Ch. 21 v. 1-3 � Difficult�s et ennemis dans le d�sert
[20:28] Maintenant Aaron s�en va aussi. Le service rev�t, � la fin, un autre caract�re : il ne s�agit pas pr�cis�ment de conduire le peuple avec patience � travers le d�sert o� la chair se manifeste; il va rencontrer des ennemis et des difficult�s, car il est pour nous des difficult�s, distinctes de la conduite et de la patience de la vie. [21:1] Les Isra�lites sont aux prises avec les Canan�ens dans le midi, quoiqu�ils ne soient pas encore entr�s dans le pays. Mais le roi des Canan�ens a �t� averti de leur arriv�e par la pr�sence des espions; c��tait encore un des fruits du manque d��nergie, de foi, qui les avait fait envoyer. Combien peu nous gagnons par la prudence de l�incr�dulit� ! Elle donne prise � la puissance et aux attaques de l�ennemi. Toutefois, quoique ces ennemis aient quelques avantages au commencement lorsque Isra�l se laisse attaquer, [21:2] quand le peuple est pr�t � les d�truire � la fa�on de l�interdit, [21:3] Dieu les livre entre ses mains. Prenons note de cela.
Ch. 21 v. 4-9 � Le serpent d�airain, type de Christ
Ch�timent de Dieu contre le peuple qui murmure, par la puissance du serpent
[21:5] Mais le peuple, en proie � la fatigue, murmure encore, [21:4] car en effet le chemin �tait long. [21:3] Ils se battaient contre les Canan�ens, sans poss�der encore le pays, car il n��tait question que de d�truire leur puissance tout en ne poss�dant rien. Ce combat n�avait lieu que pour l�amour de Dieu et pour sa gloire. [21:5] Le peuple parle contre Dieu; [21:6] alors Dieu intervient et lui fait sentir toute la puissance de l�ennemi, du serpent ancien [(Apoc. 20:2)]. [21:9] Christ, fait p�ch� pour nous, est le seul rem�de parfaitement efficace. La seule vue de cette merveille procure la gu�rison, car l�efficace est dans la chose m�me devant Dieu.
Soumission � la mort et regard � J�sus �lev�, seul salut pour nous
Ici il ne s�agit pas de conduire le peuple, mais de r�pondre au jugement de Dieu, soit final, soit comme ch�timent, et � la puissance de l�ennemi contre nous en pr�sence de ce jugement, et m�me comme effet de ce jugement. Dans ce cas, la question est entre nos �mes et Dieu : il s�agit de la mort, ou bien, tout simplement, de la mort de J�sus. Il nous faut nous soumettre � la mort, comme nous trouvant dans une position irr�m�diable, et, nous soumettant � la justice de Dieu, regarder au moyen qu�il a ordonn�, c�est-�-dire � Christ �lev� pour nous [(Jean 3:14-15)].
Ch. 21 v. 10-20 � Rafra�chissement donn� de Dieu, et louange du peuple
[21:10-13] Puis Isra�l passe plus avant; mais il n�est pas encore dans le pays. [21:16] Dieu le soulage et le rafra�chit de sa libre gr�ce, sans qu�il murmure. Il assemble le peuple. [21:17] Isra�l c�l�bre de nouveau, tout pr�s du pays, les puits qui se trouvent dans le d�sert. Ils peuvent dire maintenant eux-m�mes : � Monte, puits � : plus de rocher � frapper, plus de murmures quand on est pr�s du pays ! La question qui se pose n�est plus s�ils vivront � la fin de leur voyage, car il s�agit d��tre sauv�s de la blessure mortelle du serpent. Ils sont gu�ris, ils marchent, ils boivent avec joie et chants de louanges. [21:18] Ils creusent, � car leur activit� se d�ploie quand ils se trouvent en pr�sence de la gr�ce de Dieu � et l�eau monte dans le d�sert.
Ch. 21 v. 21-35 � Destruction et conqu�te de l�Amor�en hostile
[21:22] Nous rencontrons (v. 21) des personnes avec lesquelles nous ne d�sirons pas avoir de conflit, [21:23] mais elles ne veulent pas nous laisser en paix. Notre guerre est avec ceux qui poss�dent notre h�ritage au del� du Jourdain. Si nous sommes attaqu�s, il nous faut nous d�fendre, mais nous ne sommes pas les agresseurs. [21:22] Isra�l d�sire passer en paix � travers le pays des Amor�ens; [21:23] mais ceux-ci ne veulent pas le leur accorder, [21:24] et subissent les cons�quences de la guerre qu�ils ont voulu avoir avec le peuple de Dieu. [21:25] Isra�l prend leurs villes, et commence d�j� de ce c�t� du Jourdain � r�aliser, comme par anticipation, la possession de la promesse.
versets 1-35
Ch. 21 v. 1-3 � Difficult�s et ennemis dans le d�sert
[20:28] Maintenant Aaron s�en va aussi. Le service rev�t, � la fin, un autre caract�re : il ne s�agit pas pr�cis�ment de conduire le peuple avec patience � travers le d�sert o� la chair se manifeste; il va rencontrer des ennemis et des difficult�s, car il est pour nous des difficult�s, distinctes de la conduite et de la patience de la vie. [21:1] Les Isra�lites sont aux prises avec les Canan�ens dans le midi, quoiqu�ils ne soient pas encore entr�s dans le pays. Mais le roi des Canan�ens a �t� averti de leur arriv�e par la pr�sence des espions; c��tait encore un des fruits du manque d��nergie, de foi, qui les avait fait envoyer. Combien peu nous gagnons par la prudence de l�incr�dulit� ! Elle donne prise � la puissance et aux attaques de l�ennemi. Toutefois, quoique ces ennemis aient quelques avantages au commencement lorsque Isra�l se laisse attaquer, [21:2] quand le peuple est pr�t � les d�truire � la fa�on de l�interdit, [21:3] Dieu les livre entre ses mains. Prenons note de cela.
Ch. 21 v. 4-9 � Le serpent d�airain, type de Christ
Ch�timent de Dieu contre le peuple qui murmure, par la puissance du serpent
[21:5] Mais le peuple, en proie � la fatigue, murmure encore, [21:4] car en effet le chemin �tait long. [21:3] Ils se battaient contre les Canan�ens, sans poss�der encore le pays, car il n��tait question que de d�truire leur puissance tout en ne poss�dant rien. Ce combat n�avait lieu que pour l�amour de Dieu et pour sa gloire. [21:5] Le peuple parle contre Dieu; [21:6] alors Dieu intervient et lui fait sentir toute la puissance de l�ennemi, du serpent ancien [(Apoc. 20:2)]. [21:9] Christ, fait p�ch� pour nous, est le seul rem�de parfaitement efficace. La seule vue de cette merveille procure la gu�rison, car l�efficace est dans la chose m�me devant Dieu.
Soumission � la mort et regard � J�sus �lev�, seul salut pour nous
Ici il ne s�agit pas de conduire le peuple, mais de r�pondre au jugement de Dieu, soit final, soit comme ch�timent, et � la puissance de l�ennemi contre nous en pr�sence de ce jugement, et m�me comme effet de ce jugement. Dans ce cas, la question est entre nos �mes et Dieu : il s�agit de la mort, ou bien, tout simplement, de la mort de J�sus. Il nous faut nous soumettre � la mort, comme nous trouvant dans une position irr�m�diable, et, nous soumettant � la justice de Dieu, regarder au moyen qu�il a ordonn�, c�est-�-dire � Christ �lev� pour nous [(Jean 3:14-15)].
Ch. 21 v. 10-20 � Rafra�chissement donn� de Dieu, et louange du peuple
[21:10-13] Puis Isra�l passe plus avant; mais il n�est pas encore dans le pays. [21:16] Dieu le soulage et le rafra�chit de sa libre gr�ce, sans qu�il murmure. Il assemble le peuple. [21:17] Isra�l c�l�bre de nouveau, tout pr�s du pays, les puits qui se trouvent dans le d�sert. Ils peuvent dire maintenant eux-m�mes : � Monte, puits � : plus de rocher � frapper, plus de murmures quand on est pr�s du pays ! La question qui se pose n�est plus s�ils vivront � la fin de leur voyage, car il s�agit d��tre sauv�s de la blessure mortelle du serpent. Ils sont gu�ris, ils marchent, ils boivent avec joie et chants de louanges. [21:18] Ils creusent, � car leur activit� se d�ploie quand ils se trouvent en pr�sence de la gr�ce de Dieu � et l�eau monte dans le d�sert.
Ch. 21 v. 21-35 � Destruction et conqu�te de l�Amor�en hostile
[21:22] Nous rencontrons (v. 21) des personnes avec lesquelles nous ne d�sirons pas avoir de conflit, [21:23] mais elles ne veulent pas nous laisser en paix. Notre guerre est avec ceux qui poss�dent notre h�ritage au del� du Jourdain. Si nous sommes attaqu�s, il nous faut nous d�fendre, mais nous ne sommes pas les agresseurs. [21:22] Isra�l d�sire passer en paix � travers le pays des Amor�ens; [21:23] mais ceux-ci ne veulent pas le leur accorder, [21:24] et subissent les cons�quences de la guerre qu�ils ont voulu avoir avec le peuple de Dieu. [21:25] Isra�l prend leurs villes, et commence d�j� de ce c�t� du Jourdain � r�aliser, comme par anticipation, la possession de la promesse.