Outre la recommandation faite au chapitre 34 � Isra�l de demeurer s�par� des peuples voisins, il y a dans le chapitre 35 une autre partie des instructions de Mo�se, qu�il a donn�es apr�s �tre descendu de la montagne. Ces instructions n�ont pas rapport � la certitude pour le peuple d�entrer dans le pays, ni � la conduite qui convient � ceux qui sont graci�s, savoir: qu�ils s�abstiennent de tout ce qui pourrait tendre � ramener le p�ch�, lorsqu�ils jouissent des privil�ges de la gr�ce; mais Mo�se parle de ce que le peuple avait en partage, envisag� sous le b�n�fice de la communication avec Dieu, que le m�diateur, comme chef de la gr�ce, avait �tabli. Le sabbat est ordonn�1, et en outre le peuple, � qui la gr�ce a �t� manifest�e, est encourag� � montrer sa franche volont� et sa lib�ralit� dans tout ce qui regarde le service de Dieu. Aussi trouvons-nous la manifestation de l�Esprit de sagesse et de don dans le service, Dieu nommant ceux qu�il d�signait plus particuli�rement pour l��uvre. Le peuple r�pond de bon c�ur � l�invitation que lui adresse Mo�se: on apportait plus qu�il ne fallait, et tous les hommes d�esprit travaillaient aux choses pour lesquelles ils �taient dou�s. Mo�se les b�nit.
1 Le sabbat intervient toutes les fois qu�il y a un principe quelconque de relation, �tabli entre le peuple et Dieu. Le sabbat est le r�sultat de cette relation; le peuple entre dans le repos de Dieu. Il faut observer que, tandis que le peuple est plac� positivement sous la loi, le principe des secondes tables �tait la loi apr�s le pardon et la mis�ricorde. C�est exactement le terrain sur lequel les chr�tiens de nos jours veulent se placer: ils veulent introduire la loi apr�s la gr�ce et la mis�ricorde. Mais Paul appelle cela: le minist�re de la mort et de la condamnation. La premi�re fois que Mo�se monta sur la montagne, sa face ne devint pas resplendissante, et c�est � cela que l�ap�tre fait allusion en 2 Corinthiens 3.
versets 1-38
Chapitres 35 � 39
Outre la recommandation faite au chapitre 34 � Isra�l de demeurer s�par� des peuples voisins, il y a dans le chapitre 35 une autre partie des instructions de Mo�se, qu�il a donn�es apr�s �tre descendu de la montagne. Ces instructions n�ont pas rapport � la certitude pour le peuple d�entrer dans le pays, ni � la conduite qui convient � ceux qui sont graci�s, savoir: qu�ils s�abstiennent de tout ce qui pourrait tendre � ramener le p�ch�, lorsqu�ils jouissent des privil�ges de la gr�ce; mais Mo�se parle de ce que le peuple avait en partage, envisag� sous le b�n�fice de la communication avec Dieu, que le m�diateur, comme chef de la gr�ce, avait �tabli. Le sabbat est ordonn�1, et en outre le peuple, � qui la gr�ce a �t� manifest�e, est encourag� � montrer sa franche volont� et sa lib�ralit� dans tout ce qui regarde le service de Dieu. Aussi trouvons-nous la manifestation de l�Esprit de sagesse et de don dans le service, Dieu nommant ceux qu�il d�signait plus particuli�rement pour l��uvre. Le peuple r�pond de bon c�ur � l�invitation que lui adresse Mo�se: on apportait plus qu�il ne fallait, et tous les hommes d�esprit travaillaient aux choses pour lesquelles ils �taient dou�s. Mo�se les b�nit.
1 Le sabbat intervient toutes les fois qu�il y a un principe quelconque de relation, �tabli entre le peuple et Dieu. Le sabbat est le r�sultat de cette relation; le peuple entre dans le repos de Dieu. Il faut observer que, tandis que le peuple est plac� positivement sous la loi, le principe des secondes tables �tait la loi apr�s le pardon et la mis�ricorde. C�est exactement le terrain sur lequel les chr�tiens de nos jours veulent se placer: ils veulent introduire la loi apr�s la gr�ce et la mis�ricorde. Mais Paul appelle cela: le minist�re de la mort et de la condamnation. La premi�re fois que Mo�se monta sur la montagne, sa face ne devint pas resplendissante, et c�est � cela que l�ap�tre fait allusion en 2 Corinthiens 3.