La parabole de Nathan. David confesse son p�ch�. (1-14) La naissance de Salomon. (15-25) La s�v�rit� de David envers les Ammonites. (26-31) (1-14)
Dieu ne peut pas tol�rer que les Siens perdurent � vivre dans le p�ch�. Par cette parabole, Nathan montra � David, la conduite que ce dernier devait tenir, suite � son crime. Quand on adresse des reproches � quelqu�un, il faut �tre relativement prudent. Nathan resta courtois dans sa d�marche. Il annon�a clairement � David�: ��Tu es cet homme���! Dieu montre bien � quel point Il d�teste le p�ch�, m�me quand il est commis par Son peuple�; quel que soit l�endroit o� Il constate l�iniquit�, Il ne le laisse pas son auteur impuni. David ne dit pas un mot pour tenter de se disculper ni pour faire la lumi�re sur son p�ch�: il accepta le verdict du proph�te. Quand David s�est �cri�: ��J�ai p�ch頻, Nathan comprit que le roi se repentait vraiment, il lui a assur� que son iniquit� �tait pardonn�e par l��ternel et qu�il ne mourrait pas. Il signifiait par l�, qu�il ne mourrait pas pour l��ternit�, ni ne serait �vinc� de la pr�sence divine, comme cela aurait pu �tre le cas si David avait masqu� son p�ch�. Bien que le roi soit ch�ti� par l��ternel, il re�ut la promesse indirecte de ne pas �tre condamn� par le monde. Les p�ch�s de ceux qui professent leur pi�t� et qui t�moignent de leur relation avec le Seigneur, sont gravissimes, car ils fournissent aux ennemis de Dieu et de la religion, un motif de reproche et de blasph�me contre le ciel.
Le cas mentionn� dans ce passage, illustre clairement que malgr� le pardon obtenu par David, l��ternel corrigera de Sa verge Son serviteur, pour l�iniquit� qu�il a commise. Pour un plaisir bien �ph�m�re, suite logique d�une vile convoitise, David dut supporter pendant de nombreuses ann�es, une d�tresse extr�me.
2 Samuel 12:15
(15-25)
David a maintenant r�dig� le cinquante-et-uni�me Psaume�; bien qu�il soit assur� que son p�ch� est pardonn�, il prie avec ferveur, afin d�obtenir la bienveillance divine, en d�plorant manifestement ses actes. Il �tait dispos� � en supporter toute la honte, mais ne voulait plus �tre confront� en permanence � cet affreux souvenir.
Durant l��preuve, Dieu nous donne l�enti�re libert� de formuler des louanges ferventes, relatives � des b�n�dictions sp�cifiques pr�alables, Lui montrant par l�, notre confiance en Sa Puissance et Sa Mis�ricorde, malgr� le fait que nous n�ayons aucune promesse de r�ponse favorable � nos requ�tes �ventuelles.
David, lors de la mort de cet enfant, s�est soumis patiemment � la volont� divine�; Dieu compensa cette perte, par le don de plusieurs naissances ult�rieures. Le fait de voir sa descendance augmenter, procure la joie au c�ur, mais la perte d�un �tre cher, conduit � la soumission � Dieu. Ce Dernier, dans Sa Gr�ce, a particuli�rement veill� au bon d�roulement de la naissance du fils suivant de David, et ordonna qu�on l�appelle Jedidia, ��bien-aim �de l��ternel��. Nos pri�res pour nos enfants, quand certains d�entre eux sont sur le point de ��nous quitter�� dans leur prime jeunesse, sont toujours per�ues par Dieu avec Mis�ricorde�; Il sait prendre soin de telle �mes, et quand de nouvelles naissances surviennent au sein de la famille, Il les appelle�: ��Bien-aim� de l��ternel���?!
2 Samuel 12:26
(26-31)
Lors de ces faits, la conduite de David, si dure avec les fils d�Ammon, �tait un signe r�v�lateur que le c�ur du roi n��tait pas encore remodel� par le repentir.
Nous serons les hommes les plus compatissants, les plus aimables et les plus enclins � pardonner, quand nous serons sur le point de ressentir notre besoin de l�Amour mis�ricordieux du Seigneur, et que nous en aurons go�t� toute la douceur, en nos �mes�!
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur 2 Samuel 12". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/2-samuel-12.html. 1706.
versets 1-31
2 Samuel 12:1
La parabole de Nathan. David confesse son p�ch�. (1-14)
La naissance de Salomon. (15-25)
La s�v�rit� de David envers les Ammonites. (26-31)
(1-14)
Dieu ne peut pas tol�rer que les Siens perdurent � vivre dans le p�ch�. Par cette parabole, Nathan montra � David, la conduite que ce dernier devait tenir, suite � son crime. Quand on adresse des reproches � quelqu�un, il faut �tre relativement prudent. Nathan resta courtois dans sa d�marche. Il annon�a clairement � David�: ��Tu es cet homme���! Dieu montre bien � quel point Il d�teste le p�ch�, m�me quand il est commis par Son peuple�; quel que soit l�endroit o� Il constate l�iniquit�, Il ne le laisse pas son auteur impuni. David ne dit pas un mot pour tenter de se disculper ni pour faire la lumi�re sur son p�ch�: il accepta le verdict du proph�te. Quand David s�est �cri�: ��J�ai p�ch頻, Nathan comprit que le roi se repentait vraiment, il lui a assur� que son iniquit� �tait pardonn�e par l��ternel et qu�il ne mourrait pas. Il signifiait par l�, qu�il ne mourrait pas pour l��ternit�, ni ne serait �vinc� de la pr�sence divine, comme cela aurait pu �tre le cas si David avait masqu� son p�ch�. Bien que le roi soit ch�ti� par l��ternel, il re�ut la promesse indirecte de ne pas �tre condamn� par le monde. Les p�ch�s de ceux qui professent leur pi�t� et qui t�moignent de leur relation avec le Seigneur, sont gravissimes, car ils fournissent aux ennemis de Dieu et de la religion, un motif de reproche et de blasph�me contre le ciel.
Le cas mentionn� dans ce passage, illustre clairement que malgr� le pardon obtenu par David, l��ternel corrigera de Sa verge Son serviteur, pour l�iniquit� qu�il a commise. Pour un plaisir bien �ph�m�re, suite logique d�une vile convoitise, David dut supporter pendant de nombreuses ann�es, une d�tresse extr�me.
2 Samuel 12:15
(15-25)
David a maintenant r�dig� le cinquante-et-uni�me Psaume�; bien qu�il soit assur� que son p�ch� est pardonn�, il prie avec ferveur, afin d�obtenir la bienveillance divine, en d�plorant manifestement ses actes. Il �tait dispos� � en supporter toute la honte, mais ne voulait plus �tre confront� en permanence � cet affreux souvenir.
Durant l��preuve, Dieu nous donne l�enti�re libert� de formuler des louanges ferventes, relatives � des b�n�dictions sp�cifiques pr�alables, Lui montrant par l�, notre confiance en Sa Puissance et Sa Mis�ricorde, malgr� le fait que nous n�ayons aucune promesse de r�ponse favorable � nos requ�tes �ventuelles.
David, lors de la mort de cet enfant, s�est soumis patiemment � la volont� divine�; Dieu compensa cette perte, par le don de plusieurs naissances ult�rieures. Le fait de voir sa descendance augmenter, procure la joie au c�ur, mais la perte d�un �tre cher, conduit � la soumission � Dieu. Ce Dernier, dans Sa Gr�ce, a particuli�rement veill� au bon d�roulement de la naissance du fils suivant de David, et ordonna qu�on l�appelle Jedidia, ��bien-aim �de l��ternel��. Nos pri�res pour nos enfants, quand certains d�entre eux sont sur le point de ��nous quitter�� dans leur prime jeunesse, sont toujours per�ues par Dieu avec Mis�ricorde�; Il sait prendre soin de telle �mes, et quand de nouvelles naissances surviennent au sein de la famille, Il les appelle�: ��Bien-aim� de l��ternel���?!
2 Samuel 12:26
(26-31)
Lors de ces faits, la conduite de David, si dure avec les fils d�Ammon, �tait un signe r�v�lateur que le c�ur du roi n��tait pas encore remodel� par le repentir.
Nous serons les hommes les plus compatissants, les plus aimables et les plus enclins � pardonner, quand nous serons sur le point de ressentir notre besoin de l�Amour mis�ricordieux du Seigneur, et que nous en aurons go�t� toute la douceur, en nos �mes�!