Ch. 30 v. 1-16 � Le parfum pr�sent� � Dieu et l�identification des rachet�s
La sacrificature �tant ainsi �tablie, et les relations du peuple avec Dieu qui demeurait au milieu de l�assembl�e, r�gl�es, [30:7-8] le chapitre 30 nous pr�sente aussit�t l�intercession de Christ en gr�ce (toutes ses perfections s��levant vers l��ternel comme un parfum de bonne odeur), et son service pour faire briller la manifestation de Dieu par l�Esprit (vers. 7). [30:16] Le peuple �tait identifi� avec ce service par l�effet du rachat (vers. 11-16). Il ne pouvait ni entrer l�, ni servir1; mais ceux qui faisaient partie du peuple y �taient tous repr�sent�s dans leur qualit� de rachet�s.
1 Les places �taient marqu�es, mais non pas notre entr�e dans ces places, avec tout ce qu�implique la d�chirure du voile.
Ch. 30 v. 17-21 � Purification pour le service � la cuve d�airain
[30:18] Puis, nous avons la cuve d�airain, entre l�autel d�airain et le tabernacle, � [30:20] la purification1 pour la communion avec Dieu et pour son service dans le tabernacle : premi�rement, le lavage de tout le corps, [30:21] puis celui des mains et des pieds (pour nous, des pieds seulement, puisqu�il ne s�agit que de notre marche ici-bas [(Jean 13:10)]), chaque fois qu�on prenait part au service.
1 C��tait le lavage d�eau par la Parole [(�ph. 5:26)], la purification du c�ur de l�homme pour faire de lui un adorateur, en nature d�abord (mais ce n��tait pas la cuve : les sacrificateurs �taient lav�s tout entiers pour �tre tels, mais l��criture ne dit pas qu�ils le fussent dans la cuve [(29:4)], comp. Jean 13 [v. 10]), et ensuite en pratique, selon la puret� de la vie divine par l�Esprit, par la parole, et particuli�rement lorsque l�adorateur avait failli dans sa marche; car la communion exige non seulement l�acceptation de la personne, mais la purification. Sans cette purification, la pr�sence de Dieu agit sur la conscience, non pas en nous faisant jouir de sa communion, mais pour convaincre de p�ch�. Christ, m�me comme homme, poss�dait par nature cette puret�, et il s�y maintenait par les paroles de la bouche de Dieu. Quant � nous, il nous faut �tre rendus participants de cette puret� pr�sent�e par la Parole, et aussi faire usage habituellement de la Parole pour nous purifier. L�id�e et la mesure de la puret� sont les m�mes pour Christ et pour nous : � Celui qui dit demeurer en lui, doit lui-m�me aussi marcher comme Lui a march� � [(1 Jean 2:6)]; � il se purifie, comme lui est pur � [(1 Jean 3:3)]. Pour les relations ordinaires du peuple, consid�r� comme peuple d�adorateurs, avec l��ternel, il y avait la g�nisse rousse (Nomb. 19). Ses cendres �taient mises dans l�eau vive [(Nomb. 19:17)]; ce qui veut dire que le Saint Esprit applique par la Parole les souffrances de Christ pour le p�ch�, au c�ur et � la conscience de l�homme, dans le but de le purifier. Ces souffrances pouvaient avoir toute leur force morale de purification, puisquele souvenir d�montrait que le p�ch� avait �t� consum�, quant � l�imputation, par le feu du jugement de Dieu, dans le sacrifice de Christ lui-m�me. Le sang de la g�nisse avait �t� mis par sept fois devant la porte du tabernacle [(Nomb. 19:4)], lieu o� nous venons de voir que Dieu se rencontrait avec le peuple [(29:42-43)]; mais pour rendre culte et servir Dieu, il faut poss�der une purification qui soit selon la mesure de Christ (autant du moins que nous r�alisons cette mesure), afin que la conscience ne soit pas mauvaise, et qu�ainsi il y ait progr�s.
Ch. 30 v. 22-38 � L�huile de l�onction et l�encens aromatique
Enfin, nous avons l�huile et l�encens. [30:30] L�huile odorif�rante n��tait que pour les sacrificateurs; [30:32] l�homme, dans sa nature d�homme, vu dans sa condition naturelle dans la chair, ne pouvait y participer. |30:34] Le parfum aromatique est le type des gr�ces pr�cieuses qui se trouvent dans la personne de Christ, la saveur des gr�ces divines manifest�es, et une bonne odeur dans l�homme. Lui seul r�pond � ce type.
versets 1-38
Ch. 30 v. 1-16 � Le parfum pr�sent� � Dieu et l�identification des rachet�s
La sacrificature �tant ainsi �tablie, et les relations du peuple avec Dieu qui demeurait au milieu de l�assembl�e, r�gl�es, [30:7-8] le chapitre 30 nous pr�sente aussit�t l�intercession de Christ en gr�ce (toutes ses perfections s��levant vers l��ternel comme un parfum de bonne odeur), et son service pour faire briller la manifestation de Dieu par l�Esprit (vers. 7). [30:16] Le peuple �tait identifi� avec ce service par l�effet du rachat (vers. 11-16). Il ne pouvait ni entrer l�, ni servir1; mais ceux qui faisaient partie du peuple y �taient tous repr�sent�s dans leur qualit� de rachet�s.
1 Les places �taient marqu�es, mais non pas notre entr�e dans ces places, avec tout ce qu�implique la d�chirure du voile.
Ch. 30 v. 17-21 � Purification pour le service � la cuve d�airain
[30:18] Puis, nous avons la cuve d�airain, entre l�autel d�airain et le tabernacle, � [30:20] la purification1 pour la communion avec Dieu et pour son service dans le tabernacle : premi�rement, le lavage de tout le corps, [30:21] puis celui des mains et des pieds (pour nous, des pieds seulement, puisqu�il ne s�agit que de notre marche ici-bas [(Jean 13:10)]), chaque fois qu�on prenait part au service.
1 C��tait le lavage d�eau par la Parole [(�ph. 5:26)], la purification du c�ur de l�homme pour faire de lui un adorateur, en nature d�abord (mais ce n��tait pas la cuve : les sacrificateurs �taient lav�s tout entiers pour �tre tels, mais l��criture ne dit pas qu�ils le fussent dans la cuve [(29:4)], comp. Jean 13 [v. 10]), et ensuite en pratique, selon la puret� de la vie divine par l�Esprit, par la parole, et particuli�rement lorsque l�adorateur avait failli dans sa marche; car la communion exige non seulement l�acceptation de la personne, mais la purification. Sans cette purification, la pr�sence de Dieu agit sur la conscience, non pas en nous faisant jouir de sa communion, mais pour convaincre de p�ch�. Christ, m�me comme homme, poss�dait par nature cette puret�, et il s�y maintenait par les paroles de la bouche de Dieu. Quant � nous, il nous faut �tre rendus participants de cette puret� pr�sent�e par la Parole, et aussi faire usage habituellement de la Parole pour nous purifier. L�id�e et la mesure de la puret� sont les m�mes pour Christ et pour nous : � Celui qui dit demeurer en lui, doit lui-m�me aussi marcher comme Lui a march� � [(1 Jean 2:6)]; � il se purifie, comme lui est pur � [(1 Jean 3:3)]. Pour les relations ordinaires du peuple, consid�r� comme peuple d�adorateurs, avec l��ternel, il y avait la g�nisse rousse (Nomb. 19). Ses cendres �taient mises dans l�eau vive [(Nomb. 19:17)]; ce qui veut dire que le Saint Esprit applique par la Parole les souffrances de Christ pour le p�ch�, au c�ur et � la conscience de l�homme, dans le but de le purifier. Ces souffrances pouvaient avoir toute leur force morale de purification, puisque le souvenir d�montrait que le p�ch� avait �t� consum�, quant � l�imputation, par le feu du jugement de Dieu, dans le sacrifice de Christ lui-m�me. Le sang de la g�nisse avait �t� mis par sept fois devant la porte du tabernacle [(Nomb. 19:4)], lieu o� nous venons de voir que Dieu se rencontrait avec le peuple [(29:42-43)]; mais pour rendre culte et servir Dieu, il faut poss�der une purification qui soit selon la mesure de Christ (autant du moins que nous r�alisons cette mesure), afin que la conscience ne soit pas mauvaise, et qu�ainsi il y ait progr�s.
Ch. 30 v. 22-38 � L�huile de l�onction et l�encens aromatique
Enfin, nous avons l�huile et l�encens. [30:30] L�huile odorif�rante n��tait que pour les sacrificateurs; [30:32] l�homme, dans sa nature d�homme, vu dans sa condition naturelle dans la chair, ne pouvait y participer. |30:34] Le parfum aromatique est le type des gr�ces pr�cieuses qui se trouvent dans la personne de Christ, la saveur des gr�ces divines manifest�es, et une bonne odeur dans l�homme. Lui seul r�pond � ce type.