* Les fils d�Achab et les fr�res d�Achazia sont mis � mort. (1-14) J�hu an�antit les adorateurs de Baal. (15-28) J�hu ne se d�tourne pas des p�ch�s de J�roboam. (29-36) (1-14)
Lors des circonstances les plus terribles, relatives aux crimes les plus vils de l�homme, la V�rit� et la Justice divines sont mises en �vidence�: Dieu ne peut en effet jamais commettre ni ordonner une action insens�e ou injuste.
J�hu d�truit le reste de la maison d�Achab, tous ceux qui se distinguaient par leur m�chancet�.
Quand nous songeons aux douleurs et aux mis�res de l�humanit�, sachant qu�un jour viendront la r�surrection et le jugement dernier, nous ne pouvons nous emp�cher de penser � tous ces hommes odieux, qui ne peuvent que s�attendre � subir la terrible sentence du feu �ternel�; quand on consid�re tous les meurtres et toute la mis�re ici-bas, cette question solennelle vient alors � l�esprit�: ��quelle est la cause de tout cela���? Le P�CH� est alors la seule r�ponse �vidente.
Sommes-nous capables ��d�h�berger�� le p�ch� en nous-m�mes, seule cause de la mis�re en ce monde, tout en escomptant rechercher simultan�ment le bonheur�?
2 Rois 10:15
(15-28)
��Mon c�ur est-il droit���? C�est une question que nous devrions souvent nous poser. J�exerce une profession honn�te, j�ai acquis une bonne r�putation dans mon entourage... mais, mon c�ur est-il r�ellement droit�? Suis-je sinc�re avec Dieu�?
Jonadab approuvait la position de J�hu, au sujet de l�abolition du culte de Baal. Un c�ur droit est en paix devant Dieu, et ne vise qu�� �tre accept� par ce Dernier�; si nous recherchons avant tout, l�approbation des hommes, nous sommes sur une fausse base.
J�hu avait vraisemblablement l�objectif lointain de purifier le pays. La loi de Dieu �tait cat�gorique�: ces idol�tres devaient �tre mis � mort. C�est ainsi que l�idol�trie fut alors supprim�e en Isra�l, par l�interm�diaire de J�hu.
Puissions-nous chasser toutes les idoles qui tendent � s�enraciner dans notre c�ur�!
2 Rois 10:29
(29-36)
On peut logiquement se demander si J�hu r�gla vraiment sa conduite sur de bons principes, au vu des quelques faux-pas qu�il commit�; quel que soit le ��service�� rendu � Dieu, aucun ne restera sans r�tribution. Une v�ritable conversion ne doit pas �tre engendr�e � la suite d�un grave p�ch�, mais par l�ensemble de toutes nos fautes�; la Parole nous enseigne d�une part, � ne pas glorifier de faux dieux, mais aussi � ne pas sombrer dans de vaines adorations idol�tres. Une v�ritable conversion ne doit pas seulement �tre produite par l�horreur des p�ch�s qui ne conduisent qu�� la ruine, mais aussi par ceux qui ont pu amener illicitement du profit. C�est en abandonnant le lourd fardeau qui nous �crase, que nous pouvons alors vraiment nous approcher de Dieu en toute confiance.
J�hu montra beaucoup de z�le et d�ardeur pour d�raciner la fausse religion qui envahissait le pays d�Isra�l, mais il ne s�inqui�ta pas sp�cialement de savoir s�il accomplissait son devoir et agissait pleinement selon la volont� divine. Ceux qui demeurent dans une certaine insouciance, doivent craindre de ne pas b�n�ficier pleinement de la Gr�ce divine. Le peuple �tait �galement n�gligent�: il ne faut pas s��tonner, en cons�quence, de voir l��ternel envoyer l��preuve en cette p�riode, sur le pays d�Isra�l. Les H�breux n�accomplirent pas pleinement leur devoir envers Dieu, ce Dernier a donc limit� leur essor, leur richesse, et leur puissance.
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Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur 2 Kings 10". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/2-kings-10.html. 1706.
versets 1-36
2 Rois 10:1
* Les fils d�Achab et les fr�res d�Achazia sont mis � mort. (1-14)
J�hu an�antit les adorateurs de Baal. (15-28)
J�hu ne se d�tourne pas des p�ch�s de J�roboam. (29-36)
(1-14)
Lors des circonstances les plus terribles, relatives aux crimes les plus vils de l�homme, la V�rit� et la Justice divines sont mises en �vidence�: Dieu ne peut en effet jamais commettre ni ordonner une action insens�e ou injuste.
J�hu d�truit le reste de la maison d�Achab, tous ceux qui se distinguaient par leur m�chancet�.
Quand nous songeons aux douleurs et aux mis�res de l�humanit�, sachant qu�un jour viendront la r�surrection et le jugement dernier, nous ne pouvons nous emp�cher de penser � tous ces hommes odieux, qui ne peuvent que s�attendre � subir la terrible sentence du feu �ternel�; quand on consid�re tous les meurtres et toute la mis�re ici-bas, cette question solennelle vient alors � l�esprit�: ��quelle est la cause de tout cela���? Le P�CH� est alors la seule r�ponse �vidente.
Sommes-nous capables ��d�h�berger�� le p�ch� en nous-m�mes, seule cause de la mis�re en ce monde, tout en escomptant rechercher simultan�ment le bonheur�?
2 Rois 10:15
(15-28)
��Mon c�ur est-il droit���? C�est une question que nous devrions souvent nous poser. J�exerce une profession honn�te, j�ai acquis une bonne r�putation dans mon entourage... mais, mon c�ur est-il r�ellement droit�? Suis-je sinc�re avec Dieu�?
Jonadab approuvait la position de J�hu, au sujet de l�abolition du culte de Baal. Un c�ur droit est en paix devant Dieu, et ne vise qu�� �tre accept� par ce Dernier�; si nous recherchons avant tout, l�approbation des hommes, nous sommes sur une fausse base.
J�hu avait vraisemblablement l�objectif lointain de purifier le pays. La loi de Dieu �tait cat�gorique�: ces idol�tres devaient �tre mis � mort. C�est ainsi que l�idol�trie fut alors supprim�e en Isra�l, par l�interm�diaire de J�hu.
Puissions-nous chasser toutes les idoles qui tendent � s�enraciner dans notre c�ur�!
2 Rois 10:29
(29-36)
On peut logiquement se demander si J�hu r�gla vraiment sa conduite sur de bons principes, au vu des quelques faux-pas qu�il commit�; quel que soit le ��service�� rendu � Dieu, aucun ne restera sans r�tribution. Une v�ritable conversion ne doit pas �tre engendr�e � la suite d�un grave p�ch�, mais par l�ensemble de toutes nos fautes�; la Parole nous enseigne d�une part, � ne pas glorifier de faux dieux, mais aussi � ne pas sombrer dans de vaines adorations idol�tres. Une v�ritable conversion ne doit pas seulement �tre produite par l�horreur des p�ch�s qui ne conduisent qu�� la ruine, mais aussi par ceux qui ont pu amener illicitement du profit. C�est en abandonnant le lourd fardeau qui nous �crase, que nous pouvons alors vraiment nous approcher de Dieu en toute confiance.
J�hu montra beaucoup de z�le et d�ardeur pour d�raciner la fausse religion qui envahissait le pays d�Isra�l, mais il ne s�inqui�ta pas sp�cialement de savoir s�il accomplissait son devoir et agissait pleinement selon la volont� divine. Ceux qui demeurent dans une certaine insouciance, doivent craindre de ne pas b�n�ficier pleinement de la Gr�ce divine. Le peuple �tait �galement n�gligent�: il ne faut pas s��tonner, en cons�quence, de voir l��ternel envoyer l��preuve en cette p�riode, sur le pays d�Isra�l. Les H�breux n�accomplirent pas pleinement leur devoir envers Dieu, ce Dernier a donc limit� leur essor, leur richesse, et leur puissance.