Fid�lit� de Samuel et amour pour le peuple malgr� son p�ch�
[12:4] Samuel re�oit le t�moignage de sa fid�lit�. [12:6-11] Il fait voir au peuple les voies de Dieu � leur �gard; [12:12] leur ingratitude et leur folie, en ce qu�ils avaient demand� un roi et rejet� Dieu. [12:17] Toutefois, en donnant un signe de la part de Dieu, qui ajoutait � ses paroles le poids du t�moignage de Dieu lui-m�me, [12:14] il d�clare au peuple que, s�il ob�issait d�sormais � l��ternel, le roi et le peuple lui-m�me iraient apr�s l��ternel; [12:15] sinon, l��ternel serait contre eux. [12:22] Car, malgr� son p�ch�, l��ternel ne l�abandonnerait pas; [12:23] et lui-m�me, Samuel, ne cesserait certainement pas de prier pour le peuple, et lui montrerait le bon chemin. C�est-�-dire qu�il met le peuple, quant � sa conduite publique, dans la position qu�il avait choisie, et le place sous sa propre responsabilit� devant l��ternel; mais, en m�me temps, rempli d�amour pour eux, en tant que peuple de Dieu, son rejet de leur part ne lui sugg�re pas un moment la pens�e d�abandonner son intercession ni son t�moignage pour le bien de ce peuple. Beau tableau d�un c�ur pr�s de Dieu, qui, dans l�oubli de soi, peut aimer le peuple de Dieu comme �tant sien. Y manquer e�t �t� un p�ch� contre l��ternel (comp. 2 Cor. 12:15).
Ch. 12 v. 1-2 � Autorit� sur le peuple confi�e � Sa�l, Samuel restant proph�te
[12:1] Voil� donc Sa�l �tabli � sa place, et son autorit� confirm�e par la b�n�diction de Dieu. [12:2] Samuel se retire en se bornant � sa fonction proph�tique, et Sa�l est appel� maintenant � se montrer fid�le et ob�issant dans la position o� il se trouve �tabli, avec tous les avantages que la b�n�diction de Dieu et l�acte solennel de son proph�te peuvent lui conf�rer.
R�sum� des ch. 4 � 12
Faisons ici le r�sum�, de l�histoire que nous venons d��tudier.
Relations de Dieu avec Son peuple, malgr� son infid�lit�
Isra�l, infid�le, ne se soutient plus dans ses relations avec Dieu sous la sacrificature. [4:11] L�Arche est prise, [4:18] le sacrificateur meurt, [4:21] et I-Cabod est �crit sur l��tat du peuple. [3:20] Dieu suscite un proph�te qui devient le moyen des communications entre Lui et le peuple; [12:12] mais le peuple, menac� par les Amal�kites, demande enfin un roi. [8:7-9] Dieu le lui accorde, en lui t�moignant son d�plaisir, puisque Lui �tait son roi. L�Esprit de proph�tie continue cependant toujours d��tre le canal des communications divines pour le peuple. [10:2-7] Des signes, qui indiquent l��tat du peuple, sont donn�s � Sa�l, roi �lu et oint : [10:3] d�abord, quelques fid�les, qui reconnaissent le Dieu de B�thel, c�est-�-dire Celui qui avait promis � Sa�l de ne pas l�abandonner jusqu�� ce qu�il e�t fait ce qu�il lui avait promis, le Dieu fid�le de Jacob; [10:5] puis le coteau de Dieu, le si�ge d�autorit� au milieu du peuple en possession des Philistins, la puissance de l�ennemi dans la terre de la promesse.
Actions de Dieu en faveur de Sa�l, roi oint
[10:10] L�Esprit de proph�tie vient sur Sa�l, lui montrant o� Dieu se trouvait en pr�sence de ces circonstances, [10:8] et Samuel lui dit de l�attendre � Guilgal. [11:13-15] En attendant, ainsi que nous l�avons vu, il est affermi par la b�n�diction de Dieu sur ses entreprises.
versets 1-25
Fid�lit� de Samuel et amour pour le peuple malgr� son p�ch�
[12:4] Samuel re�oit le t�moignage de sa fid�lit�. [12:6-11] Il fait voir au peuple les voies de Dieu � leur �gard; [12:12] leur ingratitude et leur folie, en ce qu�ils avaient demand� un roi et rejet� Dieu. [12:17] Toutefois, en donnant un signe de la part de Dieu, qui ajoutait � ses paroles le poids du t�moignage de Dieu lui-m�me, [12:14] il d�clare au peuple que, s�il ob�issait d�sormais � l��ternel, le roi et le peuple lui-m�me iraient apr�s l��ternel; [12:15] sinon, l��ternel serait contre eux. [12:22] Car, malgr� son p�ch�, l��ternel ne l�abandonnerait pas; [12:23] et lui-m�me, Samuel, ne cesserait certainement pas de prier pour le peuple, et lui montrerait le bon chemin. C�est-�-dire qu�il met le peuple, quant � sa conduite publique, dans la position qu�il avait choisie, et le place sous sa propre responsabilit� devant l��ternel; mais, en m�me temps, rempli d�amour pour eux, en tant que peuple de Dieu, son rejet de leur part ne lui sugg�re pas un moment la pens�e d�abandonner son intercession ni son t�moignage pour le bien de ce peuple. Beau tableau d�un c�ur pr�s de Dieu, qui, dans l�oubli de soi, peut aimer le peuple de Dieu comme �tant sien. Y manquer e�t �t� un p�ch� contre l��ternel (comp. 2 Cor. 12:15).
Ch. 12 v. 1-2 � Autorit� sur le peuple confi�e � Sa�l, Samuel restant proph�te
[12:1] Voil� donc Sa�l �tabli � sa place, et son autorit� confirm�e par la b�n�diction de Dieu. [12:2] Samuel se retire en se bornant � sa fonction proph�tique, et Sa�l est appel� maintenant � se montrer fid�le et ob�issant dans la position o� il se trouve �tabli, avec tous les avantages que la b�n�diction de Dieu et l�acte solennel de son proph�te peuvent lui conf�rer.
R�sum� des ch. 4 � 12
Faisons ici le r�sum�, de l�histoire que nous venons d��tudier.
Relations de Dieu avec Son peuple, malgr� son infid�lit�
Isra�l, infid�le, ne se soutient plus dans ses relations avec Dieu sous la sacrificature. [4:11] L�Arche est prise, [4:18] le sacrificateur meurt, [4:21] et I-Cabod est �crit sur l��tat du peuple. [3:20] Dieu suscite un proph�te qui devient le moyen des communications entre Lui et le peuple; [12:12] mais le peuple, menac� par les Amal�kites, demande enfin un roi. [8:7-9] Dieu le lui accorde, en lui t�moignant son d�plaisir, puisque Lui �tait son roi. L�Esprit de proph�tie continue cependant toujours d��tre le canal des communications divines pour le peuple. [10:2-7] Des signes, qui indiquent l��tat du peuple, sont donn�s � Sa�l, roi �lu et oint : [10:3] d�abord, quelques fid�les, qui reconnaissent le Dieu de B�thel, c�est-�-dire Celui qui avait promis � Sa�l de ne pas l�abandonner jusqu�� ce qu�il e�t fait ce qu�il lui avait promis, le Dieu fid�le de Jacob; [10:5] puis le coteau de Dieu, le si�ge d�autorit� au milieu du peuple en possession des Philistins, la puissance de l�ennemi dans la terre de la promesse.
Actions de Dieu en faveur de Sa�l, roi oint
[10:10] L�Esprit de proph�tie vient sur Sa�l, lui montrant o� Dieu se trouvait en pr�sence de ces circonstances, [10:8] et Samuel lui dit de l�attendre � Guilgal. [11:13-15] En attendant, ainsi que nous l�avons vu, il est affermi par la b�n�diction de Dieu sur ses entreprises.