Le chapitre 12 nous pr�sente le jugement de Dieu tombant sur ce qui, sans la chute, e�t �t� joie et b�n�diction. La naissance d�un homme, li�e d�sormais au p�ch�, rend la m�re impure; celle d�une femme la rend plus impure encore, car la femme ayant �t� s�duite, avait �t� en transgression1.
1 La faiblesse de la nature d�chue se rattachait � ce qui rendait impur (comp. Gen. 1:28). Tout ce qui provenait de la faiblesse m�me de la nature, r�sultat du p�ch�, rendait impur sous la loi. Cela est vrai aussi spirituellement. Les effets de la faiblesse de la nature sont autant de manifestations de la vie qui est dans la chair. Il en �tait ainsi du l�preux: la chair vive rendait impur, de m�me que tout autre sympt�me par lequel la vie se manifestait au dehors, vie qui �tait devenue souill�e et sur laquelle avait �t� prononc�e la sentence de mort, lors m�me que la faiblesse seule �tait la cause de la souillure.
versets 1-8
Le chapitre 12 nous pr�sente le jugement de Dieu tombant sur ce qui, sans la chute, e�t �t� joie et b�n�diction. La naissance d�un homme, li�e d�sormais au p�ch�, rend la m�re impure; celle d�une femme la rend plus impure encore, car la femme ayant �t� s�duite, avait �t� en transgression1.
1 La faiblesse de la nature d�chue se rattachait � ce qui rendait impur (comp. Gen. 1:28). Tout ce qui provenait de la faiblesse m�me de la nature, r�sultat du p�ch�, rendait impur sous la loi. Cela est vrai aussi spirituellement. Les effets de la faiblesse de la nature sont autant de manifestations de la vie qui est dans la chair. Il en �tait ainsi du l�preux: la chair vive rendait impur, de m�me que tout autre sympt�me par lequel la vie se manifestait au dehors, vie qui �tait devenue souill�e et sur laquelle avait �t� prononc�e la sentence de mort, lors m�me que la faiblesse seule �tait la cause de la souillure.