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Bible Commentaries
1 Thessaloniciens 3

Commentaire biblique avancéCommentaire biblique avancé

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versets 1-13

Or cet �loignement forc� de l�ap�tre, comme principal ouvrier, sans affaiblir le lien entre lui et les disciples, [�ph. 4:16] formait de nouveaux liens qui devaient consolider et affermir l��glise et la lier ensemble par chaque jointure du fournissement. Ceci (car toutes choses ne sont que les instruments de la sagesse et de la puissance de Dieu) se rattache aux circonstances dont les Actes des Ap�tres nous fournissent les principaux d�tails.

Actes 17

[Act. 17:1-10] � la suite des pers�cutions suscit�es par les Juifs, Paul, apr�s un court s�jour � Thessalonique, avait d� quitter cette ville et se rendre � B�r�e; [Act. 17:13] les Juifs de Thessalonique l�avaient poursuivi jusque dans cette derni�re ville, et avaient exerc� leur influence sur leurs compatriotes et sur les autres habitants de B�r�e, [Act. 17:14] de sorte que les fr�res de ce lieu avaient d� mettre Paul en s�ret�. [Act. 17:15] Ceux auxquels il fut confi� le conduisirent � Ath�nes, [Act. 17:14] tandis que Timoth�e et Silas restaient pour le moment � B�r�e; [Act. 17:15] mais, selon les ordres de Paul, ils le rejoignirent bient�t � Ath�nes. [1:6; 2:14] En attendant, une violente pers�cution s�vissait contre les chr�tiens � Thessalonique, ville importante, o�, � ce qu�il para�t, les Juifs avaient d�j� exerc� une assez grande influence sur la population pa�enne, influence min�e par les progr�s du christianisme, que les Juifs repoussaient dans leur aveuglement.

Vers. 1-5

[3:3] L�ap�tre, apprenant cet �tat de choses par Timoth�e et Silas, se pr�occupait du danger qui mena�ait les nouveaux convertis de Thessalonique d��tre �branl�s dans leur foi par les difficult�s du chemin, alors qu�ils �taient tout jeunes encore dans la foi. [3:1] L�affection de l�ap�tre ne pouvait se tranquilliser sans qu�il se m�t en communication avec eux, et d�j�, d�Ath�nes, [3:2] il avait envoy� Timoth�e pour avoir de leurs nouvelles et pour affermir leurs coeurs, [3:4] en leur rappelant qu�il leur avait dit d�j�, �tant avec eux, que des pers�cutions devaient arriver. [Act. 18:1] Pendant l�absence de Timoth�e, Paul avait quitt� Ath�nes et �tait venu � Corinthe, [3:6] o� Timoth�e le r�conforta de nouveau par les bonnes nouvelles qu�il apportait de Thessalonique; et l�ap�tre avait alors repris son travail � Corinthe avec un renouvellement de force et de courage (voir Actes 18:5).

Vers. 6-7

[3:6] C�est au retour de Timoth�e que Paul �crivit la lettre qui nous occupe. Timoth�e lui avait fait part du bon �tat des chr�tiens de Thessalonique, en lui faisant savoir qu�ils retenaient fermement la foi, d�siraient ardemment voir l�ap�tre et marchaient dans l�amour entre eux. [3:7] Le coeur de Paul, au milieu de ses peines et de l�opposition des hommes, au milieu des afflictions de l��vangile en un mot, est rafra�chi par ces nouvelles. Il est lui-m�me fortifi� : car si la foi de l�ouvrier est le moyen de la b�n�diction des �mes, et la mesure, en g�n�ral, du caract�re ext�rieur de l�oeuvre, la foi des chr�tiens, qui sont les fruits de ces travaux et qui r�pondent � ces travaux, est une source de force et d�encouragement pour l�ouvrier, comme aussi les pri�res des saints sont une grande source de b�n�diction pour lui.

Vers. 8-9

[3:8] L�amour trouve son aliment et sa joie dans cet �tat prosp�re des �mes; la foi, ce qui la nourrit et la fortifie : l�op�ration de Dieu est sentie dans les fruits qu�elle produit. Je vis, dit l�ap�tre, si vous tenez fermes dans le Seigneur (verset 8). [3:9] � Comment pourrions-nous rendre � Dieu assez d�actions de gr�ces pour vous �, ajoute-t-il, � pour toute la joie avec laquelle nous nous r�jouissons � cause de vous devant notre Dieu �. Beau et touchant tableau de l�effet de l�op�ration de l�Esprit de Dieu, d�livrant les �mes de la corruption du monde et produisant les plus pures affections, la plus grande abn�gation de soi en faveur des autres, la plus grande joie dans leur bonheur � bonheur divin qui se r�alise devant Dieu lui-m�me et dont la valeur s�appr�cie dans sa pr�sence par le coeur spirituel qui se tient habituellement aupr�s de lui et qui, de la part de ce Dieu d�amour, a �t� l�instrument de la b�n�diction qui est la source de sa joie.

Vers. 10

[3:10] Quel lien que le lien de l�Esprit ! Comme l��go�sme est oubli� et dispara�t dans la joie de telles affections ! L�ap�tre anim� de cette affection, qui s�accro�t au lieu de se fatiguer par son exercice et par la satisfaction qu�elle re�oit dans le bonheur d�autrui, d�sire revoir les Thessaloniciens, et cela d�autant plus que ceux-ci �taient ainsi soutenus; non pas maintenant dans le but de les affermir, mais pour les �difier sur ce qui �tait si ferme et pour compl�ter leur enseignement spirituel, en leur communiquant ce qui manquait encore � leur foi. Mais il �tait, et il a d� �tre ouvrier et non pas ma�tre (c�est ce que Dieu nous fait sentir), et d�pendre enti�rement de Dieu pour son oeuvre et pour l��dification des autres. En effet, il s�est pass� des ann�es avant que Paul ait revu les Thessaloniciens; [Act. 18:10-11] il a d� rester longtemps � Corinthe o� le Seigneur avait un grand peuple : [Act. 18:21-22] il a revisit� J�rusalem, [Act. 18:23] ensuite toute l�Asie Mineure o� il avait travaill� auparavant; [Act. 19:1] ensuite il est venu � �ph�se, o� il est rest� pr�s de trois ans, [Act. 19:21] et enfin il a revu les Thessaloniciens, apr�s avoir quitt� �ph�se pour se rendre � Corinthe, prenant la route de Mac�doine, pour �viter de passer � Corinthe, avant le retour � l�ordre des chr�tiens de cette ville.

Vers. 11-12

Vers. 11

[3:11] Que Dieu lui-m�me (c�est ainsi que s�exprimait le d�sir de l�ap�tre et sa soumission � la volont� de Dieu), que Dieu lui-m�me � nous fraye le chemin aupr�s de vous �. Le souhait de l�ap�tre n�est pas vague : il se rapporte � Dieu comme � son P�re � source de toutes ces saintes affections. Dieu est devenu notre P�re et ordonne tout en vue du bien de ses enfants, selon cette parfaite sagesse qui embrasse toutes les circonstances de tous ses enfants � la fois. � Notre Dieu et P�re lui-m�me �, dit-il. Mais une autre pens�e se pr�sente � l�esprit de l�ap�tre, une pens�e qui, certainement, n�est jamais en conflit avec celle que nous venons de signaler, car Dieu est un, mais une pens�e qui a un autre caract�re moins individuel : � et notre Seigneur J�sus �, ajoute-t-il. [H�b. 3:6] Christ est Fils sur sa propre maison, et outre la joie et la b�n�diction des affections individuelles, il y avait, pour Paul, le progr�s, le bien-�tre et le d�veloppement de toute l�Assembl�e � consid�rer. Ces deux parties du christianisme agissent assur�ment l�une sur l�autre.

Interd�pendance du bien de l�Assembl�e et de celui de l�individu

L� o� l�op�ration de l�Esprit est pleine et enti�rement libre, le bien-�tre de l�Assembl�e et les affections individuelles sont en harmonie; si quelque chose fait d�faut dans l�une de ces deux sph�res d�action, Dieu emploie le d�faut m�me pour agir puissamment dans l�autre. Si l�ensemble de l�Assembl�e est faible, la foi individuelle est exerc�e d�une mani�re particuli�re et s�appuie plus imm�diatement sur Dieu lui-m�me. Nous ne trouvons pas les �lie et les �lis�e sous le r�gne de Salomon. D�autre part, les soins diligents donn�s � l�Assembl�e par ceux que Dieu emploie pour cela sont la vraie �nergie de son organisation spirituelle, raffermissent la vie et r�veillent les affections spirituelles dans les membres endormis. Mais les deux choses sont diff�rentes l�une de l�autre. Ainsi l�ap�tre ajoute � : � notre Dieu et P�re �, � notre Seigneur J�sus �, qui, nous l�avons dit (selon H�b. 3), est Fils sur sa propre maison. C�est un bonheur que le chemin de nos pieds d�pende de l�amour d�un P�re qui est Dieu lui-m�me, et qui agit selon les tendres affections exprim�es par ce nom de P�re, et que le bien-�tre de l�Assembl�e d�pende du gouvernement d�un Seigneur tel que J�sus, qui l�aime d�un amour parfait et qui, tout en ayant pris cette place, est le Dieu qui a tout cr��, l�Homme qui a toute-puissance dans les cieux et sur la terre, et pour qui les chr�tiens sont les objets de soins incessants et fid�les, soins qu�il d�pense pour amener finalement l�Assembl�e � lui-m�me, dans la gloire, selon les conseils de Dieu1.

1 Il est bon de rappeler ici que, bien que Christ soit Fils sur la maison de Dieu comme Seigneur il n�est pas Seigneur sur l�Assembl�e mais sur les individus. En outre, il est dans un sens g�n�ral Seigneur de tous; mais son action envers les individus a en m�me temps pour but le bien de l�Assembl�e.

Vers. 11-12

[3:11] Tel �tait donc le premier souhait de l�ap�tre; tels �taient ceux pour lesquels il formait ce souhait. En attendant, Paul devait laisser ses chers Thessaloniciens aux soins imm�diats du Seigneur, duquel il d�pendait lui-m�me (comp. Actes 20:32). C�est vers le Seigneur donc qu�il tourne son coeur. Que Dieu, dit-il, me � fraye le chemin aupr�s de vous; et quant � vous, que le Seigneur vous fasse abonder et surabonder en amour les uns envers les autres et envers tous � (v. 11, 12). [3:12] Aussi le coeur de l�ap�tre pouvait pr�senter son affection pour les Thessaloniciens comme mod�le de l�amour que ceux-ci devaient avoir pour les autres. Cette puissance d�amour maintient le coeur dans la pr�sence de Dieu et lui fait trouver sa joie dans la lumi�re de cette pr�sence et d�sirer ardemment que tous les saints soient dans sa pr�sence, leurs coeurs �tant rendus propres pour cette pr�sence et dans cette pr�sence; car Dieu est amour, et l�exercice de l�amour dans le coeur du chr�tien (fruit de la pr�sence et de l�op�ration de l�Esprit) est, de fait, l�effet de la pr�sence de Dieu et, en m�me temps, nous fait sentir cette pr�sence, de sorte qu�il nous tient devant lui et maintient une communion avec lui dont on a la conscience intime dans le coeur. L�amour peut souffrir et montrer sa force en souffrant; mais nous parlons de l�exercice spontan� de l�amour envers les objets que Dieu lui pr�sente.

La saintet�

Vers. 12-13

[3:12] Or, �tant ainsi le d�ploiement de la nature divine en nous et ce qui maintient le coeur dans la communion de Dieu lui-m�me, l�amour est le lien de la perfection [(Col. 3:14)], le vrai moyen de saintet�, quand il est r�el. Le coeur est, par lui, retenu loin de la chair et de ses pens�es, dans la pure lumi�re de la pr�sence de Dieu, et en fait ainsi jouir l��me. C�est pourquoi l�ap�tre demande pour les saints de Thessalonique, en attendant qu�il puisse leur donner plus de lumi�re, que le Seigneur fasse cro�tre l�amour en eux pour � affermir vos coeurs sans reproche en saintet� devant notre Dieu et P�re en la venue de notre Seigneur J�sus avec tous ses saints � (v. 12, 13). [3:13] Ici nous trouvons, de nouveau, les deux grands principes dont j�ai parl� � la fin du chapitre premier [(1:9-10)] : Dieu dans la perfection de sa nature, et le Seigneur J�sus dans l�intimit� de ses relations avec nous � Dieu, toutefois comme P�re, et J�sus comme Seigneur : Nous sommes devant Dieu, et J�sus vient avec ses saints; il les a amen�s � la perfection, ils sont avec lui, et ainsi devant Dieu connu dans la relation de P�re.

Saintet� ici-bas devant Dieu et manifestation en gloire

Remarquez aussi que tout se rapporte � cette esp�rance; c��tait une attente r�elle et pr�sente. Si les Thessaloniciens avaient �t� convertis pour servir Dieu et pour attendre des cieux son Fils [(1:9-10)], tout se rapportait pour eux au merveilleux moment o� il viendrait. Ce qui constitue la saintet� se d�montrera alors, lorsqu�ils seront devant Dieu et que les saints seront avec leur Chef; manifest�s en outre avec lui dans la gloire, en m�me temps qu�alors ils jouiront aussi pleinement des fruits de leurs travaux et de la r�compense de l�amour dans la joie de tous ceux qu�ils auront aim�s1.

1 Il est tr�s frappant de voir comment la saintet� ici-bas et la manifestation dans la gloire sont r�unies ensemble comme une m�me chose dans l��criture; seulement le voile est lev� lorsque les saints sont dans la gloire. Christ m�me a �t� d�termin� Fils de Dieu en puissance, selon l�Esprit de saintet�, par la r�surrection [(Rom. 1:4)]. Nous tous contemplant, � face d�couverte, la gloire, nous sommes transform�s en la m�me image de gloire en gloire [(2 Cor. 3:18)]. De m�me ici, nous devons marcher dans l�amour : �tre sans reproche en saintet�. Nous, nous aurions dit : sans reproche ici-bas; mais non, le voile est lev� en la venue de notre Seigneur J�sus avec tous ses saints. En �ph�siens 5 [(v. 26-27)], il nous lave par la Parole pour nous pr�senter � lui-m�me comme un corps glorieux sans nulle tache.

La sc�ne, qui mettra le comble � l�oeuvre, se pr�sente ici dans toute sa port�e normale : on est devant Dieu, dans sa pr�sence o� la saintet� est manifest�e, telle qu�elle est dans son vrai caract�re; nous sommes l� pour la parfaite communion avec Dieu dans la lumi�re. C�est dans cette lumi�re que sera manifest�e comment cette saintet� est li�e avec la nature de Dieu et avec sa pr�sence sans voile, et comment cette manifestation est en rapport avec le d�veloppement d�une nature en nous qui nous met par la gr�ce en relation avec Lui.

[3:13] � Sans reproche, dit-il, en saintet� �; et � en saintet� devant Dieu �. Dieu est lumi�re. Quelle joie immense; quelle puissance par gr�ce dans la pens�e que, dans le temps pr�sent, nous nous maintenions manifest�s devant lui ! Mais l�amour seul, connu en lui, peut produire en nous cet effet.

L�amour divin produit la saintet� pratique

Aux mots : � notre Dieu � nous ajoutons les mots � notre P�re � : cette relation avec notre Dieu est une relation connue et r�elle, qui a son caract�re � elle, une relation d�amour. Elle n�est pas une chose � acqu�rir, et la saintet� n�est pas le moyen de l�acqu�rir : la saintet� est le caract�re de la relation dans laquelle nous sommes avec Dieu, en tant que rendus participants de la nature divine comme ses enfants, et elle est la r�v�lation de la perfection de cette nature en lui en amour. L�amour m�me nous a donn� cette nature et nous a plac�s dans cette relation, la saintet� pratique est son exercice en communion avec Dieu; nous avons communion avec lui dans sa pr�sence selon l�amour que nous connaissons ainsi. Or cet amour c�est Dieu lui-m�me, comme il s�est r�v�l� pour nous.

Vers. 13

[3:13] Mais le coeur n�est pas seul dans cette joie et dans cette perfection : beaucoup de saints en jouiront ensemble, et surtout J�sus lui-m�me. Il viendra, sera pr�sent, et non seulement lui qui est le Chef, mais tous ses saints avec lui seront aussi l�. Cette manifestation de J�sus avec tous les saints sera l�accomplissement des voies de Dieu � l��gard de ceux qu�il avait donn�s � Christ : nous le verrons dans sa gloire, cette gloire qu�il a prise en rapport avec sa venue pour nous chercher; nous verrons tous les saints dans lesquels il sera admir�, et nous les verrons dans la perfection que nos coeurs d�sirent maintenant pour eux.

Remarquez aussi que l�amour fait surmonter les difficult�s, les pers�cutions, la frayeur que l�Ennemi cherche � produire dans nos coeurs. Si nous sommes occup�s de Dieu, heureux en lui, le poids des afflictions ne se fait pas sentir. La force de Dieu est dans le coeur, la marche se lie sensiblement � l��ternel bonheur dont on jouit avec lui, et nos peines ne sont � qu�une l�g�re tribulation d�un moment � [(2 Cor. 4:17)]. Et non seulement la souffrance est relativement l�g�re, mais aussi on souffre pour Christ. Souffrir ainsi avec lui est une joie; c�est l�intimit� de la communion, si nous savons l�appr�cier; et tout est rev�tu de la gloire et de la d�livrance qui se trouvent � la fin � � en la venue de notre Seigneur J�sus avec tous ses saints �.

L�attente de la venue de J�sus produit la saintet�

En lisant ce passage, on ne peut qu��tre frapp� de la mani�re imm�diate et vivante dont la venue du Sauveur est li�e � la vie pratique et ordinaire, de sorte que la parfaite lumi�re de ce jour-l� jette sa clart� sur le chemin journalier du temps pr�sent. Les Thessaloniciens devaient �tre, par l�exercice de l�amour, affermis dans la saintet� devant Dieu � la venue de Christ. Ils attendaient ce jour d�un moment � l�autre, comme fin, comme seul terme en perspective, de la vie journali�re ici-bas. Combien cette attente met l��me dans la pr�sence de Dieu ! De plus, ainsi que je l�ai d�j�, en partie, fait remarquer, on vit dans une relation connue avec Dieu, qui donne lieu � cette confiance. Il �tait le P�re des fid�les de Thessalonique; il est le n�tre. La relation des saints avec J�sus n��tait pas moins r�alis�e : les saints �taient � ses saints �; ils viendraient tous avec lui, ils sont associ�s � sa gloire. Il n�y a rien d��quivoque dans l�expression. J�sus, le Seigneur, venant avec tous ses saints, ne laisse pas penser � quelque autre �v�nement qu�� son retour en gloire. Alors aussi il sera glorifi� dans ses saints qui l�auront d�j� rejoint pour �tre toujours avec lui : ce sera le jour de leur manifestation, comme de la sienne.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 1 Thessalonians 3". "Commentaire biblique avancé". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/cba/1-thessalonians-3.html.
 
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