Ch. 16 v. 1-13 � Onction de David, m�pris�, par Samuel, selon Dieu
[16:1] Samuel est envoy� pour oindre cet �lu de l��ternel. [16:7] Ici tout l��clat de la chair et ses droits d�a�nesse sont mis de c�t�, [16:11] et le cadet, m�pris� et oubli� de tous, qui soigne les brebis, [16:12] est choisi de Dieu, [16:7] � car Il ne regarde pas ce � quoi l�homme regarde �. [16:10-11] Samuel, instruit de l��ternel, n�h�site pas dans sa d�cision, et ne peut accepter aucun des sept qui sont � la maison : � Sont-ce l� tous les enfants ? �. [16:13] Enfin, il oint David rappel� des champs.
N�cessit� du chemin d��preuve pour David, pour former sa foi
Mais Dieu ne place pas David au fa�te du pouvoir tout de suite, comme il l�avait fait dans le cas de Sa�l. Il faut que, par la gr�ce et par la foi, il se fraie un chemin � travers toutes sortes de difficult�s, et que, tout en �tant rempli du Saint Esprit [(16:13)], il agisse en pr�sence d�une puissance qui ne poss�de pas l�Esprit et que Dieu ne met pas encore de c�t�. Il faut qu�il soit soumis et humili�, qu�il sente sa d�pendance enti�re de Dieu, que Dieu suffit dans toutes les circonstances; il faut que sa foi soit d�velopp�e par l��preuve dans laquelle on sent que Dieu est tout. Beau type de celui qui a travers� sans p�ch� un chemin et des circonstances bien autrement p�nibles ! Et non seulement un type, mais en m�me temps un vase pr�par� de Dieu pour le Saint Esprit; et ce dernier a su le remplir de sentiments, qui, en d�crivant d�une mani�re si touchante les douleurs de Christ lui-m�me et ses sympathies pour les siens, montrent leur ressource en Dieu � ceux qui devaient, dans la faiblesse, poursuivre la m�me carri�re que lui. Car on ne saurait douter que les �preuves de David n�aient donn� lieu � la plupart de ces beaux cantiques, qui, d�peignant les circonstances, les �preuves et les cris du R�sidu d�Isra�l dans les derniers jours, ainsi que de Christ lui-m�me (lequel, en esprit, s�est, identifi� avec eux et a entrepris leur cause), ont ainsi fourni � tant d�autres �mes charg�es l�expression et le soulagement de leurs afflictions; et m�me si l�interpr�tation qu�elles ont faite de ces Psaumes manquait de justesse, le c�ur n�anmoins ne s�y trompait pas1.
1 Cet usage inintelligent des Psaumes a cependant eu pour r�sultat de rabaisser des �mes pieuses au-dessous des privil�ges chr�tiens. On ne trouve jamais dans les Psaumes la relation d�enfant avec le P�re, ni les sentiments spirituels produits par la conscience de cette relation. Ce mot lui-m�me peut y �tre employ� en guise de comparaison, mais la relation n�y est jamais reconnue, et ne pouvait l��tre.
Ch. 16 v. 14-23 � Introduction de David devant Sa�l, qui r�gne toujours
Revenons � notre histoire.
[16:13] Le Saint Esprit vient sur David [16:14] et abandonne Sa�l, qui en m�me temps est troubl� par un mauvais esprit. [16:18] La providence de Dieu introduit David par le moyen d�un des serviteurs de Sa�l, qui le connaissait, et le pr�sente � Sa�l. [16:21] Sa�l l�aime et veut qu�il se tienne devant lui; il est son porteur d�armes [16:23] et il joue de la harpe lorsque le mauvais esprit trouble Sa�l. David est aux yeux de Dieu le roi oint; mais il doit souffrir avant de r�gner, quelle que soit son �nergie.
versets 1-23
Ch. 16 v. 1-13 � Onction de David, m�pris�, par Samuel, selon Dieu
[16:1] Samuel est envoy� pour oindre cet �lu de l��ternel. [16:7] Ici tout l��clat de la chair et ses droits d�a�nesse sont mis de c�t�, [16:11] et le cadet, m�pris� et oubli� de tous, qui soigne les brebis, [16:12] est choisi de Dieu, [16:7] � car Il ne regarde pas ce � quoi l�homme regarde �. [16:10-11] Samuel, instruit de l��ternel, n�h�site pas dans sa d�cision, et ne peut accepter aucun des sept qui sont � la maison : � Sont-ce l� tous les enfants ? �. [16:13] Enfin, il oint David rappel� des champs.
N�cessit� du chemin d��preuve pour David, pour former sa foi
Mais Dieu ne place pas David au fa�te du pouvoir tout de suite, comme il l�avait fait dans le cas de Sa�l. Il faut que, par la gr�ce et par la foi, il se fraie un chemin � travers toutes sortes de difficult�s, et que, tout en �tant rempli du Saint Esprit [(16:13)], il agisse en pr�sence d�une puissance qui ne poss�de pas l�Esprit et que Dieu ne met pas encore de c�t�. Il faut qu�il soit soumis et humili�, qu�il sente sa d�pendance enti�re de Dieu, que Dieu suffit dans toutes les circonstances; il faut que sa foi soit d�velopp�e par l��preuve dans laquelle on sent que Dieu est tout. Beau type de celui qui a travers� sans p�ch� un chemin et des circonstances bien autrement p�nibles ! Et non seulement un type, mais en m�me temps un vase pr�par� de Dieu pour le Saint Esprit; et ce dernier a su le remplir de sentiments, qui, en d�crivant d�une mani�re si touchante les douleurs de Christ lui-m�me et ses sympathies pour les siens, montrent leur ressource en Dieu � ceux qui devaient, dans la faiblesse, poursuivre la m�me carri�re que lui. Car on ne saurait douter que les �preuves de David n�aient donn� lieu � la plupart de ces beaux cantiques, qui, d�peignant les circonstances, les �preuves et les cris du R�sidu d�Isra�l dans les derniers jours, ainsi que de Christ lui-m�me (lequel, en esprit, s�est, identifi� avec eux et a entrepris leur cause), ont ainsi fourni � tant d�autres �mes charg�es l�expression et le soulagement de leurs afflictions; et m�me si l�interpr�tation qu�elles ont faite de ces Psaumes manquait de justesse, le c�ur n�anmoins ne s�y trompait pas1.
1 Cet usage inintelligent des Psaumes a cependant eu pour r�sultat de rabaisser des �mes pieuses au-dessous des privil�ges chr�tiens. On ne trouve jamais dans les Psaumes la relation d�enfant avec le P�re, ni les sentiments spirituels produits par la conscience de cette relation. Ce lui-m�me peut y �tre employ� en guise de comparaison, mais la relation n�y est jamais reconnue, et ne pouvait l��tre.
Ch. 16 v. 14-23 � Introduction de David devant Sa�l, qui r�gne toujours
Revenons � notre histoire.
[16:13] Le Saint Esprit vient sur David [16:14] et abandonne Sa�l, qui en m�me temps est troubl� par un mauvais esprit. [16:18] La providence de Dieu introduit David par le moyen d�un des serviteurs de Sa�l, qui le connaissait, et le pr�sente � Sa�l. [16:21] Sa�l l�aime et veut qu�il se tienne devant lui; il est son porteur d�armes [16:23] et il joue de la harpe lorsque le mauvais esprit trouble Sa�l. David est aux yeux de Dieu le roi oint; mais il doit souffrir avant de r�gner, quelle que soit son �nergie.