Lectionary Calendar
Saturday, September 28th, 2024
the Week of Proper 20 / Ordinary 25
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Bible Commentaries
Commentaire biblique intermédiaire Commentaire biblique intermédiaire
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Leviticus 6". "Commentaire biblique intermédiaire". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/cbi/leviticus-6.html.
bibliography-text="Commentaire sur Leviticus 6". "Commentaire biblique intermédiaire". https://beta.studylight.org/
versets 1-30
Chapitres 6:7-23 et 7
La fin du chapitre 6, de m�me que le chapitre 7 tout entier, renferment la loi des diverses offrandes dont nous nous sommes d�j� occup�s. La loi du sacrifice pour le p�ch� et pour le d�lit pr�sente, cependant, quelques points qui m�ritent d�attirer notre attention, avant que nous laissions cette importante section de notre livre.
La saintet� personnelle de Christ n�est pr�sent�e dans aucune des offrandes d�une mani�re plus frappante que dans le sacrifice pour le p�ch�. �Parle � Aaron et � ses fils, en disant: C�est ici la loi du sacrifice pour le p�ch�: au lieu o� l�holocauste sera �gorg�, le sacrifice pour le p�ch� sera �gorg� devant l��ternel: c�est une chose tr�s sainte� Quiconque en touchera la chair sera saint� Tout m�le d�entre les sacrificateurs en mangera: c�est une chose tr�s sainte� (Chap. 6:18-23). De m�me, en parlant de l�offrande de g�teau: �C�est une chose tr�s sainte, comme le sacrifice pour le p�ch� et comme le sacrifice pour le d�lit�. C�est des plus remarquables. Le Saint Esprit n�avait pas besoin, dans l�holocauste, de mettre une telle jalousie � sauvegarder la saintet� de Christ, mais de peur que l��me ne perd�t de vue cette saintet� en contemplant la place que le Seigneur a prise dans le sacrifice pour le p�ch�, les mots, maintes fois r�p�t�s: �C�est une chose tr�s sainte�, sont l� pour nous la rappeler. Il est vraiment �difiant et rafra�chissant de voir la saintet� divine et essentielle de la Personne du Christ briller avec �clat au milieu des profondes et horribles t�n�bres du Calvaire. La m�me id�e se remarque dans �la loi du sacrifice pour le d�lit� (Chap. 7:1, 6). Le Seigneur J�sus ne fut jamais plus visiblement pr�sent� comme �le saint de Dieu�, que lorsqu�il fut �fait p�ch� sur le bois maudit. L�odieux et la noirceur de ce avec quoi il �tait identifi� sur la croix, ne servait qu�� faire ressortir plus clairement qu�il �tait �tr�s saint�. Quoique portant le p�ch�, il �tait sans p�ch�. Quoiqu�endurant la col�re de Dieu, il �tait les d�lices du P�re. Quoique priv� de la clart� de Dieu, il habitait dans le sein du P�re. Pr�cieux myst�re! Qui en sondera les immenses profondeurs? Et que c�est merveilleux de le trouver si exactement figur� dans �la loi du sacrifice pour le p�ch�!
En outre, mes lecteurs doivent chercher � comprendre le sens de l�expression: �Tout m�le d�entre les sacrificateurs en mangera�. L�acte c�r�moniel de manger la victime pour le p�ch�, ou la victime pour le d�lit, �tait l�expression d�une enti�re identification. Mais, pour manger la victime pour le p�ch�, pour faire des p�ch�s d�un autre les siens propres, il fallait un haut degr� d��nergie sacerdotale, comme l�expriment les mots: �Tout m�le d�entre les sacrificateurs�. �L��ternel parla � Aaron: Et moi, voici, je t�ai donn� la charge de mes offrandes �lev�es, de toutes les choses saintes des fils d�Isra�l; je te les ai donn�es, � cause de l�onction, et � tes fils, par statut perp�tuel. Ceci sera � toi des choses tr�s saintes, qui n�ont pas �t� consum�es: toutes leurs offrandes, savoir toutes leurs offrandes de g�teau et tous leurs sacrifices pour le p�ch�, et tous leurs sacrifices pour le d�lit qu�ils m�apporteront; ce sont des choses tr�s saintes pour toi et pour tes fils. Tu les mangeras comme des choses tr�s saintes, tout m�le en mangera: ce sera pour toi une chose sainte. Et ceci sera � toi: les offrandes �lev�es de leurs dons, avec toutes les offrandes tournoy�es des fils d�Isra�l; je te les ai donn�es, et � tes fils et � tes filles avec toi, par statut perp�tuel; quiconque sera pur dans ta maison en mangera� (Nomb. 18:8-11).
Il fallait une plus abondante mesure d��nergie sacerdotale pour manger de la victime pour le p�ch� ou pour le d�lit, que pour avoir part aux offrandes �lev�es et tournoy�es, en don. Les �filles� d�Aaron pouvaient manger de ces derni�res. Les �fils� seuls pouvaient manger des autres. En g�n�ral, le mot �m�le� exprime quelque chose en rapport avec l�id�e divine; le mot �femme�, avec le d�veloppement humain. Le premier pr�sente la chose dans toute sa force; le second, dans son imperfection. Combien peu d�entre nous ont une �nergie sacerdotale suffisante � les rendre capables de s�approprier les p�ch�s et les d�lits d�un autre! Le Seigneur J�sus l�a fait parfaitement. Il s�appropria les p�ch�s de son peuple et en porta la peine sur la croix. Il s�est si compl�tement identifi� avec nous que nous savons, d�une pleine et heureuse certitude, que toute la question du p�ch� et du d�lit a �t� divinement r�solue. Si l�identification de Christ a �t� parfaite, alors la solution a �t� parfaite aussi; et, qu�elle ait �t� parfaite, la sc�ne du Calvaire le proclame. Tout est accompli. Le p�ch�, les d�lits, les exigences de Dieu, les exigences de l�homme, tout a �t� �ternellement r�gl�; et maintenant une paix parfaite est le partage de tous ceux qui, par gr�ce, re�oivent comme v�ritable le t�moignage de Dieu. Il est aussi simple que Dieu pouvait le faire, et l��me qui le croit est rendue heureuse. La paix et le bonheur du croyant d�pendent enti�rement de la perfection du sacrifice de Christ. Il n�est pas question ici de la mani�re dont il le re�oit, de ce qu�il en pense ou de ce qu�il sent � cet �gard. Il s�agit simplement qu�il re�oive, par la foi, le t�moignage de Dieu, rendu � la valeur du sacrifice. B�ni soit le Seigneur pour son chemin de la paix, si simple et si parfait. Puissent beaucoup d��mes troubl�es �tre amen�es � le comprendre, par le Saint Esprit!
Nous terminerons ici nos m�ditations sur l�une des plus riches portions des �critures. Nous n�avons pu y glaner que quelques �pis. C�est � peine si nous avons p�n�tr� sous la surface d�une mine in�puisable. Si, cependant, le lecteur a �t� conduit, pour la premi�re fois, � consid�rer les offrandes comme autant de repr�sentations diverses du grand Sacrifice, et s�il est amen� � se jeter aux pieds du grand Docteur, pour apprendre � conna�tre mieux ces profondeurs vivifiantes, un but aura �t� atteint, pour lequel nous devrons �tre vivement reconnaissants