Bible Commentaries
1 Timothée 1

Commentaire biblique avancéCommentaire biblique avancé

versets 1-20

Chapitre 1er

Ch. 1 v. 1-2 � Pr�sentation et v�ux de l�ap�tre

Ch. 1 v. 1 � Dieu vu comme Dieu Sauveur, et Christ comme esp�rance

[1:1] D�j�, d�s le commencement, l�ap�tre d�signe Dieu comme Dieu Sauveur. Paul est ap�tre de J�sus Christ, selon le commandement de notre Dieu Sauveur. Le Seigneur J�sus Christ est la confiance et l�espoir de l��me.

Ch. 1 v. 2 � Mis�ricorde ajout�e comme souhait aux individus

On remarquera aussi que le souhait de l�ap�tre, ici, est diff�rent de celui qu�il exprime quand il s�adresse � une assembl�e : [1:2] Paul dit � gr�ce, mis�ricorde, paix ! �. Il ne dit pas : � mis�ricorde �, aux assembl�es qui se maintiennent comme telles devant Dieu � la suite de la mis�ricorde que Dieu leur a faite, et qui (quelque mauvais que soit leur �tat) sont envisag�es comme assembl�es selon la nature dans laquelle elles subsistent par l�Esprit, et o� il ne s�agit aucunement de mis�ricorde, parce que cette nature m�me est de Dieu. La gr�ce et la paix sont bien ce dont elles ont � jouir de la part de Dieu. Mais quand il s�agit d�un individu, quelles que soient sa pi�t� et sa fid�lit�, il est l�, chair et esprit, ayant encore sa carri�re, en partie du moins, � fournir, et ayant toujours besoin de mis�ricorde. C�est aussi ce que l�ap�tre souhaite � Timoth�e ainsi qu�� Tite [(2 Tim. 1:2; Tite 1:4)]1.

1 Il y a toutefois quelque doute quant � la le�on dans Tite.

Ch. 1 v. 2 � N�cessit� de la mis�ricorde ressentie pour les croyants

Dans l�adresse de sa lettre � Phil�mon, il ajoute : � et � l�assembl�e qui se r�unit dans ta maison � [(Phil�m. 2)], et ainsi son souhait n�a plus cette forme personnelle [(Phil�m. 3)] : mais dans les �p�tres � Timoth�e et � Tite, on trouve l�intimit� de l�ap�tre avec ses chers collaborateurs. Il savait combien ils avaient besoin de la mis�ricorde; elle �tait sa ressource � lui, ce qu�il avait exp�riment� pour la consolation de sa propre �me

Ch. 1 v. 3-17 � L�imagination de l�homme, la loi et la gr�ce

Ch. 1 v. 3-4 � Timoth�e doit veiller sur la doctrine, garantissant des fables st�riles

[1:3] Le but sp�cial pour lequel l�ap�tre avait laiss� Timoth�e � �ph�se, lorsque lui-m�me il s�en �tait all� en Mac�doine, c��tait afin qu�il veille sur la doctrine qui �tait enseign�e; mais Timoth�e �tant � �ph�se, Paul lui donne des directions pour l�ordre int�rieur de l�assembl�e. Pour ce qui regarde la doctrine, le mal que l�Ennemi cherchait � introduire avait un double caract�re. [1:4] D�un c�t�, on s�attachait � des fables de l�imagination humaine [1:7] et, de l�autre, on voulait introduire la loi dans le christianisme. [1:4] � l��gard des fables, le mal �tait simplement un mal et n��difiait personne. L�ap�tre n�en dit pas ici grand-chose; il avertissait du mal � l�avance; et la foi de l�assembl�e d��ph�se �tait assez saine pour qu�elle puisse juger tout ce syst�me de pures fables et de g�n�alogies. L�Esprit avertissait que, plus tard, ce genre d�erreur aurait de plus f�cheuses cons�quences; mais dans ce moment-l�, on n�avait qu�� garantir les fid�les de ce qui ne valait rien. [1:3] Timoth�e avait le mandat de la part de l�ap�tre d�y veiller.

Ch. 1 v. 5-11 � Danger d�introduire la loi, et place que Dieu lui donne

Tout service dans le christianisme est li� � ce qu�est Dieu et nos relations avec Lui

Mais ce qui nous est confi� dans le christianisme, comme service, est toujours, dans son but et dans son caract�re, � la hauteur des principes �ternels de Dieu, et tient au fond de nos relations morales avec lui.

Ch. 1 v. 5-7 � C�ur pur, bonne conscience et foi sinc�re, marques du christianisme

[1:5] Le but du mandat de Paul est l�amour proc�dant d�un c�ur pur, d�une bonne conscience et d�une foi sinc�re � jamais de curiosit�, de raisonnement ou d�imagination humaine. C�est l�, pour les �mes saines dans la foi et dirig�es par l�Esprit de Dieu, une marque s�re de la source divine d�un enseignement. [1:4] Des questions sp�culatives n�agissent pas sur la conscience et n�am�nent pas dans la pr�sence de Dieu. [1:6] Quelques-uns avaient abandonn� l�amour provenant d�un c�ur pur et d�une foi sinc�re, ces grands jalons du christianisme, pour se jeter dans de vains discours. [1:7] Ici aussi nous retrouvons ces m�mes corrupteurs du christianisme, qui (apr�s avoir rejet� le Sauveur) semaient d��pines le chemin de l�ap�tre, savoir les juda�sants. C�est la loi qu�ils voulaient enseigner. L�esprit de l�homme est capable de s�occuper des devoirs l�gaux.

Ch. 1 v. 8-11 � La loi selon Dieu est utile pour frapper la conscience, selon l��vangile

Or, nous voyons ici comment, quand on est � la hauteur de la v�rit� de Dieu, on peut mettre toutes choses � leur place. [1:4] L�imagination des hommes, selon Paul, ne produit que des fables; [1:8] mais la loi est de Dieu et peut �tre un instrument utile si l�on s�en sert comme on doit le faire : [1:9-10] elle est tr�s utile pour condamner, pour juger le mal, pour tuer � pour montrer le jugement de Dieu contre tout mal interdit par l��vangile; [1:11] �vangile qui a r�v�l� la gloire du Dieu bienheureux � gloire qui ne supporte aucun mal � et qui a �t� confi� � l�ap�tre. Pour frapper ainsi la conscience, on peut bien se servir de la loi, mais elle n��difie pas le juste; et si l�on est sous la loi, on est sous la mal�diction [(Gal. 3:10)]; se servir de la loi comme d�une �p�e pour la conscience, voil� ce qu�on peut faire de la loi. La gr�ce seule est la source de nos pr�dications et l�appui de nos �mes.

Contraste entre la loi qui condamne et l��vangile li� � la gloire de Dieu

Ces deux syst�mes, la loi et la gr�ce, et leurs places respectives, sont pr�sent�s dans les versets 5-17, qui forment une esp�ce de parenth�se, l�ap�tre reprenant son discours � Timoth�e au verset 18. Le juste emploi de la loi est expliqu� dans les versets 8 � 10. L�ap�tre, dans un certain sens, rabaisse ici la loi, [1:8] tout en reconnaissant son utilit� quand elle est � sa place comme arme de justice pour condamner; [1:11] et il la met en contraste avec l��vangile qui a affaire avec la gloire de Dieu que cet �vangile annonce, tandis que la loi a affaire avec la m�chancet� que cette loi condamne.

Ch. 1 v. 12-17 � Gr�ce souveraine de Dieu manifest�e en Paul

Gr�ce souveraine et son �uvre, dont la gloire est l�accomplissement

[1:11] Ayant parl� de l��vangile de la gloire qui lui avait �t� confi�, [1:14] l�ap�tre attire l�attention de Timoth�e vers la gr�ce souveraine; gr�ce qui l�avait introduit lui-m�me dans la connaissance de cette gloire, t�moignage de l�accomplissement de l��uvre de la gr�ce.

� Je rends gr�ces, dit-il, au christ J�sus, notre Seigneur,� de ce qu�il m�a estim� fid�le, m�ayant �tabli dans le service, moi qui auparavant �tais un blasph�mateur, et un pers�cuteur, et un outrageux � (vers. 12, 13). C��tait bien la gr�ce qui avait fait cela.

Ch. 1 v. 12-16 � Mis�ricorde envers Paul, ennemi actif de Dieu, comme mod�le pour tous de l'�uvre de la gr�ce

L�ap�tre parle de deux choses au sujet de sa conversion : [1:13] premi�rement, comment Dieu avait pu avoir piti� de lui dans un tel �tat � il �tait dans l�ignorance (vers. 13) � [1:16] il montre, en second lieu, le but de Dieu (vers. 16) : ce but �tait que l�ap�tre f�t un mod�le de gr�ce pour tous. [1:13] Le fait que Paul �tait dans l�ignorance et dans l�incr�dulit� n�excusait pas son p�ch�, bien que ce f�t un �tat qui rendait la mis�ricorde possible (car si l�ap�tre e�t �t� ennemi, le sachant et le voulant, quand la gr�ce de l��vangile lui �tait d�j� connue, sa d�livrance n�e�t pas �t� possible); [1:14] il met donc la pure et parfaite gr�ce en avant, comme ayant abond� pour lui : [1:15] il �tait le premier des p�cheurs, et c��tait bien le cas. Les souverains sacrificateurs avaient, jusqu�au bout, r�sist� au Saint Esprit; Paul avait pris part � cette r�sistance; mais il ne s��tait pas content� de cela : il voulait �tre partout l�ennemi actif de la foi, et d�truire le nom de J�sus. Il avait beaucoup fait � J�rusalem; mais il voulait assouvir sa haine, m�me dans des villes �trang�res. Nous savons son histoire, telle qu�elle nous est racont�e dans les Actes [(Act. 9)]. Expression vivante de l��tat de r�sistance des Juifs � la gr�ce, Paul �tait, entre les hommes aussi, l�expression de leur inimiti� la plus active contre Celui que Dieu voulait glorifier. La gr�ce �tait plus grande que le p�ch�, la patience de Dieu plus parfaite que la pers�v�rance de l�homme dans son hostilit�. Celle-ci avait pour limite l�impuissance de l�homme; celle-l� n�avait point de limite dans la nature de Dieu, si ce n�est sa propre et souveraine volont�. Tout coupable que f�t l�homme, son p�ch� ne parvient pas jusqu�� Dieu de mani�re � troubler l�action ind�pendante de sa nature ou � changer ses desseins : [1:16] Dieu voulait donner en Paul un exemple de la souverainet� de cette gr�ce, de cette bont� parfaite pour les Juifs qui, � l�avenir, se trouveront comme nation dans l��tat o� avait �t� Saul � puis, pour tous les hommes, ennemis de Dieu et par nature enfants de col�re. Le premier, le plus actif, le plus acharn� des ennemis est devenu le meilleur, le plus puissant des t�moins de la gr�ce de Dieu qui est au-dessus du p�ch�, de l��uvre de Christ parfaite pour abolir le p�ch�.

Ch. 1 v. 17 � Minist�re de Paul bas� sur la r�v�lation de la gr�ce de Dieu

[1:17] C�est � Dieu, tel dans sa nature, et qui dispose du d�ploiement de tous les si�cles selon ses conseils, au seul Dieu invisible, incorruptible, que l�ap�tre attribue toute louange et toute gloire (vers. 17). Telle �tait la base du minist�re de Paul en contraste avec la loi. Ce minist�re �tait fond� sur la r�v�lation de la gr�ce � r�v�lation qui s�appliquait � l�exp�rience que l�ap�tre lui-m�me en avait fait individuellement. Pierre, coupable d�avoir reni� un Sauveur vivant, pouvait parler aux Juifs de la gr�ce qui s�adressait � leur propre position qui avait �t� la sienne. Paul, autrefois ennemi d�un Sauveur glorifi�, et qui avait r�sist� au Saint Esprit, pouvait annoncer la gr�ce qui s��l�ve m�me au-dessus de cet �tat de p�ch�, de tout ce qui vient de la nature de l�homme. Cette gr�ce ouvrait la porte aux Gentils, selon les conseils de Dieu, m�me quand les Juifs avaient tout rejet�; elle leur substituait l�Assembl�e c�leste, et suffisait pour admettre plus tard cette nation coupable, � de meilleurs privil�ges que ceux qu�elle avait perdus.

Ch. 1 v. 18-20 � Mission de Timoth�e au milieu des �ph�siens

Minist�re de Paul, en opposition avec la loi

Tel �tait l�appel de l�ap�tre, tel son minist�re. Ayant montr� l�opposition entre ce qui lui �tait confi� et la loi (tout en confirmant l�utilit� de celle-ci, non comme r�gle pour les justes ou comme guide pour le peuple de Dieu, mais comme jugeant le mal [(1:8-9)]), [1:18] l�ap�tre reprend ses instructions � Timoth�e, quant aux d�tails de sa mission au milieu des �ph�siens.

Ch. 1 v. 18-19 � Mandat confi� � Timoth�e pour maintenir la v�rit�

[1:18] � la fin du chapitre 1, il lui confie la charge, lui envoie son mandat. Le mot grec que je traduis ici par � mandat �, se rapporte au verset 3 et au verset 5. [1:3] Paul avait laiss� Timoth�e � �ph�se pour ordonner � certaines personnes de ne pas enseigner d�autres doctrines que la v�rit� de l��vangile. [1:5] Or la fin de l�ordonnance, de cette commission �vang�lique, �tait l�amour qui proc�de d�un c�ur pur et d�une bonne conscience, et d�une foi sinc�re; car l��vangile, tout en r�v�lant les conseils merveilleux de Dieu, maintient les grands principes �ternels de sa nature. Ce dernier trait est ce qui distingue la v�rit� d�avec les pr�tentions orgueilleuses des imaginations h�r�tiques. Dieu veut que l�homme soit en relation avec Lui, r�ellement, de c�ur et en v�rit�, selon ces principes. [1:18] Or cette commission, l�ap�tre la confiait maintenant � Timoth�e, son v�ritable enfant dans la foi. Timoth�e devait la maintenir avec une autorit� bas�e sur le t�moignage divin, mais qu�il tenait formellement de l�ap�tre qui l�avait d�sign� pour ce service. Paul s��tait adjoint Timoth�e dans ce minist�re, non seulement de son propre mouvement, mais d�apr�s des proph�ties qui l�avaient indiqu� dans ce but. Ces proph�ties �taient aussi un moyen de fortifier Timoth�e pour le combat qui l�attendait dans cette fonction. Les conditions de la victoire �taient pour lui, selon la nature de la commission qu�il avait re�ue : [1:19] il devait garder la foi et une bonne conscience. Or, la foi signifie ici la doctrine du christianisme, toutefois non pas seulement comme doctrine, mais comme la v�rit� que l��me tenait de Dieu, comme v�rit� venant de lui. Il s�agissait de maintenir la v�rit�, la doctrine chr�tienne, mais de la garder comme r�v�l�e par Dieu lui-m�me, de sorte qu�elle f�t, pour l��me, la v�rit�. La lumi�re doit poss�der, avec des limites bien dessin�es, l�autorit� divine.

C��tait la foi, ce que Dieu avait r�v�l�, re�u avec certitude comme tel, comme la v�rit�.

Ch. 1 v. 19 � N�cessit� d�une bonne conscience, sous peine de pens�es contraires � Dieu

[1:19] Or, pour �tre en communion avec Dieu, il faut que la conscience soit bonne, soit pure. Si nous ne sommes pas dans cette communion, nous ne pouvons avoir une force qui nous maintienne dans la foi, qui nous rende capables de pers�v�rer dans la profession de la v�rit� comme Dieu nous la donne. Satan a alors prise sur nous. Si l�esprit d�un homme qui se trouve dans cet �tat est actif, il tombe dans l�h�r�sie. La perte d�une bonne conscience ouvre la porte � Satan, parce qu�elle nous prive de la communion de Dieu; et l�esprit actif, sous l�influence de Satan, invente des pens�es au lieu de confesser la v�rit� de Dieu. L�ap�tre traite de blasph�mes les pens�es qui sont le fruit de cet �tat; la volont� de l�homme est en activit�; or, plus le sujet est grand, plus la volont� sans frein et poss�d�e par l�Ennemi s��gare et s��l�ve contre Dieu et contre l�assujettissement de toute pens�e � l�ob�issance de Christ et � l�autorit� de la r�v�lation de Dieu.

Ch. 1 v. 20 � L�ap�tre livre les blasph�mateurs � Satan en discipline

Impuissance de Satan dans l�Assembl�e et sur ses membres

[1:20] L�ap�tre avait livr� deux personnes de cette cat�gorie � Satan : il s�agit de souffrances ext�rieures (v. 20). Ces personnes, quoique d�j� tromp�es par Satan, n��taient pas en sa puissance comme s�il avait le pouvoir de tourmenter et de faire souffrir; car dans l�Assembl�e (quand elle est dans son �tat normal) il n�a aucune puissance de ce genre : l�Assembl�e en est garantie comme demeure du Saint Esprit, prot�g�e par Dieu et par la puissance de Christ. Satan peut tenter individuellement, mais il n�a aucun droit sur les membres de l�Assembl�e comme tels. Ils sont dedans, et quelque faibles qu�ils soient, Satan ne peut entrer l�. Ils peuvent lui �tre livr�s pour leur bien; et cela peut arriver dans tous les temps, t�moin le cas de Job [(Job 2:6)]. Mais l�Assembl�e devait avoir la connaissance des voies de Dieu � l��gard des siens, et �tre la gardienne et l�instrument de leur accomplissement. Le Saint Esprit habite en elle; Dieu demeure en elle comme dans sa maison, par l�Esprit; au-dehors d�elle est le monde, dont Satan est le prince.

�preuve de ce qu�est l�ennemi, pour amener la soumission � Dieu

[1:20] L�ap�tre (par le pouvoir qui lui �tait communiqu�1, car c�est un acte de puissance positive) a livr� ces deux hommes � la puissance de l�Ennemi, en les privant de l�abri dont ils jouissaient. Ils avaient �cout� l�Ennemi, avaient �t� ses instruments; or cela ne devait pas se faire dans l�Assembl�e au milieu de membres de Christ; il leur fallait �prouver ce qu��tait celui � qui ils avaient pr�t� l�oreille. Dieu se servait ainsi de Satan lui-m�me comme d�une verge pour le bien de ses enfants rebelles. Satan allait les instruire par les peines qu�il leur ferait souffrir, quel que f�t le genre de celles-ci, angoisses d��me ou de corps, et ces derni�res sont le r�sultat imm�diat, afin que leur volont� f�t bris�e et amen�e � se soumettre � Dieu. Solennelle discipline ! Merveilleux pouvoir entre les mains d�un homme ! Mais ce pouvoir fournissait la preuve que l�amour de Dieu peut disposer de tout pour d�livrer une �me et pour l�amener � lui.

1 Il ne faut pas confondre cet acte de puissance avec la discipline qui est l�acte de l�Assembl�e et son devoir formel. En 1 Corinthiens 5 [(v. 4)], l�ap�tre s�adjoint l�assembl�e dans cet acte; mais c�est avec le pouvoir de Christ qu�il livre � Satan. Le devoir de l�assembl�e est exprim� au verset 13. Quant au r�le des saints ou de l�assembl�e, lorsque Dieu a exerc� la discipline, voir 1 Jean 5:16; Jacques 5:14, 15.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 1 Timothy 1". "Commentaire biblique avancé". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/cba/1-timothy-1.html.