Dans sa r�ponse, Job repousse les insinuations de Bildad et maintient toujours que la majest� m�me de Dieu le rendait incapable, lui pauvre et faible cr�ature, de r�sister � ses coups. C�est l� le grand point de son discours. Il d�montre que, si m�me il le voulait, il ne pourrait, quoique juste, faire valoir sa justice devant Dieu, car ses yeux d�une saintet� infinie ne devaient voir en lui que mis�re et imperfection. Aussi son seul d�sir �tait qu�il y e�t entre eux un Arbitre qui p�t �tablir une juste balance entre Dieu et l�homme. De plus, dans le sentiment de son impuissance pour r�sister � la force accablante qui l�avait �cras�, il exprime de nouveau son d�sir de mourir. Telle para�t �tre la pens�e g�n�rale de la r�ponse de Job � Bildad.
versets 1-35
Chapitres 9 et 10
Dans sa r�ponse, Job repousse les insinuations de Bildad et maintient toujours que la majest� m�me de Dieu le rendait incapable, lui pauvre et faible cr�ature, de r�sister � ses coups. C�est l� le grand point de son discours. Il d�montre que, si m�me il le voulait, il ne pourrait, quoique juste, faire valoir sa justice devant Dieu, car ses yeux d�une saintet� infinie ne devaient voir en lui que mis�re et imperfection. Aussi son seul d�sir �tait qu�il y e�t entre eux un Arbitre qui p�t �tablir une juste balance entre Dieu et l�homme. De plus, dans le sentiment de son impuissance pour r�sister � la force accablante qui l�avait �cras�, il exprime de nouveau son d�sir de mourir. Telle para�t �tre la pens�e g�n�rale de la r�ponse de Job � Bildad.