L�insens�. L�ath�isme, d�apr�s l��criture, n�est pas une simple erreur, mais un aveuglement volontaire. Pour nier Dieu, il faut en effet non seulement �touffer la voix du c�ur et de la conscience, mais aller � l�encontre des lois les plus �l�mentaires de la pens�e, renoncer � admettre une cause premi�re et un but final, faire du monde un ensemble de ph�nom�nes sans raison d��tre et sans id�e directrice.
Dit en son c�ur� Comparez Psaumes 10:4. Il le dit souvent d�une mani�re inconsciente, car il y a dans la pratique du mal une incr�dulit� cach�e, mais aussi parfois d�une mani�re consciente, en cherchant � justifier une vie coupable par un syst�me mensonger.
L��ternel. Ce n�est pas seulement l�homme, sujet � l�erreur, qui voit partout le mal, mais aussi Dieu, auquel rien n��chappe.
Pour voir. Comparez Gen�se 11:5, note.
Qui cherche Dieu. C�est en cela que se montrerait l�intelligence v�ritable.
4 � 6 Le jugement entrevu
Point de connaissance ? (comparez �sa�e 1:3), litt�ralement : Ne savent-ils pas ?� Ils devraient savoir o� m�ne le p�ch�.
Qui mangent mon peuple, litt�ralement : qui, mangeant mon peuple, mangent du pain; la premi�re action leur est aussi naturelle que la seconde. Il s�agit de gens qui profitent de leur position �lev�e pour opprimer les petits. Comparez J�r�mie 22:13; Malachie 3:5; Proverbes 30:14; Jacques 5:4.
N�invoquent pas l��ternel. Ils ont rejet� la pri�re, qui est le trait distinctif de l�homme. De l� leur conduite brutale et bestiale.
Ce verset et le suivant n�ont plus que deux stiches; le langage devient bref, en m�me temps que mena�ant.
L�afflig�. Tel est le nom que nous avons vu si souvent d�j� donn� au croyant m�pris� et opprim� (Psaumes 9:13, Psaumes 9:19; Psaumes 10:2, Psaumes 10:9; Psaumes 12:6). Voir Psaumes 18:28, note; 1 Corinthiens 15:19. Dans cet �tat de faiblesse vis-�-vis du monde, le fid�le forme des projets, soit pour rem�dier � son triste �tat, soit pour avancer la gloire de Dieu, mais le m�chant se h�te de les contrecarrer. Seulement, � son tour, le m�chant sera d��u, puisque l��ternel est le refuge du fid�le. Aussi le psalmiste s��crie-t-il ironiquement : R�duisez � n�ant�; l��ternel est l� !
Qui donnera ? H�bra�sme fr�quemment employ� pour exprimer un d�sir synonyme de : Oh ! Quand viendra� ?
De Sion. Le peuple est captif, J�rusalem en ruines. Mais les exil�s se repr�sentent l��ternel venant au milieu de ces ruines pour faire de Sion son s�jour et le point de d�part de ses d�livrances. Sur l�origine de ce verset voir l�introduction au psaume.
versets 1-7
L�insens�. L�ath�isme, d�apr�s l��criture, n�est pas une simple erreur, mais un aveuglement volontaire. Pour nier Dieu, il faut en effet non seulement �touffer la voix du c�ur et de la conscience, mais aller � l�encontre des lois les plus �l�mentaires de la pens�e, renoncer � admettre une cause premi�re et un but final, faire du monde un ensemble de ph�nom�nes sans raison d��tre et sans id�e directrice.
Dit en son c�ur� Comparez Psaumes 10:4. Il le dit souvent d�une mani�re inconsciente, car il y a dans la pratique du mal une incr�dulit� cach�e, mais aussi parfois d�une mani�re consciente, en cherchant � justifier une vie coupable par un syst�me mensonger.
L��ternel. Ce n�est pas seulement l�homme, sujet � l�erreur, qui voit partout le mal, mais aussi Dieu, auquel rien n��chappe.
Pour voir. Comparez Gen�se 11:5, note.
Qui cherche Dieu. C�est en cela que se montrerait l�intelligence v�ritable.
4 � 6 Le jugement entrevu
Point de connaissance ? (comparez �sa�e 1:3), litt�ralement : Ne savent-ils pas ?� Ils devraient savoir o� m�ne le p�ch�.
Qui mangent mon peuple, litt�ralement : qui, mangeant mon peuple, mangent du pain; la premi�re action leur est aussi naturelle que la seconde. Il s�agit de gens qui profitent de leur position �lev�e pour opprimer les petits. Comparez J�r�mie 22:13; Malachie 3:5; Proverbes 30:14; Jacques 5:4.
N�invoquent pas l��ternel. Ils ont rejet� la pri�re, qui est le trait distinctif de l�homme. De l� leur conduite brutale et bestiale.
Ce verset et le suivant n�ont plus que deux stiches; le langage devient bref, en m�me temps que mena�ant.
L�afflig�. Tel est le nom que nous avons vu si souvent d�j� donn� au croyant m�pris� et opprim� (Psaumes 9:13, Psaumes 9:19; Psaumes 10:2, Psaumes 10:9; Psaumes 12:6). Voir Psaumes 18:28, note; 1 Corinthiens 15:19. Dans cet �tat de faiblesse vis-�-vis du monde, le fid�le forme des projets, soit pour rem�dier � son triste �tat, soit pour avancer la gloire de Dieu, mais le m�chant se h�te de les contrecarrer. Seulement, � son tour, le m�chant sera d��u, puisque l��ternel est le refuge du fid�le. Aussi le psalmiste s��crie-t-il ironiquement : R�duisez � n�ant�; l��ternel est l� !
Qui donnera ? H�bra�sme fr�quemment employ� pour exprimer un d�sir synonyme de : Oh ! Quand viendra� ?
De Sion. Le peuple est captif, J�rusalem en ruines. Mais les exil�s se repr�sentent l��ternel venant au milieu de ces ruines pour faire de Sion son s�jour et le point de d�part de ses d�livrances. Sur l�origine de ce verset voir l�introduction au psaume.