Caract�res de Christ dans les diff�rents sacrifices
Nous avons donc, au chap. 1, Christ dans son d�vouement jusqu�� la mort; au chap. 2, Christ dans la perfection de sa vie de cons�cration � Dieu; au chap. 3, Christ, base de la communion du peuple avec Dieu, qui mange � la m�me table avec eux; et enfin, au chap. 4, Christ fait p�ch� pour ceux qui �taient coupables, et portant leurs p�ch�s en son propre corps sur le bois. On trouvera que, dans l�ordonnance des sacrifices, il est surtout question de savoir quelles parties de ces sacrifices devaient �tre mang�es, et par qui et dans quelles conditions elles devaient l��tre.
Ordonnances des sacrifices
Ch. 6 v. 1-6, 12-16 � L�holocauste et le g�teau de sacrificateur
Christ enti�rement offert � Dieu
Tout holocauste [(6:2)] et tout g�teau de sacrificateur (6:16) devaient �tre enti�rement br�l�s; c��tait Christ offert tout entier � Dieu.
Bonne odeur de l�holocauste montant vers Dieu toute la nuit
[6:2] Une circonstance particuli�re � l�holocauste, c�est que le feu br�lait toute la nuit sur l�autel, et y consumait la victime, dont la bonne odeur montait ainsi jusqu�� Dieu, m�me dans les t�n�bres o� se trouvait l�homme, enseveli dans le sommeil loin de Lui. Je ne doute pas que ceci ne soit vrai pour Isra�l. Dieu a, par devers lui, la bonne odeur du sacrifice de Christ pendant que la nation l�oublie. Quoi qu�il en soit, le jugement de la sainte majest� de Dieu, le feu de l��ternel, maintenant que Christ s�est offert de sa propre volont�, a pour unique effet de faire monter vers Dieu la bonne odeur de ce pr�cieux sacrifice.
Ch. 6 v. 7-11, 17-23 � Le sacrifice pour le p�ch� et l�offrande de g�teau]
Les sacrificateurs mangeaient des autres sacrifices, du sacrifice pour le p�ch� [(6:19)], et de l�offrande du g�teau [(6:9)]. Cette derni�re nous pr�sente, comme figure g�n�rale, la mani�re dont les chr�tiens se nourrissent de la perfection de Christ homme. Dans le sacrifice pour le p�ch�, Christ, et m�me les siens, comme sacrificateurs, par la communion du c�ur et par la sympathie, s�identifient avec le p�ch� d�autrui, ou plut�t avec l��uvre de Christ pour le p�ch�. C�est une �uvre de gr�ce, dans laquelle ils interviennent en portant le p�ch� sur leur c�ur, selon l�efficace du sacrifice de Christ. C�est ainsi qu�ils jouissent de la gr�ce de Christ dans ce sacrifice. Christ entre directement dans cette �uvre de gr�ce pour nous; nous y entrons en gr�ce, dans ce que lui a fait. Toutefois c�est une chose solennelle que de nous occuper du p�ch�, m�me en gr�ce. Nous ne pouvons le faire que dans le caract�re de sacrificateurs, et avec le sentiment de la gravit� du p�ch� mis en regard de l��uvre dont il est l�objet.
Ch. 7 v. 11-21 � Le sacrifice de prosp�rit�
[7:15] Le peuple mangeait des sacrifices de prosp�rit�, qui, bien qu�ils fussent saints, n�exigeaient pas de ceux qui y prenaient part la m�me proximit� de Dieu. C��tait la joie de la communion des fid�les, bas�e sur la r�demption et sur l�acceptation de Christ par Dieu. C�est pourquoi les prescriptions dont ces sacrifices sont l�objet, viennent apr�s celles qui concernent les autres sacrifices, bien que dans l�ordre de ces sacrifices elles pr�c�dent le sacrifice pour le p�ch�. En effet, dans les autres sacrifices, il fallait �tre sacrificateur pour manger de la chair des victimes. Il y a des choses que nous faisons comme sacrificateurs; il en est d�autres que nous faisons comme simples fid�les.
versets 1-38
Chapitres 6 et 7
Caract�res de Christ dans les diff�rents sacrifices
Nous avons donc, au chap. 1, Christ dans son d�vouement jusqu�� la mort; au chap. 2, Christ dans la perfection de sa vie de cons�cration � Dieu; au chap. 3, Christ, base de la communion du peuple avec Dieu, qui mange � la m�me table avec eux; et enfin, au chap. 4, Christ fait p�ch� pour ceux qui �taient coupables, et portant leurs p�ch�s en son propre corps sur le bois. On trouvera que, dans l�ordonnance des sacrifices, il est surtout question de savoir quelles parties de ces sacrifices devaient �tre mang�es, et par qui et dans quelles conditions elles devaient l��tre.
Ordonnances des sacrifices
Ch. 6 v. 1-6, 12-16 � L�holocauste et le g�teau de sacrificateur
Christ enti�rement offert � Dieu
Tout holocauste [(6:2)] et tout g�teau de sacrificateur (6:16) devaient �tre enti�rement br�l�s; c��tait Christ offert tout entier � Dieu.
Bonne odeur de l�holocauste montant vers Dieu toute la nuit
[6:2] Une circonstance particuli�re � l�holocauste, c�est que le feu br�lait toute la nuit sur l�autel, et y consumait la victime, dont la bonne odeur montait ainsi jusqu�� Dieu, m�me dans les t�n�bres o� se trouvait l�homme, enseveli dans le sommeil loin de Lui. Je ne doute pas que ceci ne soit vrai pour Isra�l. Dieu a, par devers lui, la bonne odeur du sacrifice de Christ pendant que la nation l�oublie. Quoi qu�il en soit, le jugement de la sainte majest� de Dieu, le feu de l��ternel, maintenant que Christ s�est offert de sa propre volont�, a pour unique effet de faire monter vers Dieu la bonne odeur de ce pr�cieux sacrifice.
Ch. 6 v. 7-11, 17-23 � Le sacrifice pour le p�ch� et l�offrande de g�teau]
Les sacrificateurs mangeaient des autres sacrifices, du sacrifice pour le p�ch� [(6:19)], et de l�offrande du g�teau [(6:9)]. Cette derni�re nous pr�sente, comme figure g�n�rale, la mani�re dont les chr�tiens se nourrissent de la perfection de Christ homme. Dans le sacrifice pour le p�ch�, Christ, et m�me les siens, comme sacrificateurs, par la communion du c�ur et par la sympathie, s�identifient avec le p�ch� d�autrui, ou plut�t avec l��uvre de Christ pour le p�ch�. C�est une �uvre de gr�ce, dans laquelle ils interviennent en portant le p�ch� sur leur c�ur, selon l�efficace du sacrifice de Christ. C�est ainsi qu�ils jouissent de la gr�ce de Christ dans ce sacrifice. Christ entre directement dans cette �uvre de gr�ce pour nous; nous y entrons en gr�ce, dans ce que lui a fait. Toutefois c�est une chose solennelle que de nous occuper du p�ch�, m�me en gr�ce. Nous ne pouvons le faire que dans le caract�re de sacrificateurs, et avec le sentiment de la gravit� du p�ch� mis en regard de l��uvre dont il est l�objet.
Ch. 7 v. 11-21 � Le sacrifice de prosp�rit�
[7:15] Le peuple mangeait des sacrifices de prosp�rit�, qui, bien qu�ils fussent saints, n�exigeaient pas de ceux qui y prenaient part la m�me proximit� de Dieu. C��tait la joie de la communion des fid�les, bas�e sur la r�demption et sur l�acceptation de Christ par Dieu. C�est pourquoi les prescriptions dont ces sacrifices sont l�objet, viennent apr�s celles qui concernent les autres sacrifices, bien que dans l�ordre de ces sacrifices elles pr�c�dent le sacrifice pour le p�ch�. En effet, dans les autres sacrifices, il fallait �tre sacrificateur pour manger de la chair des victimes. Il y a des choses que nous faisons comme sacrificateurs; il en est d�autres que nous faisons comme simples fid�les.