Lectionary Calendar
Saturday, September 28th, 2024
the Week of Proper 20 / Ordinary 25
Attention!
For 10¢ a day you can enjoy StudyLight.org ads
free while helping to build churches and support pastors in Uganda.
Click here to learn more!

Bible Commentaries
2 Corinthiens 12

Commentaire biblique avancéCommentaire biblique avancé

Buscar…
Enter query below:

versets 1-21

Ch. 12 v. 1-6 � La gloire de Paul dans ce qu�il a re�u sp�cialement dans le ciel

[12:1] Faut-il qu�il se glorifie ?� � Il n�y trouve aucun profit. Il en viendrait � parler de ce dont un homme � comme dans la chair � ne pouvait se glorifier. C��tait l�effet de la puissance souveraine de Dieu, dans laquelle l�homme n�entrait pour rien. [12:2] C��tait d�un homme en Christ qu�il parlait. Un tel homme avait �t� ravi au troisi�me ciel, [12:4] dans le paradis; [12:2] �tait-ce dans le corps, ou hors du corps, Paul ne le savait pas. Le corps n�avait aucune part � ce qu�il avait r�alis�. [12:5] D��tre un tel homme, Paul pouvait se glorifier. Ce qui l��levait sur la terre, il le laissait de c�t�; ce qui le faisait monter dans le ciel, ce qui lui donnait une part dans le ciel, ce qu�il �tait � en Christ �, �tait sa gloire, la joie de son coeur, la portion dont il se glorifiait volontiers. Heureux serviteur, dont la portion en Christ �tait telle qu�en y pensant, il �tait content d�oublier tout ce qui pouvait l�exalter comme homme, comme il dit ailleurs � l��gard de son esp�rance, � afin que je gagne Christ � [(Phil. 3:8)]. [12:4] L�homme, le corps, n�entraient pour rien dans une puissance qu�on ne pouvait go�ter � moins d��tre ravi dans le ciel; [12:5] mais c��tait � d�un tel � que Paul voulait se glorifier : [12:4] l�, o� Dieu et sa gloire sont tout, [12:3] s�par� de son corps quant � la conscience de son existence dans ce corps, [12:4] il a entendu des choses dans lesquelles les hommes dans le corps n��taient pas capables d�entrer, et qu�il ne convenait pas � un homme mortel d��noncer, des choses que le mode d�existence d�un homme dans le corps ne comportait pas. Ces choses avaient produit l�impression la plus profonde sur l�ap�tre; elles le fortifiaient pour le minist�re, mais ne pouvaient pas �tre introduites dans la mani�re de comprendre et de communiquer qui tient � la condition de l�homme ici-bas.

Ch. 12 v. 7 � L�orgueil incorrigible de la chair doit �tre an�anti

La chair doit �tre brid�e pour ne pas s�enorgueillir d�avoir �t� dans la pr�sence de Dieu

Mais bien des le�ons pratiques se rattachent � cette gr�ce merveilleuse qui a �t� faite � l�ap�tre. Je dis une gr�ce merveilleuse, car en effet, on sent quel a d� �tre le minist�re de celui qui tirait d�une telle position sa force et sa mani�re de voir et de juger. Quelle mission extraordinaire que celle de cet ap�tre ! [4:7] Mais il avait le tr�sor dans un vase d�argile. [12:7] Rien ne corrige la chair. Une fois revenu � la conscience de son existence humaine sur la terre, la chair de l�ap�tre aurait voulu tirer avantage de la faveur dont il avait joui, pour l��lever � ses propres yeux, pour dire : � Personne que toi, Paul, n�a �t� au troisi�me ciel �. �tre pr�s de Dieu dans la gloire, comme hors du corps, n��l�ve pas. Tout est Christ et Christ est tout : le moi est oubli�. Y avoir �t� est une autre chose. La pr�sence de Dieu nous fait sentir notre n�ant. La chair peut se pr�valoir de ce que nous avons �t� l� quand nous n�y sommes plus. H�las ! qu�est-ce que l�homme ? Mais Dieu veille; dans sa gr�ce, il pourvoit au danger o� se trouve son pauvre serviteur. L�avoir ravi jusqu�� un quatri�me ciel, pour parler ainsi, n�aurait fait qu�augmenter le danger. Impossible de corriger la chair. La pr�sence de Dieu la fait taire; mais la chair se vantera d�avoir �t� dans cette pr�sence lorsqu�elle n�y sera plus. Pour marcher en s�ret�, il faut que la chair soit tenue en �chec, telle qu�elle est. Nous avons � nous tenir pour morts, mais la chair a souvent besoin d��tre brid�e pour que le coeur ne soit pas �loign� de Dieu par son moyen, et pour qu�elle n�entrave pas notre marche, ni ne g�te notre t�moignage. Paul a re�u une �charde dans la chair, de peur qu�il ne s��lev�t � cause de l�abondance des r�v�lations qu�il avait re�ues. Nous savons par l��p�tre aux Galates que cette �charde �tait quelque chose qui tendait � rendre l�ap�tre m�prisable dans sa pr�dication [(Gal. 4:13-14)], et �tait ainsi un contrepoids intelligible � ces r�v�lations remarquables.

Dieu utilise Satan pour humilier la chair

[12:7] Dieu a laiss� � Satan la t�che d�affliger ainsi l�ap�tre, de m�me qu�il s�est servi de lui pour l�humiliation de Job [(Job 1:12; 2:6)]. Quelles que soient les gr�ces qui nous sont accord�es, il faut passer par les exercices ordinaires de la foi personnelle, exercices dans lesquels seulement le coeur marche en s�ret�, lorsque la chair est brid�e et annul�e dans le sens pratique, de sorte que nous n�en ayons pas conscience, comme active en nous, quand nous voulons �tre tout � Dieu, et penser � Lui et avec Lui selon notre mesure.

Ch. 12 v. 7-10 � Le d�pouillement de soi-m�me

Le d�pouillement pr�ventif fait r�aliser ce qu�est la chair

[12:8] Trois fois, comme le Seigneur � l��gard de la coupe qu�il a d� boire [(Matt. 26:44)], l�ap�tre Lui demande que l��charde soit �t�e; [12:9] mais la vie divine se forme dans le d�pouillement de soi-m�me, et, dans notre �tat d�imperfection, ce d�pouillement en pratique (comme v�rit�, il a d�j� eu lieu quand nous regardons � notre position en Christ) s�op�re en nous rendant conscients de l�humiliante v�rit� que cette chair, que nous aimons � gratifier, est impropre pour la pr�sence de Dieu et pour le service auquel nous sommes appel�s. Nous sommes heureux si ce d�pouillement s�op�re par des voies pr�ventives, et non par l�humiliation d�une chute, ainsi que cela a eu lieu pour Pierre. La diff�rence est claire. Chez Pierre, la confiance en soi-m�me se m�lait avec la volont� propre, malgr� les avertissements du Seigneur. [12:7] Chez Paul, quoique son danger v�nt de la chair, les r�v�lations qui lui avaient �t� faites en �taient l�occasion. [12:10] Si nous apprenons, dans la pr�sence de Dieu, � conna�tre la tendance de la chair, nous en sortons humbles et nous �chappons � l�humiliation; [12:7] mais en g�n�ral (et � quelques �gards nous pouvons dire tous) nous avons � faire l�exp�rience des r�v�lations qui nous �l�vent � Dieu en quelque mesure que ce soit; et il faut faire l�exp�rience de ce qu�est le vase dans lequel le tr�sor de ces r�v�lations est contenu, par la peine qu�il nous donne � cause de la conscience de ce qu�il est � je ne dis pas par des chutes.

La discipline pour annuler la chair se lie aux souffrances pour Christ

[12:10] Dieu, dans son gouvernement, sait comment r�unir les souffrances pour Christ et la discipline de la chair dans la m�me circonstance, ce qui explique H�b. 12:1-11. L�ap�tre pr�chait; s�il �tait m�pris� dans sa pr�dication, c��tait bien pour le Seigneur qu�il souffrait; [12:7] toutefois, ce qui le faisait souffrir disciplinait la chair, et emp�chait l�ap�tre de s�enorgueillir des r�v�lations dont il jouissait et de la puissance qui en r�sultait, et avec laquelle il exposait la v�rit�. Dans la pr�sence de Dieu, dans le troisi�me ciel, Paul sentait bien que l�homme n��tait rien, et Christ tout. [12:9] Il devait acqu�rir l�exp�rience pratique de la m�me chose ici-bas. Il faut que la chair soit annul�e, l� o� elle n�est pas nulle, par le sentiment exp�rimental du mal qui est en elle, et elle doit devenir ainsi, d�une mani�re consciente, nulle dans l�exp�rience personnelle de ce qu�elle est. Car qu��tait la chair de Paul � qui ne faisait que l�entraver moralement dans son oeuvre en l��loignant de Dieu � sinon un compagnon g�nant dans son travail ? La suppression de la chair sentie et jug�e �tait un exercice tr�s profitable pour le coeur.

La puissance divine et l�infirmit� de la chair

La gloire est dans ce qui est de Dieu, non de l�homme qui doit �tre an�anti

[12:2] Remarquez ici l�heureuse position de l�ap�tre, comme ravi au troisi�me ciel. [12:5] Il pouvait se glorifier d�un tel homme, parce que le moi �tait enti�rement perdu dans les choses avec lesquelles il �tait en relation. Il ne se glorifiait pas simplement dans les choses; il ne dit pas non plus : � en moi �. [12:4] Le moi �tait compl�tement perdu de vue dans la jouissance des choses ineffables que l�homme ne pouvait exprimer quand il rentrait dans la conscience du moi. [12:5] Il se glorifiait d�un tel homme; mais en lui-m�me, vu dans la chair, il ne se glorifiait pas, sinon dans ses infirmit�s. D�un autre c�t�, n�est-il pas humiliant de penser que celui qui avait joui d�une r�v�lation si glorieuse, a d� faire l�exp�rience p�nible de ce qu�est la chair, m�chante, m�prisable et �go�ste.

Le contraste entre la perfection de Christ et le serviteur le plus remarquable

Remarquez aussi la diff�rence qu�il y a entre Christ et quelque homme que ce soit. Christ a pu se trouver sur la montagne, en gloire, avec Mo�se, et �tre reconnu Fils par le P�re lui-m�me, et ensuite se trouver dans la plaine en pr�sence de Satan et de la multitude [(Matt. 17)]; quoique les sc�nes soient diff�rentes, il est �galement parfait dans toutes deux. On trouve d�admirables affections dans les ap�tres, et en Paul, particuli�rement, on trouve des oeuvres, comme J�sus l�avait dit, plus grandes que les siennes [(Jean 14:12)]; on trouve chez Paul des exercices de coeur, et d��tonnantes hauteurs par gr�ce; on voit, en un mot, une puissance merveilleuse d�velopp�e par le Saint Esprit dans ce remarquable serviteur de J�sus, mais on ne trouve pas chez lui cette �galit� constante qui �tait en Christ. J�sus �tait le Fils de l�homme qui est dans le ciel. Ceux qui sont tels que Paul sont des cordes que Dieu touche et sur lesquelles il produit une musique merveilleuse, mais Christ est la musique elle-m�me.

Christ d�ploie sa puissance dans la faiblesse de l�homme

[12:9] Enfin remarquez que Christ se sert de l�humiliation n�cessaire pour r�duire la chair rebelle � son vrai n�ant, afin de d�ployer sa puissance dans l�infirmit� du vase. Ainsi humili�, nous apprenons notre d�pendance. Tout ce qui est de nous, tout ce qui constitue le moi est une entrave; l�infirmit� est ce en quoi le moi est abaiss�, humili�, et o� la faiblesse est r�alis�e. La puissance de Christ s�accomplit dans cette infirmit�. Cela est un principe g�n�ral. Humainement parlant, la croix �tait la faiblesse; la mort est l�oppos� de la force de l�homme; toutefois c�est en elle que la force de Christ s�est r�v�l�e; c�est en elle qu�il a accompli l�oeuvre glorieuse du salut.

La force du minist�re s�accomplit dans l�infirmit� du serviteur

[12:9] Quand il est question ici d�infirmit�, il ne s�agit pas du p�ch� dans la chair, mais de ce qui est le contraire de la force de l�homme. Christ ne s�est jamais appuy� un instant sur la force humaine; il vivait � cause du P�re (voyez Jean 6:57) qui l�avait envoy�. La puissance du Saint Esprit seule se d�ployait en Lui. [12:7] Paul avait besoin que sa chair f�t r�duite � la faiblesse, afin qu�il n�y e�t pas en elle le mouvement du p�ch� qui lui �tait naturel. [12:9] Quand la chair a �t� r�duite � sa vraie incapacit� pour ce qui regarde le bien, et cela d�une mani�re �vidente, alors Christ peut y d�ployer sa force. Cette force a ainsi son vrai caract�re; et remarquez-le bien, c�est l� toujours son caract�re, � la force qui s�accomplit dans l�infirmit� �. [12:5] Le bienheureux ap�tre pouvait se glorifier d�un homme en Christ dans le ciel, jouissant de toute cette b�atitude, de ces choses merveilleuses qui excluent le moi, tant elles sont au-dessus de ce que nous sommes. [12:2] En en jouissant, Paul n�avait pas la conscience de l�existence de son corps. [12:4] Lorsqu�il en est de nouveau conscient, ce qu�il avait entendu ne pouvait se traduire dans ces communications qui avaient le corps comme instrument et des oreilles d�homme, comme moyen d�intelligence. [12:5] Paul se glorifiait de cet homme en Christ dans le ciel. [12:9] Ici-bas, il ne se glorifiait qu�en Christ lui-m�me et dans cette infirmit� qui �tait l�occasion que la puissance de Christ repos�t sur lui, et qui �tait aussi la d�monstration que cette puissance �tait celle de Christ, que Christ faisait de lui le vase de la manifestation de la puissance. [12:10] Or cela se r�alisait par de p�nibles exp�riences. [12:2] D�abord il y a l�homme en Christ, [12:9] ensuite la puissance de Christ reposant sur l�homme. Pour le premier, l�homme quant � la chair, est n�ant; quant au second, la chair est jug�e et abaiss�e � devenue faiblesse afin que nous apprenions ce qu�elle est, et que la puissance de Christ soit manifest�e. Il y a une impulsion, une ineffable source de minist�re dans le ciel. [12:10] La force est introduite dans l�humiliation de l�homme tel qu�il est dans ce monde, quand l�homme est r�duit � n�ant � sa vraie valeur dans les choses divines � et que Christ d�ploie en lui cette force qui ne saurait s�associer � celle de l�homme, ni en d�pendre de quelque mani�re que ce soit. Si l�instrument �tait faible, comme on l�all�guait, la puissance qui avait op�r� devait avoir �t�, non la sienne, mais celle de Christ.

La force pratique du minist�re dans l�homme

Ainsi, de m�me qu�au commencement de l��p�tre, nous avons eu les vraies caract�ristiques du minist�re par rapport aux objets qui lui donnent ces caract�res [(ch. 5)], [12:9] nous trouvons ici sa force pratique, en rapport avec le vase dans lequel le t�moignage et la source de cette force �taient d�pos�s; [12:4] nous apprenons comment ce minist�re s�exer�ait en mettant un homme mortel en communication avec les sources ineffables dont le minist�re lui-m�me d�coulait, [12:9] et en m�me temps avec l��nergie vivante, pr�sente et active de Christ, de sorte que l�homme f�t capable de l�exercer, [12:10] et que ce ne f�t pas lui, cependant, qui accomplit la t�che dans sa force charnelle, chose d�ailleurs impossible en soi1.

1 Ce chapitre est tout � fait frappant. Nous y voyons le chr�tien dans la plus haute et dans la plus basse condition; dans le troisi�me ciel [(12:2)], et dans la bassesse du p�ch� effectif. [12:2] D�abord un homme en Christ (ce qui est vrai de nous tous en position, sinon en vision), [12:5] l�ap�tre se glorifie d�un tel homme, et nous avons le droit de nous glorifier � c�est-�-dire d�un homme en Christ. [12:7] Quant � ce qu�il est en lui-m�me, il doit �tre r�duit � l�absolu n�ant. [12:5] Mais se glorifier d�un homme en Christ, [12:7] ou �tre fait n�ant dans la chair, n�est pas la puissance. La derni�re chose est le sentier pour y arriver. [12:9] Mais alors n��tant rien, la puissance de Christ est avec cet homme, repose sur lui, et l� se trouve la force pour le service; l�homme en Christ est sa propre place � Christ en l�homme, ou sa puissance sur lui est sa force pour servir. De sorte que nous avons ce qu�il y a de plus �lev� dans ce que l�on con�oit de l�Esprit, ce qu�il y a de plus bas dans les manquements de la chair et le chemin de la puissance en r�duisant la chair � n�ant; la puissance de Christ �tant avec nous, la puissance pratique, tandis que nous sommes dans le corps. Mais il y a le sentiment de la faiblesse, le manque de proportion entre ce que nous sommes quant au vase de terre, et ce qui est administr� et dont on jouit. Ce n�est pas simplement ce qui est mal, mais le vase de terre dans lequel est le tr�sor [(4:7)].

Ch. 12 v. 11-18 � Paul doit s�abaisser aux pens�es terrestres des Corinthiens

[12:10] L�ap�tre donc se glorifiait dans ses infirmit�s et dans ses souffrances. [12:11] Il avait d� parler en insens� : ceux qui auraient d� eux-m�mes proclamer l�excellence de son minist�re, l�avaient forc� de le faire. [12:12] C��tait au milieu d�eux que toutes les preuves les plus frappantes d�un minist�re apostolique avaient �t� donn�es. [12:13] Si, en quelque chose, ceux auxquels il s�adressait avaient �t� en arri�re d�autres assembl�es � l��gard des preuves de son apostolat, c�est qu�ils n�avaient contribu� en rien � l�entretien de l�ap�tre. [12:14] Il allait de nouveau se rendre au milieu d�eux, et cette preuve manquerait encore. [12:15] Paul �tait dispos� � se d�penser pour les Corinthiens comme un bon p�re, lors m�me qu�aimant plus, il �tait moins aim�. [12:16] Pouvait-on dire peut-�tre qu�il avait bien gard� les apparences en ne prenant rien lui-m�me, [12:17] mais qu�il avait pris soin de se d�dommager en se servant de Tite pour profiter de leur lib�ralit� par son moyen ? [12:18] Mais non; les Corinthiens savaient bien que Tite avait march� au milieu d�eux dans le m�me esprit que l�ap�tre. Triste besogne, quand un coeur au-dessus de ces tristes motifs et de ces mani�res de juger et d�estimer les choses et tout p�n�tr� des motifs divins et glorieux de Christ, est forc� de s�abaisser � ceux qui occupent les coeurs �go�stes des personnes auxquelles il a � faire, de coeurs qui sont au niveau des motifs qui animent et gouvernent le monde qui les entoure ! Mais l�amour doit tout supporter [(1 Cor. 13:7)], et penser pour les autres, s�il ne peut pas penser avec eux, ni eux avec lui.

Ch. 12 v. 19-21 � Paul craignait que plusieurs Corinthiens ne marchent encore dans le mal

[12:19] Est-ce donc que l�ap�tre prenait les Corinthiens pour juges de sa conduite ? Il parlait devant Dieu en Christ, [12:20] et craignait seulement qu�il ne trouv�t encore, quand il arriverait, beaucoup de ceux qui professaient le nom de Christ, marchant comme le monde d�iniquit� qui les entourait; [12:21] il craignait qu�il ne f�t humili� au milieu d�eux, et qu�il n�e�t � s�affliger � l��gard de beaucoup de personnes qui, ayant d�j� p�ch�, ne se seraient pas repenties de leurs p�ch�s.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 2 Corinthians 12". "Commentaire biblique avancé". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/cba/2-corinthians-12.html.
 
adsfree-icon
Ads FreeProfile