* David se retire dans le pays de Gath. (1-7) David d��oit Akisch. (8-12) (1-7)
L�incr�dulit� est un p�ch� qui nous assaille facilement, m�me ceux qui pratiquent le bien, qu�ils soient en pleine qui�tude ou dans la crainte�; il est parfois difficile de faire face � ce p�ch�. ��Seigneur, affermis notre foi���!
Nous pouvons rougir, en voyant dans ce texte, que la parole d�un Philistin �tait plus repr�sentative que celle d�un Isra�lite, et que la ville de Gath pouvait �tre un refuge pour un homme de bien, � l�inverse des villes d�Isra�l. David s��tablit confortablement, non seulement � une certaine distance de Gath, mais aussi aux confins d�Isra�l, d�o� il pouvait entretenir une certaine correspondance avec ses propres compatriotes.
1 Samuel 27:8
(8-12)
Pendant que David �tait dans le pays des Philistins, il fit quelques incursions dans les nations environnantes d�Isra�l. Les habitants qu�il d�cima �taient depuis longtemps condamn�s � p�rir.
Il est souvent sage de fuir toute pol�mique publique, mais nous ne devons en aucun cas rester passifs. Cherchons syst�matiquement � �uvrer pour la cause divine�!
Ces exp�ditions men�es par David, n��taient pas r�v�l�es au roi d�Akisch. Une telle attitude �quivoque est hypocrite et �quivaut en quelque sorte � un mensonge, tout en �tant assez dangereuse.
Bien que les croyants soient souvent sujets aux manquements, ils ne doivent jamais perdre de vue le service divin, afin de ne pas collaborer aux int�r�ts de l�ennemi, pour devenir finalement des serviteurs du p�ch� et de Satan. Que de probl�mes suivent l�incr�dule�! Quand nous oublions les Mis�ricordes du Seigneur et la protection de Sa Gr�ce, nous risquons d��tre accabl�s par toutes sortes de craintes et de d�couragements, susceptibles de nous faire adopter une certaine conduite d�shonorante, par l�chet�. Rien ne peut nous conduire aussi efficacement que la pratique de la saintet�: elle nous pr�serve, en effet, des situations ambigu�s, nous permettant de tenir ferme et de nous appuyer de mani�re in�branlable sur les promesses divines, en J�sus-Christ.
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Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur 1 Samuel 27". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/1-samuel-27.html. 1706.
versets 1-12
1 Samuel 27:1
* David se retire dans le pays de Gath. (1-7)
David d��oit Akisch. (8-12)
(1-7)
L�incr�dulit� est un p�ch� qui nous assaille facilement, m�me ceux qui pratiquent le bien, qu�ils soient en pleine qui�tude ou dans la crainte�; il est parfois difficile de faire face � ce p�ch�. ��Seigneur, affermis notre foi���!
Nous pouvons rougir, en voyant dans ce texte, que la parole d�un Philistin �tait plus repr�sentative que celle d�un Isra�lite, et que la ville de Gath pouvait �tre un refuge pour un homme de bien, � l�inverse des villes d�Isra�l. David s��tablit confortablement, non seulement � une certaine distance de Gath, mais aussi aux confins d�Isra�l, d�o� il pouvait entretenir une certaine correspondance avec ses propres compatriotes.
1 Samuel 27:8
(8-12)
Pendant que David �tait dans le pays des Philistins, il fit quelques incursions dans les nations environnantes d�Isra�l. Les habitants qu�il d�cima �taient depuis longtemps condamn�s � p�rir.
Il est souvent sage de fuir toute pol�mique publique, mais nous ne devons en aucun cas rester passifs. Cherchons syst�matiquement � �uvrer pour la cause divine�!
Ces exp�ditions men�es par David, n��taient pas r�v�l�es au roi d�Akisch. Une telle attitude �quivoque est hypocrite et �quivaut en quelque sorte � un mensonge, tout en �tant assez dangereuse.
Bien que les croyants soient souvent sujets aux manquements, ils ne doivent jamais perdre de vue le service divin, afin de ne pas collaborer aux int�r�ts de l�ennemi, pour devenir finalement des serviteurs du p�ch� et de Satan. Que de probl�mes suivent l�incr�dule�! Quand nous oublions les Mis�ricordes du Seigneur et la protection de Sa Gr�ce, nous risquons d��tre accabl�s par toutes sortes de craintes et de d�couragements, susceptibles de nous faire adopter une certaine conduite d�shonorante, par l�chet�. Rien ne peut nous conduire aussi efficacement que la pratique de la saintet�: elle nous pr�serve, en effet, des situations ambigu�s, nous permettant de tenir ferme et de nous appuyer de mani�re in�branlable sur les promesses divines, en J�sus-Christ.