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Bible Commentaries
Jean 6

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versets 1-71

Le Seigneur descendu du ciel, vu comme victime mise � mort

Le Fils de l�homme, venu ici-bas, donne la vie comme nourriture

Ce chapitre nous pr�sente le Seigneur descendu des cieux, humili� et mis � mort : non pas maintenant comme le Fils de Dieu, un avec le P�re, source de vie; mais comme celui qui, tout en �tant l��ternel et en m�me temps proph�te et roi, prendra le caract�re de victime, et celui de sacrificateur en haut. [6:35] Pain de vie dans son incarnation � [6:55] mort, il sera la vraie nourriture du croyant � [6:62] et mont� en haut de nouveau, l�objet vivant de sa foi; mais le Seigneur ne fait qu�indiquer ce dernier trait : la doctrine de ce chapitre est renferm�e surtout dans ce que nous venons de dire. [6:33] Ce n�est pas la puissance divine qui vivifie, mais le Fils de l�homme venu en chair, l�objet de la foi, et ainsi le moyen de la vie; [6:53] et cependant, quoique annonc�e simplement par l�appel de la gr�ce, ce n�est pas le c�t� divin qui vivifie qui il veut, mais la foi en nous, qui saisit le Sauveur. Dans les deux cas, il agit ind�pendamment des limites du juda�sme. Il vivifie qui il veut, [6:33] et il vient pour donner la vie au monde.

Contraste de J�sus et de son enseignement avec le juda�sme

[6:4] Ce discours du Seigneur a eu lieu � l�occasion de la P�que, figure que le Seigneur devait accomplir, par la mort, sujet dont il parlait. Remarquez ici que tous ces chapitres pr�sentent le Seigneur et la v�rit� qui le r�v�le, en contraste avec le juda�sme qu�il quittait et mettait de c�t�. Au chap. 5, c��tait l�impuissance de la loi et de ses ordonnances : ici, les b�n�dictions promises aux Juifs sur la terre, de la part de l��ternel (Ps. 132:15); et les caract�res de proph�te et de roi qui s�y accomplissent par le Messie sur la terre, dans ses relations avec les Juifs, forment contraste avec la nouvelle position de J�sus et avec le nouveau caract�re que prend sa doctrine par son rejet. Le contraste dont je parle ici caract�rise chaque sujet distinct de cet �vangile.

Ch. 6 v. 1-21 � Caract�re de J�sus comme proph�te, sacrificateur en haut

Examinons maintenant notre chapitre : [6:11] premi�rement J�sus pourvoit aux besoins du peuple selon la b�n�diction promise au Ps. 132 [(v. 15)], et que l��ternel lui-m�me devait accomplir; [6:14] l�-dessus le peuple reconna�t J�sus pour � le proph�te �, [6:15] et veut par la force faire de Lui son roi. Mais il refuse maintenant cette offre � il ne pouvait prendre cette position de cette mani�re charnelle. J�sus les quitte et se retire sur la montagne, Lui tout seul. C��tait, en figure, sa position comme sacrificateur, en Haut. Tels sont les trois caract�res du Messie en Isra�l; mais le dernier a une application compl�te et sp�ciale pour les saints au temps actuel, comme marchant sur la terre, et continuant ainsi la position du r�sidu. L��ternel est en m�me temps roi, et proph�te. J�sus quitte le peuple pour monter en haut � part. Il prenait ainsi, quant � la signification de l�acte, la position de sacrificateur en haut. [6:17] Les disciples montent sur une nacelle, [6:18] et sont ballott�s sans lui sur la mer. [6:17] Les t�n�bres surviennent (c�est ce qui arrivera au r�sidu ici-bas), et J�sus n�est pas l�; � [6:19] il rejoint cependant les siens, [6:21] et ils le re�oivent avec joie : aussit�t la nacelle prend terre l� o� ils allaient. Tableau frappant du r�sidu faisant son chemin sur la terre pendant l�absence de Christ, et duquel chaque souhait se trouve satisfait imm�diatement � b�n�diction enti�re et repos � lorsque J�sus le rejoint1.

1 L�application directe de ces faits est pour le r�sidu; mais aussi, comme nous l�avons indiqu� dans le texte, nous sommes, pour ainsi dire, quant � notre marche sur la terre, la continuation de ce r�sidu : Christ est en haut pour nous, tandis que nous sommes dans l�orage ici-bas. La partie subs�quente du chapitre, le pain de vie, est proprement pour nous. Le monde est en question, non Isra�l. En effet, quoique Christ soit pour Isra�l comme Aaron au-dedans du voile, tandis qu�il se trouve l�, les saints ont proprement leur caract�re c�leste.

Ch. 6 v. 22-59 � Christ, Fils de l�homme, nourriture pour la foi

Ch. 6 v. 22-29 � J�sus, envoy� et scell� de Dieu pour donner la nourriture en vie �ternelle

[6:14] Cette partie du chapitre avant montr� le Seigneur comme d�j� proph�te ici-bas, [6:15] et ne prenant pas la royaut� (ce qui n�arrivera que lorsqu�il rejoindra le r�sidu ici-bas) � cadre historique de ce qu�il �tait et de ce qu�il sera � la suite du chapitre nous apprend ce qu�il est pour la foi, en attendant; elle nous montre quel est son vrai caract�re, et que le but de Dieu, en l�envoyant en dehors d�Isra�l, est en rapport avec la gr�ce souveraine. [6:26] Le peuple le cherche; [6:29] mais la vraie �uvre que Dieu reconna�t, c�est de croire en Celui qu�il a envoy�. [6:27] Ainsi, on a cette nourriture qui dure pour la vie �ternelle, nourriture que le Fils de l�homme devait donner (c�est sous ce caract�re que J�sus se pr�sente ici, comme il s��tait pr�sent� sous celui de Fils de Dieu, au chap. 5); car c�est sur Lui que le P�re avait mis son sceau. J�sus avait pris cette place de Fils de l�homme dans l�humiliation ici-bas; il �tait all� se faire baptiser par Jean le baptiseur; et alors, dans ce caract�re, le P�re l�avait scell�, le Saint Esprit �tant descendu sur Lui.

Ch. 6 v. 30-50 � Salut par J�sus pour ceux amen�s � Lui par la gr�ce du P�re

[6:30] La foule lui demande un signe [6:31] tel que celui de la manne (vers. 30 et suiv.) : [6:32] il est lui-m�me le vrai signe, la preuve irr�cusable de la bont� de Dieu � laquelle la manne avait rendu un t�moignage passager : [6:35] il est la vraie manne. [6:32] Mo�se n�avait pas donn� le pain c�leste de la vie; leurs p�res �taient morts, dans le d�sert m�me o� ils avaient mang� la manne : le P�re leur donnait dans ce moment le vrai pain du ciel. Ici, remarquez-le, ce n�est pas le Fils de Dieu qui donne, et qui est la source, le communicateur souverain de la vie, � qui il veut : [6:35] il est l�objet plac� devant la foi, celui qu�on mange, dont on se nourrit, en qui on trouve la vie, de qui on vit, de sorte qu�on n�a jamais faim. [6:36] Mais la foule ne croyait pas en lui; et effectivement il ne s�agissait pas de la masse d�Isra�l comme telle : [6:37] ceux que le P�re donnerait � J�sus viendraient � Lui. Il �tait l� l�objet passif de la foi, pour ainsi dire. Ce n�est plus ici : � Il vivifie ceux qu�il veut � [(5:21)]; � il est l� pour recevoir ceux que le P�re lui am�ne. Aussi, quel que f�t celui qui venait, il ne le mettait aucunement dehors, ennemi, moqueur, gentil; � aucun ne serait venu � Lui, si le P�re ne l�e�t amen�. [6:38] Or le Messie �tait l� pour faire la volont� de son P�re, quel que f�t celui que le P�re lui amenait. J�sus le recevait pour le salut �ternel (comp. chap. 5:21). La volont� du P�re avait ces deux caract�res : l� [6:39] De tous ceux que le P�re lui donnerait, J�sus n�en perdrait aucun; pr�cieuse assurance ! Le Seigneur sauve certainement jusqu�� la fin ceux que le P�re lui a donn�s. � [6:40] Ensuite, 2� tous ceux qui verraient le Fils et croiraient en Lui, auraient la vie �ternelle. Cette d�claration est l��vangile pour toute �me d�homme, comme l�autre d�claration est ce qui assure infailliblement le salut de tout croyant. Mais ce n�est pas tout : ce n��tait pas de l�accomplissement sur la terre des promesses faites aux Juifs qu�il s�agissait, mais d��tre ressuscit� � d�entre les morts � d�avoir une part � la vie �ternelle en r�surrection au dernier jour (savoir au dernier jour du si�cle de la loi o� ils se trouvaient). J�sus ne couronnait pas l��conomie l�gale; il devait en introduire une autre, et la r�surrection avec elle. [6:41] Les Juifs1 murmurent de ce qu�il se dit descendu du ciel : [6:44] le Seigneur r�pond, en d�clarant que la difficult� qu�ils �prouvaient � l��gard de sa descente du ciel se comprenait facilement : � Nul ne peut venir � moi, � moins que le P�re qui m�a envoy� ne le tire �. C��tait la gr�ce qui produisait cet effet; �tre Juif ou non, n�y faisait rien. Il s�agissait, non pas de l�accomplissement des promesses par le Messie, mais de la vie �ternelle, d��tre ressuscit� d�entre les morts par Lui, d�introduire la vie d�un tout autre monde dont on jouissait par la foi � la gr�ce du P�re ayant amen� l��me � trouver cette vie en J�sus. [6:45] Au reste, les proph�tes avaient d�j� annonc� : Ils seront tous enseign�s de Dieu (�s. 54:13). Chacun donc ainsi enseign� du P�re, venait � Lui : [6:46] non point qu�aucun ait vu le P�re, sinon celui qui �tait de Dieu � J�sus, Lui, avait vu le P�re, [6:47] et celui qui croyait en Lui �tait d�j� en possession de la vie �ternelle, [6:48] car J�sus �tait le pain descendu du ciel, [6:50] afin qu�en mangeant de ce pain on ne mour�t plus (vers. 43-48).

1 Les Juifs, dans Jean, sont toujours distingu�s de la foule; ce sont les habitants de J�rusalem et de la Jud�e. Peut-�tre faciliterait-on l�intelligence de cet �vangile, si l�on disait, au lieu de Juifs � � ceux de Jud�e �, ce qui est le vrai sens.

Ch. 6 v. 51-54 � La mort de Christ est la vie du croyant, �tant la fin du p�ch�

[6:51] Or ceci n��tait pas seulement par l�incarnation, mais par la mort de Celui qui �tait descendu du ciel : il donnerait sa vie; son sang serait �t� de ce corps qu�il avait pris; [6:53] on mangerait sa chair, on boirait son sang. La mort serait la vie du croyant, car la vie naturelle est maintenant le p�ch�. Et, en effet, c�est dans un Sauveur mort que nous voyons le p�ch� �t� qu�il portait pour nous, et la mort pour nous est la mort � la nature p�cheresse, dans laquelle le mal et notre s�paration d�avec Dieu r�sident. L� en avait fini avec le p�ch� celui qui ne l�avait point connu. Par la mort que le p�ch� avait introduite, on est quitte du p�ch� qui se rattachait � la vie qui y trouvait sa fin : non que Christ e�t du p�ch� dans sa personne, mais il a pris le p�ch�, il a �t� fait p�ch� sur la croix pour nous; et celui qui est mort est justifi� du p�ch� [(Rom. 6:7)]. [6:54] Je me nourris donc de la mort de Christ : la mort est mienne, elle est devenue la vie; elle me s�pare du p�ch�, de la mort, de la vie dans laquelle j��tais s�par� de Dieu. Le p�ch� et la mort y ont trouv� leur fin : ils se rattachaient � ma vie; � Christ en gr�ce les a pris sur lui [6:51] et il a donn� sa chair pour la vie du monde; et moi j�en suis quitte, et je me nourris de la gr�ce infinie en Lui qui a accompli cette �uvre. L�expiation est parfaite, et je vis, �tant heureusement mort � tout ce qui me s�parait de Dieu. C�est de la mort, en tant qu�accomplie en lui, que je me nourris, y entrant par la foi. Christ a d� �tre vivant comme homme, afin de mourir; et il a donn� sa vie : ainsi, sa mort est efficace, son amour est infini, et l�expiation est totale, absolue, parfaite. Ce qui �tait entre moi et Dieu n�existe plus, car Christ est mort, et tout cela a pass� avec sa vie d�ici-bas, telle qu�il l�avait sur la terre avant d�expirer sur la croix. La mort ne pouvait pas l�arr�ter. Pour accomplir cette �uvre, il a d� avoir une puissance de vie divine � laquelle la mort ne pouvait toucher; mais ce n�est pas cette v�rit� qui est l�objet de l�enseignement de ce chapitre, tout en y �tant impliqu�e.

Ch. 6 v. 55-58 � Recevoir Christ comme mort, Lui demeurant en nous comme notre vie

En parlant � la foule, le Seigneur, tout en leur reprochant leur incr�dulit�, se pr�sente, en tant que venu en chair, comme l�objet de leur foi dans ce moment-l� (vers. 32-35). [6:51] Avec les Juifs, exposant la doctrine, il r�p�te qu�il est le pain vivant descendu du ciel, duquel si un homme mange, il vivra pour toujours; [6:53] mais il fait comprendre en m�me temps qu�on ne pouvait pas en rester l� : il fallait recevoir sa mort. J�sus ne dit pas maintenant � celui qui me mange �, mais qu�il fallait manger sa chair et boire son sang, entrer pleinement dans la pens�e, la r�alit� de sa mort; il parle de recevoir un Messie non pas vivant, mais mort pour l�homme, mort devant Dieu. Il n�existe pas maintenant comme un Christ mort, mais il faut reconna�tre sa mort, la r�aliser, s�en nourrir, prendre notre place devant Dieu en y participant par la foi, sans quoi il n�y a pas de vie en nous1. [6:51] Ainsi le Messie et son �uvre seraient pour le monde; ainsi aussi on ne vivrait pas de sa vie propre, mais de Christ en s�en nourrissant. � Par cette pens�e J�sus en revient � sa propre personne. [6:56] La foi en sa mort �tant �tablie, on demeurerait en lui (vers. 56), [6:57] et l�on serait en Lui devant Dieu selon toute son acceptation aupr�s de Dieu, selon toute l�efficace de son �uvre en mourant. [6:56] Christ demeurerait dans le croyant selon la puissance et la gr�ce de cette vie dans laquelle il avait remport� la victoire sur la mort, et dans laquelle il vit maintenant l�ayant remport�e. [6:57] Comme le P�re vivant l�avait envoy�, et qu�il vivait, non par une vie ind�pendante qui n�avait pas le P�re pour son objet ou pour sa source, ainsi celui qui le mangeait vivrait par cons�quent de Lui2.

1 Cette v�rit� est d�une immense importance en ce qui concerne la question des sacrements. L��cole puseyite d�clare que les sacrements sont la continuation de l�incarnation. C�est en tous points une erreur et, de fait, une n�gation de la foi. Les deux sacrements, la c�ne et le bapt�me signifient la mort. Nous sommes baptis�s pour la mort de Christ [(Rom. 6:3)]; la C�ne est sans contredit un embl�me de cette mort. J�emploie les mots � n�gation de la foi �, [6:53] parce que le Seigneur montre que si quelqu�un ne mange sa chair et ne boit son sang, il n�a pas la vie en lui-m�me. Dans son incarnation, Christ demeure seul. Sa pr�sence dans la chair ici-bas montrait que Dieu et les hommes p�cheurs ne pouvaient �tre unis. Le fait qu�il vint comme homme dans ce monde, aboutit � sa r�jection � prouvant ainsi l�impossibilit� de l�union ou m�me d�un fruit quelconque produit sur ce terrain. Il fallait que la r�demption interv�nt, que le sang de Christ f�t r�pandu, qu�Il f�t �lev� de la terre, attirant ainsi tous les hommes � lui [(12:32)] : si la mort n�intervenait pas, il demeurait seul [(12:24)]. Les disciples ne pouvaient participer au � pain qui descend du ciel � s�ils ne mangeaient sa chair et ne buvaient son sang. Un sacrifice de g�teau qui n��tait pas accompagn� d�une offrande dans laquelle le sang �tait r�pandu, n�avait aucune valeur, ou plut�t devenait un sacrifice de Ca�n. De plus, la C�ne nous pr�sente un Christ mort et cela seulement � le sang r�pandu en dehors du corps. Un tel Christ n�existe plus; et c�est pourquoi la transsubstantiation, la consubstantiation et toutes les doctrines semblables ne sont que des fables absurdes. Par le Saint Esprit nous sommes unis � un Christ glorifi� et nous c�l�brons cette mort infiniment pr�cieuse sur laquelle repose toute notre b�n�diction et gr�ce � laquelle nous avons �t� amen�s l� o� nous sommes. Nous le faisons en m�moire de lui, et dans nos c�urs nous nous nourrissons de Celui qui a �t� donn� pour nous.

2 Il est bon de remarquer que, dans ce passage, aux vers. 51 et 53, le mot manger est un aoriste � quiconque a fait ainsi. Dans les vers. 54, 56 et 57, manger est au pr�sent � une action pr�sente, continue.

Ch. 6 v. 60-71 � J�sus descendu et remont� au ciel, reconnu de la foi

R�alit� de la foi dans les disciples, saisissant ce qu�Il est, selon Dieu

Ensuite le Seigneur, [6:60-61] en r�ponse � ceux qui se scandalisent de cette v�rit� fondamentale, [6:62] en appelle � son ascension. Il �tait descendu du ciel, voil� sa doctrine � et il y remonterait. [6:63] La chair mat�rielle ne profite de rien; c�est l�Esprit qui vivifie, en r�alisant dans l��me la puissante v�rit� de ce qu��tait Christ et de ce qu��tait sa mort. [6:65] Or J�sus en revient � ce qu�il avait dit, que pour venir � lui, ainsi r�ellement r�v�l�, il fallait �tre amen� par le P�re (vers. 65). Il y a une foi ignorante, peut-�tre, mais qui est pourtant r�elle par la gr�ce : telle �tait celle des disciples. [6:68] Ils savaient que J�sus avait, et lui seul, les paroles de la vie �ternelle; non pas seulement qu�il f�t le Messie, ce qu�ils croyaient en effet, mais sa Parole avait saisi leur c�ur, avec la puissance de la vie divine qu�elle r�v�lait et qu�elle communiquait par la gr�ce. [6:69] Ainsi les disciples reconnaissaient J�sus non seulement comme le Fils de Dieu, officiellement, pour ainsi dire, mais selon la puissance de la vie divine : il �tait � le Fils du Dieu vivant � [(Matt. 16:16)]. [6:70] Cependant il y en avait un parmi eux qui �tait un diable.

J�sus, venu ici-bas et mort, est notre nourriture durant Son absence

C�est ainsi que J�sus descendu du ciel, mis � mort, remont� o� il �tait auparavant, est la doctrine du chapitre que nous venons de parcourir. Descendu, mis � mort, il est la nourriture de la foi pendant son absence en haut, [6:56] car c�est de sa mort qu�on se nourrit pour demeurer spirituellement en Lui, et pour qu�il demeure Lui en nous.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur John 6". "Commentaire biblique avancé". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/cba/john-6.html.
 
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