Ch. 6 v. 1-23 � Miracles caract�risant le minist�re d��lis�e]
Ch. 6 v. 1-7 � Miracle du fer surnageant dans le Jourdain
[6:1] Les fils des proph�tes doivent �largir leur habitation, [6:3] et �lis�e, qui consent � aller avec eux, [6:6] les garantit de l�effet de leur n�gligence en renversant les lois de la nature. Je ne sais s�il faut chercher ici autre chose que le caract�re g�n�ral du miracle, ou trouver un type dans le fait qu�il s�agit du Jourdain. En tant que le Jourdain a un sens comme figure, ce sens est constant; il signifie la mort. [6:2] La maison construite de ce qui a �t� tir� du Jourdain, [6:6] et la puissance de ce fleuve vaincue et d�truite par le morceau de bois qu�on y a jet�, et par le moyen duquel ce qui �tait au-del� de toute esp�rance et perdu en est retir�, sugg�rent facilement un sens typique. Je n�ose pas dire positivement que ce soit la pens�e de l�Esprit de Dieu; et il ne faut pas se laisser aller � son imagination.
Ch. 6 v. 8-23 � �lis�e garde Isra�l des attaques syriennes
Capture de l�arm�e syrienne, par les secours de Dieu pour les siens
[6:9] �lis�e garantit ensuite Isra�l des attaques de ses puissants ennemis. [6:13] Le roi de Syrie voulant faire �lis�e prisonnier, [6:20] c�est celui-ci, au contraire, qui fait prisonni�re toute l�arm�e qui venait le saisir, [6:17] en faisant comprendre � son serviteur aveugle, qui avait des yeux et ne voyait pas, les soins constants dont le Tout-Puissant environne toujours les siens.
Folie pour les ennemis du peuple de s�opposer � la puissance de Dieu
[6:22] Apr�s avoir fait comprendre aux ennemis la puissance du Dieu d�Isra�l, et la folie d�attaquer Son peuple quand le messager de Son alliance est avec Isra�l, �lis�e laisse aller les Syriens, [6:23] et ceux-ci ne reviennent plus dans le pays.
Miracles d��lis�e en faveur de tous, au-del� de ceux d��lie
Tous ces miracles caract�risent suffisamment le minist�re d��lis�e. Les pauvres du peuple consol�s [(4:1-7)], les Gentils gu�ris [(5:1-14)], Isra�l d�livr� et prot�g� [(6:8-23)], l��lection objet de b�n�diction [(5:8-37)], Isra�l et son roi infid�le laiss�s de c�t� quant au t�moignage du proph�te [(3:4-27)] : toutes ces choses se trouvent dans ce minist�re. Les miracles d��lis�e sont plus nombreux que ceux d��lie. Le poids qu��lie avait sur le c�ur n�existe pas pour �lis�e; aussi ne cherche-t-il � se soulager ni par le jugement contre le mal, ni en se retirant d�un champ de travail inutile.
Ch. 6 v. 24 � 7 v. 20 � D�tresse et jugement sur Isra�l, puis d�livrance
Ch. 6 v. 24-33 � Le jugement sur le peuple am�ne indignation et rejet de l��ternel
[6:24] L�iniquit� d�Isra�l le plonge de nouveau dans la d�tresse, [6:25] et Samarie est d�sol�e par la famine. [6:31] Le jugement produit l�indignation contre le t�moignage de l��ternel, car bien que Joram n�ador�t pas Baal [(3:2)], son c�ur n��tait pas chang�. [6:33] Puis vient le d�sespoir qui juge inutile de s�attendre davantage � l��ternel1. C�est l� l�effet de la profession du nom de l��ternel, lorsqu�il n�existe pas de foi en lui. Il en �tait ainsi d�Isra�l dans le d�sert : � Pourquoi l��ternel nous a-t-il fait monter ici pour d�truire tout ce peuple ? �.
1 Il serait possible que ce qui est dit au v. 33 fussent les paroles d��lis�e.
Ch. 7 � Salut annonc� par �lis�e, quand tout est impossible pour l�homme
[7:1] �lis�e para�t ici de nouveau comme sauveur, ou, du moins, comme annon�ant le salut de l��ternel. [7:2] L�incr�dulit� du capitaine, qui tenait ce salut pour impossible, [7:17] est punie au moment o� il voit de ses yeux l�abondance. Quand tout est impossible � l�homme, [7:6-7] l��ternel intervient, et, en un instant, toute la sc�ne est chang�e.
versets 1-20
Chapitres 6 et 7
Ch. 6 v. 1-23 � Miracles caract�risant le minist�re d��lis�e]
Ch. 6 v. 1-7 � Miracle du fer surnageant dans le Jourdain
[6:1] Les fils des proph�tes doivent �largir leur habitation, [6:3] et �lis�e, qui consent � aller avec eux, [6:6] les garantit de l�effet de leur n�gligence en renversant les lois de la nature. Je ne sais s�il faut chercher ici autre chose que le caract�re g�n�ral du miracle, ou trouver un type dans le fait qu�il s�agit du Jourdain. En tant que le Jourdain a un sens comme figure, ce sens est constant; il signifie la mort. [6:2] La maison construite de ce qui a �t� tir� du Jourdain, [6:6] et la puissance de ce fleuve vaincue et d�truite par le morceau de bois qu�on y a jet�, et par le moyen duquel ce qui �tait au-del� de toute esp�rance et perdu en est retir�, sugg�rent facilement un sens typique. Je n�ose pas dire positivement que ce soit la pens�e de l�Esprit de Dieu; et il ne faut pas se laisser aller � son imagination.
Ch. 6 v. 8-23 � �lis�e garde Isra�l des attaques syriennes
Capture de l�arm�e syrienne, par les secours de Dieu pour les siens
[6:9] �lis�e garantit ensuite Isra�l des attaques de ses puissants ennemis. [6:13] Le roi de Syrie voulant faire �lis�e prisonnier, [6:20] c�est celui-ci, au contraire, qui fait prisonni�re toute l�arm�e qui venait le saisir, [6:17] en faisant comprendre � son serviteur aveugle, qui avait des yeux et ne voyait pas, les soins constants dont le Tout-Puissant environne toujours les siens.
Folie pour les ennemis du peuple de s�opposer � la puissance de Dieu
[6:22] Apr�s avoir fait comprendre aux ennemis la puissance du Dieu d�Isra�l, et la folie d�attaquer Son peuple quand le messager de Son alliance est avec Isra�l, �lis�e laisse aller les Syriens, [6:23] et ceux-ci ne reviennent plus dans le pays.
Miracles d��lis�e en faveur de tous, au-del� de ceux d��lie
Tous ces miracles caract�risent suffisamment le minist�re d��lis�e. Les pauvres du peuple consol�s [(4:1-7)], les Gentils gu�ris [(5:1-14)], Isra�l d�livr� et prot�g� [(6:8-23)], l��lection objet de b�n�diction [(5:8-37)], Isra�l et son roi infid�le laiss�s de c�t� quant au t�moignage du proph�te [(3:4-27)] : toutes ces choses se trouvent dans ce minist�re. Les miracles d��lis�e sont plus nombreux que ceux d��lie. Le poids qu��lie avait sur le c�ur n�existe pas pour �lis�e; aussi ne cherche-t-il � se soulager ni par le jugement contre le mal, ni en se retirant d�un champ de travail inutile.
Ch. 6 v. 24 � 7 v. 20 � D�tresse et jugement sur Isra�l, puis d�livrance
Ch. 6 v. 24-33 � Le jugement sur le peuple am�ne indignation et rejet de l��ternel
[6:24] L�iniquit� d�Isra�l le plonge de nouveau dans la d�tresse, [6:25] et Samarie est d�sol�e par la famine. [6:31] Le jugement produit l�indignation contre le t�moignage de l��ternel, car bien que Joram n�ador�t pas Baal [(3:2)], son c�ur n��tait pas chang�. [6:33] Puis vient le d�sespoir qui juge inutile de s�attendre davantage � l��ternel1. C�est l� l�effet de la profession du nom de l��ternel, lorsqu�il n�existe pas de foi en lui. Il en �tait ainsi d�Isra�l dans le d�sert : � Pourquoi l��ternel nous a-t-il fait monter ici pour d�truire tout ce peuple ? �.
1 Il serait possible que ce qui est dit au v. 33 fussent les paroles d��lis�e.
Ch. 7 � Salut annonc� par �lis�e, quand tout est impossible pour l�homme
[7:1] �lis�e para�t ici de nouveau comme sauveur, ou, du moins, comme annon�ant le salut de l��ternel. [7:2] L�incr�dulit� du capitaine, qui tenait ce salut pour impossible, [7:17] est punie au moment o� il voit de ses yeux l�abondance. Quand tout est impossible � l�homme, [7:6-7] l��ternel intervient, et, en un instant, toute la sc�ne est chang�e.