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Bible Commentaries
Colossiens 2

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versets 1-28

[Ce paragraphe et le pr�c�dent ne font qu�un, montrant le t�moignage de la divinit� de J�sus]

Ch. 2 v. 1-12 � Pardon gouvernemental des p�ch�s avec la gu�rison

[2:1] Quelques jours apr�s (chap. 2), il rentre dans la ville, [2:2] et aussit�t la foule se rassemble. Quel tableau vivant de la vie de service du Seigneur ! Il leur pr�che. C��tait l� son but et son service (voy. chap. 1:38). Mais encore en se d�vouant � l�humble accomplissement de la t�che qui Lui est confi�e, son service m�me, son amour � car qui sert comme Dieu quand il daigne le faire ? � font ressortir ses droits divins. Il sait quelle est la vraie source de tous ces maux et peut y apporter le rem�de. [2:5] � Tes p�ch�s �, dit-il au pauvre paralytique qu�on Lui pr�sente [2:4] avec une foi qui ne s�arr�tait pas devant les difficult�s, et pers�v�re malgr� elles � pers�v�rance de la foi qui est aliment�e par le sentiment du besoin et par la certitude que la puissance se trouve en Celui qu�on cherche � � tes p�ch�s sont pardonn�s � (v. 5). [2:9-11] Puis, par sa r�ponse aux raisonnements des scribes, il ferme la bouche � tout contredisant. J�sus exerce la puissance qui l�autorisait � prononcer le pardon du pauvre malade1. [2:7] Les raisonnements des docteurs mettaient en �vidence, comme doctrine, Celui qui �tait l�; comme la sentence des sacrificateurs qui d�clarait le l�preux net [(1:44)], mettait le sceau de leur autorit� sur la v�rit� que J�hovah qui gu�rit Isra�l �tait l� (v. 12). Ce que J�sus poursuit, c�est son service, son t�moignage; et l�effet en est de faire voir que l��ternel est l� et qu�il a visit� son peuple. C��tait le Ps. 103 qui s�accomplissait quant aux droits et quant � la r�v�lation de la personne de Celui qui agissait.

1 Il faut distinguer entre le pardon gouvernemental et le pardon absolu des p�ch�s. Seulement, tel qu�est l�homme, le premier n�aurait pu exister sans le dernier. Mais avant que Christ f�t rejet� et mour�t, cela ne pouvait �tre pleinement manifest�.

Ch. 2 v. 13-28 � Incompatibilit� entre l��nergie divine et les formes du juda�sme

Ch. 2 v. 13-20 � Minist�re de J�sus envers les p�cheurs, l��poux �tant l�

[2:13] J�sus sort de la ville; le peuple se rassemble autour de Lui; et de nouveau il les enseigne (v. 13). [2:14] Il prend occasion de l�appel de L�vi pour donner un nouveau d�veloppement de son minist�re. [2:17] Il �tait venu pour appeler les p�cheurs et non des justes. [2:18] Ensuite, il leur d�clare qu�il ne pouvait pas mettre la nouvelle �nergie divine qui se d�ployait en Lui, dans les vieilles formes du pharisa�sme. [2:19] Et il y avait une autre raison pour cela � la pr�sence de l��poux. Comment les fils de la chambre nuptiale pouvaient-ils je�ner pendant que l��poux �tait avec eux ? L��poux leur sera �t�, et alors ce sera le temps de je�ner (v. 18-20).

Ch. 2 v. 21-22 � L��vangile ne peut se m�ler au juda�sme sans le g�ter

[2:22] Puis J�sus insiste sur l�incompatibilit� des vieux vases juda�ques avec la puissance de l��vangile qui ne ferait que g�ter le juda�sme auquel on voulait l�attacher (v. 21-22). [2:23] Ce qui est arriv� au moment o� les disciples traversaient les champs de bl� confirme cette doctrine.

Ch. 2 v. 23-28 � Les ordonnances ne peuvent limiter la gr�ce et la puissance divines]

[2:25-26] Les ordonnances perdaient leur autorit� en pr�sence du Roi ordonn� de Dieu, rejet� et p�lerin sur la terre. [2:27] De plus, le sabbat � signe de l�alliance entre Dieu et les Juifs � avait �t� fait pour l�homme, et non pas l�homme pour le sabbat; [2:28] ainsi J�sus, le Fils de l�homme, �tait Seigneur du sabbat. [2:25-26] Comme Fils de David rejet�, les ordonnances perdaient leur force, et Lui �taient subordonn�es. [2:28] Comme Fils de l�homme, possesseur (aux yeux de Dieu) de tous les droits que Dieu avait conf�r�s � l�homme, il �tait Seigneur du sabbat [2:27] fait pour l�homme (v. 25-28). En principe, les choses vieilles �taient pass�es [(2 Cor. 5:17)]. Mais ce n��tait pas tout. C��taient, en fait, des choses nouvelles de gr�ce et de puissance qui ne comportaient pas l�ancien ordre de choses. Mais il s�agissait de savoir si Dieu pouvait agir en gr�ce et b�nir en souverainet� au milieu de son peuple � si Dieu devait se soumettre � l�autorit� des hommes se pr�valant de ses ordonnances contre sa bont�; ou, selon sa puissance et son amour, faire du bien, comme �tant au-dessus de tout. L�homme devait-il circonscrire l�op�ration de la bont� de Dieu ? [2:22] Et c��tait elle, en v�rit�, qui �tait le vin nouveau que le Seigneur apportait � l�homme.

Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Mark 2". "Commentaire biblique avancé". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/cba/mark-2.html.
 
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