Meurs pour le fils. C��taient l� probablement les premi�res paroles d�un chant � la m�lodie duquel �tait adapt� notre psaume.
4 � 11
La victoire remport�e (versets 4 � 7); confiance pour l�avenir (versets 8 � 11).
Ils reculent�, tr�buchent�, p�rissent : d�sastre toujours plus complet, ayant pour cause (verset 5) l�intervention de l��ternel.
Tu t�es assis. Comparez Psaumes 7:8, note. La m�me id�e repara�t au verset 8.
Les nations : les pa�ens; voir Psaumes 2:1, note.
Il a dress� son tr�ne. En opposition aux villes disparues (verset 7), le psalmiste voit un tr�ne haut �lev� pour toujours. C�est celui de l��ternel, qui jugera � l�avenir, comme il a jug� autrefois.
Une haute retraite. Mena�ant pour les m�chants, ce tr�ne est un asile pour l�opprim�.
12 � 19
Le ton devient celui d�une pr�dication adress�e � tous les peuples. Partout il y a des opprim�s et des oppresseurs. De Sion, l��ternel exercera partout sa justice.
12 � 15 Encouragement adress� aux mis�rables
Qui habite en Sion. David n�ignore pas que la vraie r�sidence de l��ternel est dans les hauts lieux (Psaumes 7:8). Mais il a plu � Dieu de choisir Sion comme le lieu terrestre d�o� sa gloire doit rayonner sur tous les peuples. Comparez Psaumes 18:50.
Vengeur du sang, litt�ralement : celui qui r�clame comme sa propri�t� le sang vers�. L��ternel appara�t ici comme le plus proche parent de la victime (Nombres 35:9-12).
Fais-moi gr�ce� Ce cri d�appel surprend, au milieu d�un psaume de louange. Remarquons cependant le lien �troit que les mots mis�rable �tat �tablissent avec le verset 13. Avec la vivacit� qui lui est propre, David fait entendre ce cri des afflig�s qu�il a si souvent pouss� lui-m�me, comme pour exhorter tous les malheureux � le faire monter vers Dieu.
Les portes de la mort, h�breu : du Sch�ol, s�jour des morts (Psaumes 6:6, note). Le terme de portes repr�sente ce s�jour comme une forteresse d�o� ne peuvent sortir les captifs qui y ont �t� enferm�s (Job 38:17; �sa�e 38:10). Ce sont ces portes, devenues le symbole de toute la puissance de l�ennemi, qui ne pr�vaudront pas contre l��glise (Matthieu 16:18).
Les portes de la fille de Sion forment ici contraste avec celles de l�enfer. C�est aux portes des villes que se trouvaient, en Orient, les places publiques, o� l�on convoquait le peuple pour toutes les assembl�es importantes.
16 � 19 Le sort des oppresseurs
L�id�e du salut, par laquelle se termine la strophe pr�c�dente, devient de nouveau dominante. Tandis que Dieu retire du Sch�ol le mis�rable qui crie � lui, les pa�ens, ennemis de l��ternel, y descendent, par un acte de la justice divine, qui les prend dans leurs propres pi�ges. C�est ce que David � constat� dans la victoire remport�e (versets 16 et 17) et ce qu�il annonce comme devant se reproduire � l�avenir (versets 18 et 19).
Ils s�en retourneront. Comparez Psaumes 90:3. Par la mort, le corps retourne � la terre, et l��me, descendant au Sch�ol, rentre dans un �tat d�impuissance semblable, bien que non identique, au n�ant.
Oubli�. Si Dieu est oubli� des hommes (verset 18), le mis�rable ne l�est pas de Dieu.
20 et 21 Invocation finale
L�ve-toi ! Expression fr�quente dans les Psaumes, particuli�rement dans ceux qui sont attribu�s � David (Psaumes 3:8; Psaumes 8:7; Psaumes 10:12; Psaumes 17:13, etc.).
versets 1-20
Meurs pour le fils. C��taient l� probablement les premi�res paroles d�un chant � la m�lodie duquel �tait adapt� notre psaume.
4 � 11
La victoire remport�e (versets 4 � 7); confiance pour l�avenir (versets 8 � 11).
Ils reculent�, tr�buchent�, p�rissent : d�sastre toujours plus complet, ayant pour cause (verset 5) l�intervention de l��ternel.
Tu t�es assis. Comparez Psaumes 7:8, note. La m�me id�e repara�t au verset 8.
Les nations : les pa�ens; voir Psaumes 2:1, note.
Il a dress� son tr�ne. En opposition aux villes disparues (verset 7), le psalmiste voit un tr�ne haut �lev� pour toujours. C�est celui de l��ternel, qui jugera � l�avenir, comme il a jug� autrefois.
Une haute retraite. Mena�ant pour les m�chants, ce tr�ne est un asile pour l�opprim�.
12 � 19
Le ton devient celui d�une pr�dication adress�e � tous les peuples. Partout il y a des opprim�s et des oppresseurs. De Sion, l��ternel exercera partout sa justice.
12 � 15 Encouragement adress� aux mis�rables
Qui habite en Sion. David n�ignore pas que la vraie r�sidence de l��ternel est dans les hauts lieux (Psaumes 7:8). Mais il a plu � Dieu de choisir Sion comme le lieu terrestre d�o� sa gloire doit rayonner sur tous les peuples. Comparez Psaumes 18:50.
Vengeur du sang, litt�ralement : celui qui r�clame comme sa propri�t� le sang vers�. L��ternel appara�t ici comme le plus proche parent de la victime (Nombres 35:9-12).
Fais-moi gr�ce� Ce cri d�appel surprend, au milieu d�un psaume de louange. Remarquons cependant le lien �troit que les mots mis�rable �tat �tablissent avec le verset 13. Avec la vivacit� qui lui est propre, David fait entendre ce cri des afflig�s qu�il a si souvent pouss� lui-m�me, comme pour exhorter tous les malheureux � le faire monter vers Dieu.
Les portes de la mort, h�breu : du Sch�ol, s�jour des morts (Psaumes 6:6, note). Le terme de portes repr�sente ce s�jour comme une forteresse d�o� ne peuvent sortir les captifs qui y ont �t� enferm�s (Job 38:17; �sa�e 38:10). Ce sont ces portes, devenues le symbole de toute la puissance de l�ennemi, qui ne pr�vaudront pas contre l��glise (Matthieu 16:18).
Les portes de la fille de Sion forment ici contraste avec celles de l�enfer. C�est aux portes des villes que se trouvaient, en Orient, les places publiques, o� l�on convoquait le peuple pour toutes les assembl�es importantes.
16 � 19 Le sort des oppresseurs
L�id�e du salut, par laquelle se termine la strophe pr�c�dente, devient de nouveau dominante. Tandis que Dieu retire du Sch�ol le mis�rable qui crie � lui, les pa�ens, ennemis de l��ternel, y descendent, par un acte de la justice divine, qui les prend dans leurs propres pi�ges. C�est ce que David � constat� dans la victoire remport�e (versets 16 et 17) et ce qu�il annonce comme devant se reproduire � l�avenir (versets 18 et 19).
Ils s�en retourneront. Comparez Psaumes 90:3. Par la mort, le corps retourne � la terre, et l��me, descendant au Sch�ol, rentre dans un �tat d�impuissance semblable, bien que non identique, au n�ant.
Oubli�. Si Dieu est oubli� des hommes (verset 18), le mis�rable ne l�est pas de Dieu.
20 et 21 Invocation finale
L�ve-toi ! Expression fr�quente dans les Psaumes, particuli�rement dans ceux qui sont attribu�s � David (Psaumes 3:8; Psaumes 8:7; Psaumes 10:12; Psaumes 17:13, etc.).