* L�invasion des Philistins. (1-7) L�holocauste de Sa�l, il est r�primand� par Samuel. (8-14) La politique des Philistins. (15-23) (1-7)
Sa�l r�gna un an, sans que rien de bien particulier ne se produise�; mais la deuxi�me ann�e de son r�gne, les �v�nements mentionn�s dans ce chapitre eurent lieu. Pendant une ann�e le roi d�Isra�l donna aux Philistins le temps de se pr�parer pour la guerre, dans le but d�affaiblir et de d�sarmer les H�breux.
Quand des hommes s�enflent d�orgueil, ils commettent souvent des actes de folie. Les principaux avantages que peut acqu�rir ��l�ennemi��, sur l��glise, d�coulent de la mauvaise conduite de certains de ses membres.
Quand Sa�l se d�cida enfin � sonner l�alerte, le peuple, m�content de la gestion du royaume, ou terrifi� par la puissance de l�ennemi, d�serta rapidement.
1 Samuel 13:8
(8-14)
Sa�l ne se soumit pas � l�ordre express�ment donn� par Samuel, voir 1�Samuel�10:8, donnant les prescriptions � suivre, dans les cas d�extr�me gravit�. Bien qu�il ne soit ni pr�tre ni proph�te, Sa�l offrit lui-m�me l�holocauste, sans la pr�sence de Samuel. Ayant conscience de sa d�sob�issance, il tenta de justifier son acte, sans donner le moindre signe de repentir. Il aurait d� au moins, par prudence, reconna�tre sa d�sob�issance, ce qui aurait �t� une preuve de d�votion. Les hommes d�pourvus de toute pi�t�, font souvent de grands efforts pour simuler une conduite ��pseudo religieuse��. Samuel accusa Sa�l, d�montrant � ce dernier, qu�il courait � sa perte.
Ceux qui d�sob�issent aux commandements de Dieu, compromettent leur destin�e. Le p�ch� n�est que folie, et les plus grands p�cheurs font preuve d�une stupidit� remarquable. Notre disposition pour ob�ir ou d�sob�ir � Dieu, se r�v�lera souvent dans notre comportement vis-�-vis des �v�nements mineurs. Les enfants d�Isra�l ne firent aucune objection contre l�acte de Sa�l�: sa faute, au sujet de l�holocauste semblait b�nigne�; mais Dieu vit que le roi avait commis ce p�ch� en toute incr�dulit�: il a m�pris� la Providence et la Justice divines, �touffant ainsi tout appel de sa conscience.
Oh, merveilleux Sauveur, donne-nous de ne pas ressembler � Sa�l, en t�apportant de piteuses offrandes, sans regarder � Ton Sacrifice, pr�cieux et parfait�! Tu es le Seul, Seigneur, � pouvoir nous procurer la paix, par le sang de la croix�!
1 Samuel 13:15
(15-23)
Remarquez de quelle grande strat�gie les Philistins firent preuve, et de quelle puissance ils disposaient�! Ils ont non seulement emp�ch� le peuple d�Isra�l de se fabriquer des armes de guerre, mais ils l�ont en plus oblig� � d�pendre de ses ennemis, m�me pour avoir de simples outils agricoles. Quelle imprudence, de la part de Sa�l, de ne pas avoir fait le n�cessaire, au d�but de son r�gne, pour pr�venir cette situation�!
Rechercher une tr�ve avec ceux qui nous oppressent, est une preuve de bon sens. Les p�ch�s qui nous semblent les plus anodins, ont souvent des cons�quences f�cheuses. Une nation coupable et vuln�rable, est finalement seule responsable de cet �tat�; il en est de m�me pour ceux qui ne sont pas prot�g�s par ��l�armure divine���: leur situation est catastrophique�!
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur 1 Samuel 13". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/1-samuel-13.html. 1706.
versets 1-23
1 Samuel 13:1
* L�invasion des Philistins. (1-7)
L�holocauste de Sa�l, il est r�primand� par Samuel. (8-14)
La politique des Philistins. (15-23)
(1-7)
Sa�l r�gna un an, sans que rien de bien particulier ne se produise�; mais la deuxi�me ann�e de son r�gne, les �v�nements mentionn�s dans ce chapitre eurent lieu. Pendant une ann�e le roi d�Isra�l donna aux Philistins le temps de se pr�parer pour la guerre, dans le but d�affaiblir et de d�sarmer les H�breux.
Quand des hommes s�enflent d�orgueil, ils commettent souvent des actes de folie. Les principaux avantages que peut acqu�rir ��l�ennemi��, sur l��glise, d�coulent de la mauvaise conduite de certains de ses membres.
Quand Sa�l se d�cida enfin � sonner l�alerte, le peuple, m�content de la gestion du royaume, ou terrifi� par la puissance de l�ennemi, d�serta rapidement.
1 Samuel 13:8
(8-14)
Sa�l ne se soumit pas � l�ordre express�ment donn� par Samuel, voir 1�Samuel�10:8, donnant les prescriptions � suivre, dans les cas d�extr�me gravit�. Bien qu�il ne soit ni pr�tre ni proph�te, Sa�l offrit lui-m�me l�holocauste, sans la pr�sence de Samuel. Ayant conscience de sa d�sob�issance, il tenta de justifier son acte, sans donner le moindre signe de repentir. Il aurait d� au moins, par prudence, reconna�tre sa d�sob�issance, ce qui aurait �t� une preuve de d�votion. Les hommes d�pourvus de toute pi�t�, font souvent de grands efforts pour simuler une conduite ��pseudo religieuse��. Samuel accusa Sa�l, d�montrant � ce dernier, qu�il courait � sa perte.
Ceux qui d�sob�issent aux commandements de Dieu, compromettent leur destin�e. Le p�ch� n�est que folie, et les plus grands p�cheurs font preuve d�une stupidit� remarquable. Notre disposition pour ob�ir ou d�sob�ir � Dieu, se r�v�lera souvent dans notre comportement vis-�-vis des �v�nements mineurs. Les enfants d�Isra�l ne firent aucune objection contre l�acte de Sa�l�: sa faute, au sujet de l�holocauste semblait b�nigne�; mais Dieu vit que le roi avait commis ce p�ch� en toute incr�dulit�: il a m�pris� la Providence et la Justice divines, �touffant ainsi tout appel de sa conscience.
Oh, merveilleux Sauveur, donne-nous de ne pas ressembler � Sa�l, en t�apportant de piteuses offrandes, sans regarder � Ton Sacrifice, pr�cieux et parfait�! Tu es le Seul, Seigneur, � pouvoir nous procurer la paix, par le sang de la croix�!
1 Samuel 13:15
(15-23)
Remarquez de quelle grande strat�gie les Philistins firent preuve, et de quelle puissance ils disposaient�! Ils ont non seulement emp�ch� le peuple d�Isra�l de se fabriquer des armes de guerre, mais ils l�ont en plus oblig� � d�pendre de ses ennemis, m�me pour avoir de simples outils agricoles. Quelle imprudence, de la part de Sa�l, de ne pas avoir fait le n�cessaire, au d�but de son r�gne, pour pr�venir cette situation�!
Rechercher une tr�ve avec ceux qui nous oppressent, est une preuve de bon sens. Les p�ch�s qui nous semblent les plus anodins, ont souvent des cons�quences f�cheuses. Une nation coupable et vuln�rable, est finalement seule responsable de cet �tat�; il en est de m�me pour ceux qui ne sont pas prot�g�s par ��l�armure divine���: leur situation est catastrophique�!