Les chapitres 19, 20, nous conduisent un peu plus loin. Le peuple devait �tre saint, car l��ternel �tait saint. Le chapitre 19 consid�re les choses plut�t du c�t� du bien, quoiqu�il mette en garde contre tout ce qui �tait profane, ou qui profanait les choses saintes: il enseigne au peuple tout ce qui est bon, aimable et convenable, � l��gard de divers d�tails de sa conduite, soit dans les relations individuelles de ses membres les uns avec les autres, soit quant � certains dangers auxquels l�exposait sa marche au milieu des circonstances de chaque jour, car il avait affaire avec Dieu, et l��ternel �tait son Dieu. Le peuple de Dieu devait, dans tous ses rapports, avoir une conduite digne de la relation qu�il soutenait avec Lui, et comprendre m�me selon Dieu ce qui convenait � l�homme, et cela dans toutes les positions o� il pouvait se trouver plac�. Ainsi, quoiqu�il ne soit pas question ici de sacrificature, nous voyons maintenue, d�une mani�re pratique, la relation du peuple avec Celui qui demeurait au milieu d�eux et duquel ils s�approchaient en se gardant de souillures, indignes de ceux qui se trouvaient dans cette relation. C�est ici que nous trouvons le pr�cepte d�aimer notre prochain comme nous-m�mes. Le chapitre 20 met plus en garde contre le mal et la corruption qui existaient au milieu des nations. Dans ces deux chapitres, Isra�l est appel� � �tre saint: dans le chapitre 19 plut�t en conformit� avec le caract�re de Dieu, dans le chapitre 20 pour se garder des idoles et du mal, parce que l��ternel avait sanctifi� le peuple pour lui-m�me; ce chapitre 20 insiste sur la puret�, afin qu�elle soit observ�e sous tous les rapports.
versets 1-37
Chapitres 19 et 20
Les chapitres 19, 20, nous conduisent un peu plus loin. Le peuple devait �tre saint, car l��ternel �tait saint. Le chapitre 19 consid�re les choses plut�t du c�t� du bien, quoiqu�il mette en garde contre tout ce qui �tait profane, ou qui profanait les choses saintes: il enseigne au peuple tout ce qui est bon, aimable et convenable, � l��gard de divers d�tails de sa conduite, soit dans les relations individuelles de ses membres les uns avec les autres, soit quant � certains dangers auxquels l�exposait sa marche au milieu des circonstances de chaque jour, car il avait affaire avec Dieu, et l��ternel �tait son Dieu. Le peuple de Dieu devait, dans tous ses rapports, avoir une conduite digne de la relation qu�il soutenait avec Lui, et comprendre m�me selon Dieu ce qui convenait � l�homme, et cela dans toutes les positions o� il pouvait se trouver plac�. Ainsi, quoiqu�il ne soit pas question ici de sacrificature, nous voyons maintenue, d�une mani�re pratique, la relation du peuple avec Celui qui demeurait au milieu d�eux et duquel ils s�approchaient en se gardant de souillures, indignes de ceux qui se trouvaient dans cette relation. C�est ici que nous trouvons le pr�cepte d�aimer notre prochain comme nous-m�mes. Le chapitre 20 met plus en garde contre le mal et la corruption qui existaient au milieu des nations. Dans ces deux chapitres, Isra�l est appel� � �tre saint: dans le chapitre 19 plut�t en conformit� avec le caract�re de Dieu, dans le chapitre 20 pour se garder des idoles et du mal, parce que l��ternel avait sanctifi� le peuple pour lui-m�me; ce chapitre 20 insiste sur la puret�, afin qu�elle soit observ�e sous tous les rapports.