la moisson), ainsi on attendait, la bouche entrouverte, pour voir ce que je dirais.
Quand j�allais chez eux : verset 7.
Comme un roi au milieu de sa troupe, de ses gardes : le premier, sans contestation possible. Cette image guerri�re est suivie d�une autre comparaison, plus paisible, et qui en m�me temps renferme peut-�tre un reproche � l�adresse des amis qui l�ont si mal consol�.