Le jugement frappera le monde entier (versets 2 et 3) et d�truira en Juda et � J�rusalem tous les idol�tres et les impies (versets 4 � 6).
J�enl�verai tout� Le proph�te d�crit dans les versets 2 et 3 le jugement qui va frapper le monde d�alors, c�est-�-dire la puissance assyrienne, repr�sentant l�ensemble des peuples connus � cette �poque. Ce jugement n�est pas l�objet essentiel de la pr�dication du proph�te; il n�est mentionn� que pour pr�parer l�annonce du jugement sp�cial de Juda. Si Sophonie s��tend tout particuli�rement sur l�ex�cution de ce dernier, c�est que Dieu destine � son peuple une mission sp�ciale dans le monde et qu�il doit �tre purifi� de ses scories pour pouvoir la remplir.
L�expression tout est �videmment hyperbolique.
� cause de la m�chancet� des hommes, Dieu veut d�truire toutes les cr�atures. Comparez J�r�mie 9:10; Os�e 4:3. Il y a probablement dans cette menace une allusion � Gen�se 1:20 : de m�me que jadis Dieu a pu former toutes ces cr�atures, de m�me, au jour de sa col�re, il peut les faire toutes disparaitre.
Les scandales en m�me temps que les impies : les cultes idol�tres avec tout ce qui s�y attache (�z�chiel 7:19-20). Mais le jugement a principalement pour objet les hommes, les p�cheurs; c�est pour cette raison que l�an�antissement des hommes est encore mentionn� � la fin de ce passage, et cela au moyen d�une expression plus forte que la pr�c�dente, celle de retrancher.
Le jugement qui frappera le monde et ses habitants atteindra particuli�rement Juda et J�rusalem.
Le reste de Baal, c�est-�-dire tout ce qui reste encore du culte de Baal et de l�idol�trie en g�n�ral (la partie sert ici � d�signer le tout). Cette expression suppose l��uvre de r�forme du pieux roi Josias commenc�e, mais non achev�e (voir l�introduction).
Les pr�tres d�idoles. Le mot employ� ne se retrouve que 2 Rois 23:5 et Os�e 10:5 : kemarim est un mot syriaque d�signant les pr�tres : litt�ralement les v�tus de noir; ce terme est choisi par opposition aux pr�tres du vrai Dieu, v�tus de blanc. Ces hommes �taient pr�pos�s par les rois de Juda au culte des hauts-lieux.
Les sacrificateurs d�signent par cons�quent les pr�tres de l��ternel infid�les � Dieu.
Apr�s les pr�tres vient le tour des la�ques idol�tres; ils sont rang�s en trois classes : les adorateurs des astres; les partag�s, c�est-�-dire ceux qui veulent r�unir le culte de l��ternel et celui des faux dieux; les impies, qui ne veulent aucun culte. L�adoration des astres ou sab�isme �tait en rapport �troit avec le culte de Baal; le soleil, la lune et les �toiles �taient honor�s comme les foyers des forces de la nature ador�es en Baal et en Astart� (voir 2 Rois 21:3; 2 Rois 23:5). Sur les plates-formes des maisons �taient �lev�s des autels sans idoles, o� l�on offrait � l�arm�e des cieux des parfums et des sacrifices (2 Rois 23:12).
Ceux qui se prosternent� et jurent� : ils pr�tent serment � l��ternel, c�est-�-dire d�clarent se consacrer � son service, et cependant ils jurent par leur Roi, c�est-�-dire qu�ils ont toujours sur les l�vres le nom de leur faux dieu, Baal, souvent appel� le Roi. On traduit aussi par Malcom; il s�agirait alors de la divinit� Moloch, dont le culte avait aussi �t� introduit chez les Isra�lites.
7 � 13
Le fil de la proph�tie est rompu par un imp�rieux appel au silence, motiv� par l�arriv�e prochaine de l��ternel qui va parler lui-m�me, en exer�ant le jugement. Comparez Habacuc 2:20; Zacharie 2:13.
La journ�e de l��ternel : voir �sa�e 13:6; Jo�l 1:15, etc. Le jugement qui approche est compar� � un repas de sacrifice (comparez �sa�e 34:6); celui qui sacrifie, c�est l��ternel; la victime, c�est Juda; les convives, appel�s par Dieu � d�vorer Jacob, c�est-�-dire � assouvir sur lui leur soif de vengeance et de pillage (�z�chiel 39:17-20), ce sont les ennemis, les Chald�ens. Dieu les consacre comme pour une c�r�monie religieuse.
8 � 13
Le proph�te vient de distinguer les hommes selon leurs rapports avec Dieu; il les classe, dans le morceau suivant, d�apr�s leur position sociale.
8 et 9
En premier lieu seront immol�s les princes, c�est-�-dire les grands du royaume; les fils du roi, non seulement les fils de Josias, qui �taient encore jeunes, mais les membres de la famille royale en g�n�ral; comparez J�r�mie 36:26. Pour l�accomplissement de cette proph�tie, voir 2 Rois 25:7.
Ceux qui se v�tent de v�tements �trangers : les membres des familles riches, qui introduisaient dans le pays des m�urs en m�me temps que des cultes �trangers. Pour la mise en grande partie �trang�re des femmes, d�j� sous Achaz et �z�chias, voir �sa�e 3:16-24.
Ceux qui sautent par dessus le seuil. On a pens� qu�il y avait l� une allusion � un usage pa�en du genre de celui qui est mentionn� 1 Samuel 5:5; mais la fin du verset montre qu�il faut plut�t entendre par l� l�acte de p�n�trer violemment dans les maisons pour s�emparer du bien d�autrui. Il s�agirait alors de serviteurs royaux, qui pensent se rendre agr�ables � leur ma�tre en lui procurant par la violence des tr�sors enlev�s � ses sujets.
10 et 11 en second lieu, les usuriers
La porte des poissons se trouvait au nord de la ville, au haut du Tyrop�on (N�h�mie 3:3; N�h�mie 12:39).
Les faubourgs : proprement l�autre ville, la seconde ville (2 Rois 21:4); c��tait sans doute le centre industriel et commer�ant de J�rusalem, comme semblent l�indiquer les noms de deux des portes qui se trouvaient de ce c�t� : la porte des poissons et celle des brebis.
Les collines sont probablement celles qui entouraient ces faubourgs.
Mact�s (ce mot signifie le mortier) : expression figur�e pour d�signer une excavation de rocher (Juges 15:19); c�est le nom appliqu� au quartier dont il vient d��tre question; ce quartier �tait situ� dans le haut du Tyrop�on, l� o� la combe, en se r�tr�cissant, pr�sentait l�aspect d�un mortier. Mais il est �vident que le proph�te se sert aussi � dessein de ce nom pour indiquer le sort qui attend les habitants de ce quartier : ils seront pil�s dans leur mortier.
Toute la gent canan�enne : les marchands isra�lites qui s��taient enrichis, � l�instar des Canan�ens ou Ph�niciens, par l�usure et la fraude (voir Os�e 12:8).
12 et 13 enfin les impies
L��crivain sacr� passe d�une classe � l�autre en reprenant la m�me transition : En ce temps-l��.
Je fouillerai J�rusalem avec des lanternes : afin de d�couvrir les coupables dans leurs repaires les plus secrets. Jos�phe raconte que, lors de la prise de J�rusalem par les Romains, les princes, les grands et les sacrificateurs furent retir�s par l�ennemi des cavernes, des �gouts et des s�pulcres, o� ils s��taient cach�s; c�est quelque chose de semblable que le proph�te annonce comme devant avoir lieu d�j� lors de la destruction de la ville sainte par les Chald�ens.
Fig�s sur leur lie. Ces mots d�signent la persistance et la complaisance avec lesquelles ils se livrent � leur grossi�re indiff�rence morale et religieuse. Ils ne nient pas l�existence de dieu, mais son action dans le monde; ils assimilent l��ternel aux idoles qui ne font ni bien ni mal (�sa�e 41:23). � ceux-l�, Dieu se manifestera comme le Roi du monde, en livrant leurs biens au pillage, afin qu�ils apprennent par exp�rience la v�rit� des ch�timents pr�dits dans sa Parole aux impies (Deut�ronome 28:39).
14 � 18
Pillage. C�est par une arm�e envahissante que Dieu punira son peuple.
Apr�s avoir termin� ce second tableau du jugement, qui atteindra les p�cheurs, le proph�te reprend et d�veloppe la pens�e exprim�e au verset 7 : la journ�e de l��ternel sera terrible.
15 et 16
Pour d�peindre l�horreur de ce jour, Sophonie accumule les expressions les plus �nergiques que poss�de la langue; voir �sa�e 13:6-9 et surtout Jo�l 2:1-2, auquel ce morceau doit avoir �t� emprunt� en grande partie.
Jour de fureur� Ces premiers mots ont inspir� le fameux chant de l��glise catholique connu sous le nom de Dies irae (traduction de la Vulgate).
Le proph�te indique ici le genre du jugement : des ennemis, au son des trompettes, assi�geront et d�truiront les forteresses; comparez �sa�e 2:15. Il s�agit ici des lieux fortifi�s de Juda et surtout des murs de J�rusalem.
Je mettrai les hommes dans la d�tresse rappelle la menace de Mo�se, Deut�ronome 28:52, � laquelle fait d�j� allusion le verset 16.
Ils marcheront comme les aveugles. Ils chercheront, sans la trouver, une issue � leur d�tresse.
Comme de la poussi�re. Le point de comparaison n�est pas la multitude, mais l�absence de valeur des grains de poussi�re. Comparez �sa�e 49:23.
Toute la terre : la description s�ach�ve et se compl�te en reprenant son point de d�part (voir note du verset 2).
versets 1-18
2 � 6
Le jugement frappera le monde entier (versets 2 et 3) et d�truira en Juda et � J�rusalem tous les idol�tres et les impies (versets 4 � 6).
J�enl�verai tout� Le proph�te d�crit dans les versets 2 et 3 le jugement qui va frapper le monde d�alors, c�est-�-dire la puissance assyrienne, repr�sentant l�ensemble des peuples connus � cette �poque. Ce jugement n�est pas l�objet essentiel de la pr�dication du proph�te; il n�est mentionn� que pour pr�parer l�annonce du jugement sp�cial de Juda. Si Sophonie s��tend tout particuli�rement sur l�ex�cution de ce dernier, c�est que Dieu destine � son peuple une mission sp�ciale dans le monde et qu�il doit �tre purifi� de ses scories pour pouvoir la remplir.
L�expression tout est �videmment hyperbolique.
� cause de la m�chancet� des hommes, Dieu veut d�truire toutes les cr�atures. Comparez J�r�mie 9:10; Os�e 4:3. Il y a probablement dans cette menace une allusion � Gen�se 1:20 : de m�me que jadis Dieu a pu former toutes ces cr�atures, de m�me, au jour de sa col�re, il peut les faire toutes disparaitre.
Les scandales en m�me temps que les impies : les cultes idol�tres avec tout ce qui s�y attache (�z�chiel 7:19-20). Mais le jugement a principalement pour objet les hommes, les p�cheurs; c�est pour cette raison que l�an�antissement des hommes est encore mentionn� � la fin de ce passage, et cela au moyen d�une expression plus forte que la pr�c�dente, celle de retrancher.
Le jugement qui frappera le monde et ses habitants atteindra particuli�rement Juda et J�rusalem.
Le reste de Baal, c�est-�-dire tout ce qui reste encore du culte de Baal et de l�idol�trie en g�n�ral (la partie sert ici � d�signer le tout). Cette expression suppose l��uvre de r�forme du pieux roi Josias commenc�e, mais non achev�e (voir l�introduction).
Les pr�tres d�idoles. Le mot employ� ne se retrouve que 2 Rois 23:5 et Os�e 10:5 : kemarim est un mot syriaque d�signant les pr�tres : litt�ralement les v�tus de noir; ce terme est choisi par opposition aux pr�tres du vrai Dieu, v�tus de blanc. Ces hommes �taient pr�pos�s par les rois de Juda au culte des hauts-lieux.
Les sacrificateurs d�signent par cons�quent les pr�tres de l��ternel infid�les � Dieu.
Apr�s les pr�tres vient le tour des la�ques idol�tres; ils sont rang�s en trois classes : les adorateurs des astres; les partag�s, c�est-�-dire ceux qui veulent r�unir le culte de l��ternel et celui des faux dieux; les impies, qui ne veulent aucun culte. L�adoration des astres ou sab�isme �tait en rapport �troit avec le culte de Baal; le soleil, la lune et les �toiles �taient honor�s comme les foyers des forces de la nature ador�es en Baal et en Astart� (voir 2 Rois 21:3; 2 Rois 23:5). Sur les plates-formes des maisons �taient �lev�s des autels sans idoles, o� l�on offrait � l�arm�e des cieux des parfums et des sacrifices (2 Rois 23:12).
Ceux qui se prosternent� et jurent� : ils pr�tent serment � l��ternel, c�est-�-dire d�clarent se consacrer � son service, et cependant ils jurent par leur Roi, c�est-�-dire qu�ils ont toujours sur les l�vres le nom de leur faux dieu, Baal, souvent appel� le Roi. On traduit aussi par Malcom; il s�agirait alors de la divinit� Moloch, dont le culte avait aussi �t� introduit chez les Isra�lites.
7 � 13
Le fil de la proph�tie est rompu par un imp�rieux appel au silence, motiv� par l�arriv�e prochaine de l��ternel qui va parler lui-m�me, en exer�ant le jugement. Comparez Habacuc 2:20; Zacharie 2:13.
La journ�e de l��ternel : voir �sa�e 13:6; Jo�l 1:15, etc. Le jugement qui approche est compar� � un repas de sacrifice (comparez �sa�e 34:6); celui qui sacrifie, c�est l��ternel; la victime, c�est Juda; les convives, appel�s par Dieu � d�vorer Jacob, c�est-�-dire � assouvir sur lui leur soif de vengeance et de pillage (�z�chiel 39:17-20), ce sont les ennemis, les Chald�ens. Dieu les consacre comme pour une c�r�monie religieuse.
8 � 13
Le proph�te vient de distinguer les hommes selon leurs rapports avec Dieu; il les classe, dans le morceau suivant, d�apr�s leur position sociale.
8 et 9
En premier lieu seront immol�s les princes, c�est-�-dire les grands du royaume; les fils du roi, non seulement les fils de Josias, qui �taient encore jeunes, mais les membres de la famille royale en g�n�ral; comparez J�r�mie 36:26. Pour l�accomplissement de cette proph�tie, voir 2 Rois 25:7.
Ceux qui se v�tent de v�tements �trangers : les membres des familles riches, qui introduisaient dans le pays des m�urs en m�me temps que des cultes �trangers. Pour la mise en grande partie �trang�re des femmes, d�j� sous Achaz et �z�chias, voir �sa�e 3:16-24.
Ceux qui sautent par dessus le seuil. On a pens� qu�il y avait l� une allusion � un usage pa�en du genre de celui qui est mentionn� 1 Samuel 5:5; mais la fin du verset montre qu�il faut plut�t entendre par l� l�acte de p�n�trer violemment dans les maisons pour s�emparer du bien d�autrui. Il s�agirait alors de serviteurs royaux, qui pensent se rendre agr�ables � leur ma�tre en lui procurant par la violence des tr�sors enlev�s � ses sujets.
10 et 11 en second lieu, les usuriers
La porte des poissons se trouvait au nord de la ville, au haut du Tyrop�on (N�h�mie 3:3; N�h�mie 12:39).
Les faubourgs : proprement l�autre ville, la seconde ville (2 Rois 21:4); c��tait sans doute le centre industriel et commer�ant de J�rusalem, comme semblent l�indiquer les noms de deux des portes qui se trouvaient de ce c�t� : la porte des poissons et celle des brebis.
Les collines sont probablement celles qui entouraient ces faubourgs.
Mact�s (ce mot signifie le mortier) : expression figur�e pour d�signer une excavation de rocher (Juges 15:19); c�est le nom appliqu� au quartier dont il vient d��tre question; ce quartier �tait situ� dans le haut du Tyrop�on, l� o� la combe, en se r�tr�cissant, pr�sentait l�aspect d�un mortier. Mais il est �vident que le proph�te se sert aussi � dessein de ce nom pour indiquer le sort qui attend les habitants de ce quartier : ils seront pil�s dans leur mortier.
Toute la gent canan�enne : les marchands isra�lites qui s��taient enrichis, � l�instar des Canan�ens ou Ph�niciens, par l�usure et la fraude (voir Os�e 12:8).
12 et 13 enfin les impies
L��crivain sacr� passe d�une classe � l�autre en reprenant la m�me transition : En ce temps-l��.
Je fouillerai J�rusalem avec des lanternes : afin de d�couvrir les coupables dans leurs repaires les plus secrets. Jos�phe raconte que, lors de la prise de J�rusalem par les Romains, les princes, les grands et les sacrificateurs furent retir�s par l�ennemi des cavernes, des �gouts et des s�pulcres, o� ils s��taient cach�s; c�est quelque chose de semblable que le proph�te annonce comme devant avoir lieu d�j� lors de la destruction de la ville sainte par les Chald�ens.
Fig�s sur leur lie. Ces mots d�signent la persistance et la complaisance avec lesquelles ils se livrent � leur grossi�re indiff�rence morale et religieuse. Ils ne nient pas l�existence de dieu, mais son action dans le monde; ils assimilent l��ternel aux idoles qui ne font ni bien ni mal (�sa�e 41:23). � ceux-l�, Dieu se manifestera comme le Roi du monde, en livrant leurs biens au pillage, afin qu�ils apprennent par exp�rience la v�rit� des ch�timents pr�dits dans sa Parole aux impies (Deut�ronome 28:39).
14 � 18
Pillage. C�est par une arm�e envahissante que Dieu punira son peuple.
Apr�s avoir termin� ce second tableau du jugement, qui atteindra les p�cheurs, le proph�te reprend et d�veloppe la pens�e exprim�e au verset 7 : la journ�e de l��ternel sera terrible.
15 et 16
Pour d�peindre l�horreur de ce jour, Sophonie accumule les expressions les plus �nergiques que poss�de la langue; voir �sa�e 13:6-9 et surtout Jo�l 2:1-2, auquel ce morceau doit avoir �t� emprunt� en grande partie.
Jour de fureur� Ces premiers mots ont inspir� le fameux chant de l��glise catholique connu sous le nom de Dies irae (traduction de la Vulgate).
Le proph�te indique ici le genre du jugement : des ennemis, au son des trompettes, assi�geront et d�truiront les forteresses; comparez �sa�e 2:15. Il s�agit ici des lieux fortifi�s de Juda et surtout des murs de J�rusalem.
Je mettrai les hommes dans la d�tresse rappelle la menace de Mo�se, Deut�ronome 28:52, � laquelle fait d�j� allusion le verset 16.
Ils marcheront comme les aveugles. Ils chercheront, sans la trouver, une issue � leur d�tresse.
Comme de la poussi�re. Le point de comparaison n�est pas la multitude, mais l�absence de valeur des grains de poussi�re. Comparez �sa�e 49:23.
Toute la terre : la description s�ach�ve et se compl�te en reprenant son point de d�part (voir note du verset 2).