Controverse de Dieu avec les Juifs au sujet du rejet de son Fils.
Chapitre 49
v. 1-4. Au chapitre 48:12 Dieu disait: ��coute-moi, Isra�l�. Ici, c�est Isra�l qui dit: ��coutez-moi, �les, et soyez attentives, peuplades lointaines�, � vous les nations. Il fait le tableau de ce qu�il est selon les conseils de Dieu. Il a �t� �appel� d�s le ventre�. S�il s�agit de Christ, vrai Isra�l, Dieu l�a �form� d�s le ventre� (v. 5), mais dans un cas comme dans l�autre Dieu identifie dans ses conseils Isra�l avec Christ. Il s�agit maintenant du peuple. Dieu lui dit: �Tu es mon serviteur, Isra�l, en qui je me glorifierai�. Cette identification d�Isra�l serviteur avec Christ est d�j� not�e en 41:8 et 42:1-9. Mais voici au v. 4 que tous ces conseils sont frustr�s quand para�t le Messie, Christ, le vrai Isra�l, le vrai serviteur. Il est oblig� de dire: �J�ai (durement) travaill� en vain� (nous, chr�tiens, nous sommes exhort�s � ne pas faire comme Isra�l, � ne pas avoir re�u la gr�ce de Dieu en vain, 2 Cor. 6:1). �Toutefois, ajoute-t-il, mon jugement est par devers l��ternel, et mon �uvre par devers mon Dieu�. C�est son Dieu qui l�appr�cie, c�est son Dieu qui juge de son �uvre. Il s�en remet enti�rement, malgr� le n�ant apparent de son effort, � l�appr�ciation de Dieu pour lequel comme serviteur il a entrepris cette �uvre.
v. 5-6. Maintenant l��ternel parle (mais aussi Christ en m�me temps, montrant ainsi que Dieu et Christ serviteur, homme, sont identiques, dans une m�me pens�e). Christ dit: Quoiqu�il n�y ait aucun r�sultat apparent de mon �uvre, l��ternel m�appr�ciera et me glorifiera pour l�avoir faite, ayant eu ma force en Dieu pour la faire. Cela lui suffit pleinement, en dehors de tout r�sultat de son service. Mais l��ternel lui dit: Ton service envers le R�sidu d�Isra�l est peu de chose, �je te donnerai aussi pour �tre une lumi�re des nations, pour �tre mon salut jusqu�au bout de la terre� (v. 6). C�est le minist�re de Paul (Actes 13:47) pour un appel c�leste des nations, mais ce sera aussi pleinement r�alis� sur la terre dans le mill�nium.
v. 7-13. Comme Christ serviteur sera la lumi�re des nations (v. 6), il sera aussi (apr�s avoir �t�, comme homme, m�pris�, abhorr�, apr�s avoir �t� serviteur de ceux qui dominent), secouru de Dieu au jour du salut pour �tre une alliance du peuple et ramener les tribus des bouts de la terre. Ce sera le jour o� l��ternel consolera son peuple (v. 13), car lors de la mission du pr�curseur (40:1), il a refus� d��tre consol�. Cette consolation ne se trouvera pour Isra�l que dans la restauration finale.
v. 14-21. Le Seigneur console Sion et r�pond � son d�couragement en lui montrant que les fils qu�elle a eus lorsqu�elle �tait priv�e d�enfants et que Lui �tait devenu lumi�re des nations lui diront encore: Fais-moi place. Il s�agit ici du caract�re futur qu�auront les nations mill�niales envers Isra�l. Qui avait donc �lev� ces fils quand Sion �tait laiss�e seule?
v. 22-26. Mais ces nations m�mes deviendront, avec leurs rois, les p�res nourriciers du peuple lors de sa r�int�gration dans son pays comme peuple de l��ternel. Isra�l sera enlev� � l�homme fort, (� Satan?) qui s��tait empar� de lui. L��ternel jugera leurs ennemis, et le monde entier saura que le Puissant de Jacob est le Sauveur et le R�dempteur de son peuple, caract�re qu�Il prend dans tous ces chapitres.
versets 1-26
Deuxi�me division � Chapitres 49 � 57
Controverse de Dieu avec les Juifs au sujet du rejet de son Fils.
Chapitre 49
v. 1-4. Au chapitre 48:12 Dieu disait: ��coute-moi, Isra�l�. Ici, c�est Isra�l qui dit: ��coutez-moi, �les, et soyez attentives, peuplades lointaines�, � vous les nations. Il fait le tableau de ce qu�il est selon les conseils de Dieu. Il a �t� �appel� d�s le ventre�. S�il s�agit de Christ, vrai Isra�l, Dieu l�a �form� d�s le ventre� (v. 5), mais dans un cas comme dans l�autre Dieu identifie dans ses conseils Isra�l avec Christ. Il s�agit maintenant du peuple. Dieu lui dit: �Tu es mon serviteur, Isra�l, en qui je me glorifierai�. Cette identification d�Isra�l serviteur avec Christ est d�j� not�e en 41:8 et 42:1-9. Mais voici au v. 4 que tous ces conseils sont frustr�s quand para�t le Messie, Christ, le vrai Isra�l, le vrai serviteur. Il est oblig� de dire: �J�ai (durement) travaill� en vain� (nous, chr�tiens, nous sommes exhort�s � ne pas faire comme Isra�l, � ne pas avoir re�u la gr�ce de Dieu en vain, 2 Cor. 6:1). �Toutefois, ajoute-t-il, mon jugement est par devers l��ternel, et mon �uvre par devers mon Dieu�. C�est son Dieu qui l�appr�cie, c�est son Dieu qui juge de son �uvre. Il s�en remet enti�rement, malgr� le n�ant apparent de son effort, � l�appr�ciation de Dieu pour lequel comme serviteur il a entrepris cette �uvre.
v. 5-6. Maintenant l��ternel parle (mais aussi Christ en m�me temps, montrant ainsi que Dieu et Christ serviteur, homme, sont identiques, dans une m�me pens�e). Christ dit: Quoiqu�il n�y ait aucun r�sultat apparent de mon �uvre, l��ternel m�appr�ciera et me glorifiera pour l�avoir faite, ayant eu ma force en Dieu pour la faire. Cela lui suffit pleinement, en dehors de tout r�sultat de son service. Mais l��ternel lui dit: Ton service envers le R�sidu d�Isra�l est peu de chose, �je te donnerai aussi pour �tre une lumi�re des nations, pour �tre mon salut jusqu�au bout de la terre� (v. 6). C�est le minist�re de Paul (Actes 13:47) pour un appel c�leste des nations, mais ce sera aussi pleinement r�alis� sur la terre dans le mill�nium.
v. 7-13. Comme Christ serviteur sera la lumi�re des nations (v. 6), il sera aussi (apr�s avoir �t�, comme homme, m�pris�, abhorr�, apr�s avoir �t� serviteur de ceux qui dominent), secouru de Dieu au jour du salut pour �tre une alliance du peuple et ramener les tribus des bouts de la terre. Ce sera le jour o� l��ternel consolera son peuple (v. 13), car lors de la mission du pr�curseur (40:1), il a refus� d��tre consol�. Cette consolation ne se trouvera pour Isra�l que dans la restauration finale.
v. 14-21. Le Seigneur console Sion et r�pond � son d�couragement en lui montrant que les fils qu�elle a eus lorsqu�elle �tait priv�e d�enfants et que Lui �tait devenu lumi�re des nations lui diront encore: Fais-moi place. Il s�agit ici du caract�re futur qu�auront les nations mill�niales envers Isra�l. Qui avait donc �lev� ces fils quand Sion �tait laiss�e seule?
v. 22-26. Mais ces nations m�mes deviendront, avec leurs rois, les p�res nourriciers du peuple lors de sa r�int�gration dans son pays comme peuple de l��ternel. Isra�l sera enlev� � l�homme fort, (� Satan?) qui s��tait empar� de lui. L��ternel jugera leurs ennemis, et le monde entier saura que le Puissant de Jacob est le Sauveur et le R�dempteur de son peuple, caract�re qu�Il prend dans tous ces chapitres.