Ch. 13 v. 1-4 � Purification pratique des Juifs, en �tant les idoles et les faux proph�tes
Ensuite, au chapitre 13, tout est purifi�; [13:1] la fontaine est ouverte � la maison de David, dont le p�ch� avait ruin� le peuple, sans abroger les droits ou affaiblir la gr�ce de Dieu, et � ceux de J�rusalem, plus que complices des p�ch�s de leurs rois. Ici, c�est une purification pratique avec de l�eau. La foi en Celui qui avait �t� perc� existait d�j�. [13:2] Les idoles et les faux proph�tes, les deux grandes sources des mis�res des Juifs, seraient enti�rement �t�s, [13:3] personne, � pas m�me les propres parents d�un coupable, � ne supporterait ces abominations et ces fausset�s. Christ est la r�gle et le moyen de juger de tout. Tout prend son caract�re moral, d�apr�s les relations des sauv�s avec Lui. Ceci donne lieu � un plein d�veloppement historique de ce qui lui est arriv�, [13:6] comment il a �t� perc�, et les cons�quences en sont d�taill�es � l��gard de J�rusalem, d�Isra�l et du monde.
Ch. 13 v. 5-7 � Position prise par Christ ici-bas dans l�humiliation
Lisez, verset 5 : � Je ne suis pas proph�te; je suis un homme qui laboure la terre; car l�homme (Adam) m�a acquis comme esclave d�s ma jeunesse �. En d�autres termes, Christ prend la position humble de quelqu�un asservi aux cons�quences auxquelles le p�ch� avait r�duit Adam, c�est-�-dire � l��gard de sa position d�homme comme vivant dans ce monde. Le verset 6 tourne nos regards vers ce qui lui est arriv� au milieu des Juifs, o� il a �t� bless� et trait� comme un malfaiteur; ensuite, le vrai caract�re de sa personne et de ses souffrances est r�v�l�. Au verset 7, c�est l��p�e de l��ternel qui se r�veille contre l�homme, qui est son compagnon, son �gal. Ce verset n�exige pas de remarque. Il est touchant de voir comment, lorsque Christ est envisag� dans son humiliation comme homme, il est trait� par l�Esprit comme l��gal de l��ternel dans ses droits; et, Ps. 45, lorsque sur son tr�ne de gloire il est interpell� comme �tant Dieu, les siens sont reconnus comme ses compagnons dans la gloire, ayant part � sa position (Ps. 45:7).
Ch. 13 v. 7-9 � R�sultats de la r�jection de Christ et r�sidu r�tabli comme peuple
[13:7] Le r�sultat de cette r�jection de Christ, centre de l�histoire de l��ternit�, des rapports de l�homme avec Dieu, et la r�v�lation des deux (car l�acte est envisag� en rapport avec l�histoire d�Isra�l), c�est la dispersion des brebis rassembl�es autour du vrai Pasteur : Dieu �tend cependant sa main envers les petits. [13:8] Ensuite, la cons�quence pour Juda, lorsque le fil de son histoire se renouera aux derniers jours, et que les deux tiers seront retranch�s dans toute la terre (comp. pour Isra�l, �z�chiel 20:34-38), [13:9] et le troisi�me, qui est de reste, passera par le creuset, invoquera le nom de l��ternel et sera exauc�. L��ternel abolira le nom de Lo-Ammi, pas mon peuple, en disant : c�est mon peuple; et ils diront : l��ternel est mon Dieu; c�est le r�sultat d�finitif de ses voies avec son peuple, et ici particuli�rement avec Juda, � l��gard duquel il avait �t� dit Lo-Ammi, et dont il reconna�t le r�sidu comme son peuple.
versets 1-9
Ch. 13 v. 1-4 � Purification pratique des Juifs, en �tant les idoles et les faux proph�tes
Ensuite, au chapitre 13, tout est purifi�; [13:1] la fontaine est ouverte � la maison de David, dont le p�ch� avait ruin� le peuple, sans abroger les droits ou affaiblir la gr�ce de Dieu, et � ceux de J�rusalem, plus que complices des p�ch�s de leurs rois. Ici, c�est une purification pratique avec de l�eau. La foi en Celui qui avait �t� perc� existait d�j�. [13:2] Les idoles et les faux proph�tes, les deux grandes sources des mis�res des Juifs, seraient enti�rement �t�s, [13:3] personne, � pas m�me les propres parents d�un coupable, � ne supporterait ces abominations et ces fausset�s. Christ est la r�gle et le moyen de juger de tout. Tout prend son caract�re moral, d�apr�s les relations des sauv�s avec Lui. Ceci donne lieu � un plein d�veloppement historique de ce qui lui est arriv�, [13:6] comment il a �t� perc�, et les cons�quences en sont d�taill�es � l��gard de J�rusalem, d�Isra�l et du monde.
Ch. 13 v. 5-7 � Position prise par Christ ici-bas dans l�humiliation
Lisez, verset 5 : � Je ne suis pas proph�te; je suis un homme qui laboure la terre; car l�homme (Adam) m�a acquis comme esclave d�s ma jeunesse �. En d�autres termes, Christ prend la position humble de quelqu�un asservi aux cons�quences auxquelles le p�ch� avait r�duit Adam, c�est-�-dire � l��gard de sa position d�homme comme vivant dans ce monde. Le verset 6 tourne nos regards vers ce qui lui est arriv� au milieu des Juifs, o� il a �t� bless� et trait� comme un malfaiteur; ensuite, le vrai caract�re de sa personne et de ses souffrances est r�v�l�. Au verset 7, c�est l��p�e de l��ternel qui se r�veille contre l�homme, qui est son compagnon, son �gal. Ce verset n�exige pas de remarque. Il est touchant de voir comment, lorsque Christ est envisag� dans son humiliation comme homme, il est trait� par l�Esprit comme l��gal de l��ternel dans ses droits; et, Ps. 45, lorsque sur son tr�ne de gloire il est interpell� comme �tant Dieu, les siens sont reconnus comme ses compagnons dans la gloire, ayant part � sa position (Ps. 45:7).
Ch. 13 v. 7-9 � R�sultats de la r�jection de Christ et r�sidu r�tabli comme peuple
[13:7] Le r�sultat de cette r�jection de Christ, centre de l�histoire de l��ternit�, des rapports de l�homme avec Dieu, et la r�v�lation des deux (car l�acte est envisag� en rapport avec l�histoire d�Isra�l), c�est la dispersion des brebis rassembl�es autour du vrai Pasteur : Dieu �tend cependant sa main envers les petits. [13:8] Ensuite, la cons�quence pour Juda, lorsque le fil de son histoire se renouera aux derniers jours, et que les deux tiers seront retranch�s dans toute la terre (comp. pour Isra�l, �z�chiel 20:34-38), [13:9] et le troisi�me, qui est de reste, passera par le creuset, invoquera le nom de l��ternel et sera exauc�. L��ternel abolira le nom de Lo-Ammi, pas mon peuple, en disant : c�est mon peuple; et ils diront : l��ternel est mon Dieu; c�est le r�sultat d�finitif de ses voies avec son peuple, et ici particuli�rement avec Juda, � l��gard duquel il avait �t� dit Lo-Ammi, et dont il reconna�t le r�sidu comme son peuple.