D�tails donn�s quant � la conduite et l�ordre ext�rieurs
L��uvre de Timoth�e doit s�occuper de la conduite et de la position ext�rieures des croyants
S��tant ainsi occup� de l�ouvrier, l�ap�tre revient aux d�tails de l��uvre dans laquelle Timoth�e devait employer sa diligence et ses soins vigilants. Partout, ici, il s�agit de ce qui touche ext�rieurement � une conduite int�gre, des convenances, soit quant � la position des individus, soit quant au monde. [5:1] L�ap�tre parle des anciens, [5:3] des veuves, [5:11] de ce qui convenait � celles d�entre ces derni�res qui �taient jeunes, [5:17] de l�honneur d� aux anciens qui �taient fid�les, en particulier � ceux d�entre eux qui enseignaient. L�ap�tre ne s�occupe ici de rien de ce qui est int�rieur � des relations de l��me avec Dieu : tout se rapporte au t�moignage public qui, devant Dieu, convient � la position des hommes dans ce monde. Il est important de remarquer ceci, que quoique notre joie se r�alise dans nos privil�ges c�lestes, dans notre communion, on ne peut cependant jamais n�gliger avec impunit� les devoirs ordinaires ou les convenances morales, et qu�on doit tenir compte des dangers pratiques qu�on court, en raison de ce qu�est la chair.
Ch. 5 v. 16-17 � Remarque sur les veuves et les anciens
[5:16] On peut remarquer que l�assembl�e prenait souci de toutes les veuves qui n�avaient pas des parents capables de les soutenir, [5:17] et aussi qu�il y avait des anciens qui n�enseignaient pas.
Ch. 5 v. 19 � Cas de l�accusation contre un ancien
[5:19] Contre un ancien, Timoth�e ne devait pas recevoir d�accusation, � moins qu�il n�y ait deux ou trois t�moins.
Ch. 5 v. 22 � Maintien du respect et soin quant � sa manifestation
Tout ceci rend t�moignage au fait que l�ap�tre donne les directions que nous trouvons ici, en vue de l�ordre ext�rieur, du maintien de ce qui est respectable aux yeux de tous et du respect pour tout ce qui doit �tre respect�. [5:22] En m�me temps, Timoth�e devait �tre soigneux de ne donner sa sanction par l�imposition des mains � personne qui ne lui aurait pas offert une garantie morale que, dans la position qu�il avait prise, il m�ritait cette marque de respect de la part des autres. Cela aurait �t�, de la part de Timoth�e, participer aux p�ch�s dont celui auquel il aurait impos� ses mains �tait coupable. Il ne devait imposer les mains pr�cipitamment � personne (vers. 22).
Ch. 5 v. 22-25 � Puret� face au p�ch�, et soins de l�amour
Maintien dans la puret� face aux p�ch�s, manifestes ou cach�s
[5:24] Les p�ch�s de quelques-uns �taient � d�couvert, et, d�j�, annon�aient le jugement qui attendait ceux qui les avaient commis. Chez d�autres, les p�ch�s �taient cach�s; ils les retrouveraient au grand jour; [5:22] mais ce fait �tait une raison pour que Timoth�e ne fasse rien dans sa charge avec pr�cipitation, et se maintienne lui-m�me dans la puret�.
Ch. 5 v. 23 � Soins de l�amour de l�ap�tre, usant de libert� en gardant la saintet�
[5:23] On voit ici quelle �tait la temp�rance habituelle de Timoth�e. L�ap�tre l�engage � user de sa libert� en prenant un peu de vin � cause de la faiblesse de son corps. Beau trait de la gr�ce ! Nous avons ici la preuve des habitudes de Timoth�e, ce fid�le serviteur; l�Esprit nous montre avec quel soin il se gardait d�exciter ses passions, ou de les satisfaire dans la plus petite chose. Nous voyons en m�me temps la parfaite libert� qu�a le chr�tien de se servir de tout ce qui est bon quand il y a un vrai motif � cela, et le tendre int�r�t que l�ap�tre porte � son compagnon d��uvre dans l��vangile. Ce d�tail forme une petite parenth�se, rattach�e � l�expression : � ne participe pas aux p�ch�s d�autrui � [(5:22)], mais qui est d�une grande beaut�. Ces soins que sugg�re l�amour conviennent parfaitement � l�ap�tre. Il veut la saintet� dans son repr�sentant, mais combien il sait respecter Timoth�e, garder les convenances qu�il recommandait, et montrer la tendresse qu�il ressentait dans son c�ur. Le verset 24 se lie au verset 22.
versets 1-25
D�tails donn�s quant � la conduite et l�ordre ext�rieurs
L��uvre de Timoth�e doit s�occuper de la conduite et de la position ext�rieures des croyants
S��tant ainsi occup� de l�ouvrier, l�ap�tre revient aux d�tails de l��uvre dans laquelle Timoth�e devait employer sa diligence et ses soins vigilants. Partout, ici, il s�agit de ce qui touche ext�rieurement � une conduite int�gre, des convenances, soit quant � la position des individus, soit quant au monde. [5:1] L�ap�tre parle des anciens, [5:3] des veuves, [5:11] de ce qui convenait � celles d�entre ces derni�res qui �taient jeunes, [5:17] de l�honneur d� aux anciens qui �taient fid�les, en particulier � ceux d�entre eux qui enseignaient. L�ap�tre ne s�occupe ici de rien de ce qui est int�rieur � des relations de l��me avec Dieu : tout se rapporte au t�moignage public qui, devant Dieu, convient � la position des hommes dans ce monde. Il est important de remarquer ceci, que quoique notre joie se r�alise dans nos privil�ges c�lestes, dans notre communion, on ne peut cependant jamais n�gliger avec impunit� les devoirs ordinaires ou les convenances morales, et qu�on doit tenir compte des dangers pratiques qu�on court, en raison de ce qu�est la chair.
Ch. 5 v. 16-17 � Remarque sur les veuves et les anciens
[5:16] On peut remarquer que l�assembl�e prenait souci de toutes les veuves qui n�avaient pas des parents capables de les soutenir, [5:17] et aussi qu�il y avait des anciens qui n�enseignaient pas.
Ch. 5 v. 19 � Cas de l�accusation contre un ancien
[5:19] Contre un ancien, Timoth�e ne devait pas recevoir d�accusation, � moins qu�il n�y ait deux ou trois t�moins.
Ch. 5 v. 22 � Maintien du respect et soin quant � sa manifestation
Tout ceci rend t�moignage au fait que l�ap�tre donne les directions que nous trouvons ici, en vue de l�ordre ext�rieur, du maintien de ce qui est respectable aux yeux de tous et du respect pour tout ce qui doit �tre respect�. [5:22] En m�me temps, Timoth�e devait �tre soigneux de ne donner sa sanction par l�imposition des mains � personne qui ne lui aurait pas offert une garantie morale que, dans la position qu�il avait prise, il m�ritait cette marque de respect de la part des autres. Cela aurait �t�, de la part de Timoth�e, participer aux p�ch�s dont celui auquel il aurait impos� ses mains �tait coupable. Il ne devait imposer les mains pr�cipitamment � personne (vers. 22).
Ch. 5 v. 22-25 � Puret� face au p�ch�, et soins de l�amour
Maintien dans la puret� face aux p�ch�s, manifestes ou cach�s
[5:24] Les p�ch�s de quelques-uns �taient � d�couvert, et, d�j�, annon�aient le jugement qui attendait ceux qui les avaient commis. Chez d�autres, les p�ch�s �taient cach�s; ils les retrouveraient au grand jour; [5:22] mais ce fait �tait une raison pour que Timoth�e ne fasse rien dans sa charge avec pr�cipitation, et se maintienne lui-m�me dans la puret�.
Ch. 5 v. 23 � Soins de l�amour de l�ap�tre, usant de libert� en gardant la saintet�
[5:23] On voit ici quelle �tait la temp�rance habituelle de Timoth�e. L�ap�tre l�engage � user de sa libert� en prenant un peu de vin � cause de la faiblesse de son corps. Beau trait de la gr�ce ! Nous avons ici la preuve des habitudes de Timoth�e, ce fid�le serviteur; l�Esprit nous montre avec quel soin il se gardait d�exciter ses passions, ou de les satisfaire dans la plus petite chose. Nous voyons en m�me temps la parfaite libert� qu�a le chr�tien de se servir de tout ce qui est bon quand il y a un vrai motif � cela, et le tendre int�r�t que l�ap�tre porte � son compagnon d��uvre dans l��vangile. Ce d�tail forme une petite parenth�se, rattach�e � l�expression : � ne participe pas aux p�ch�s d�autrui � [(5:22)], mais qui est d�une grande beaut�. Ces soins que sugg�re l�amour conviennent parfaitement � l�ap�tre. Il veut la saintet� dans son repr�sentant, mais combien il sait respecter Timoth�e, garder les convenances qu�il recommandait, et montrer la tendresse qu�il ressentait dans son c�ur. Le verset 24 se lie au verset 22.