Le mensonge de Tsiba. (1-4) David est maudit par Shimhi. (5-14) Le conseil d�Akhithophel. (15-23) (1-4)
Tsiba trompe Mephibosheth. Les grands responsables devraient toujours se m�fier des flatteurs�: quand une affaire d�licate se pr�sente, ils doivent �tre vigilants, et toujours �couter plusieurs avis diff�rents�!
2 Samuel 16:5
(5-14)
Les jurons lanc�s par Shimhi, � l�encontre de David, �prouvaient beaucoup plus ce dernier, que les flatteries pr�c�dentes de Tsiba�; en effet, le roi �tait ainsi amen� � porter de faux jugements sur les autres, �tant influenc� par les rapports erron�s qu�il avait pr�c�demment re�us�: les ��sourires�� du monde sont parfois plus dangereux que ses ��froncements de sourcils���!
Plus d�une fois, David avait �pargn� la vie de Saul, alors que ce dernier ne cherchait qu�� le tuer. L�innocence est souvent sans d�fense, face � la m�chancet� et au mensonge�; n�est-il pas �trange de se voir attaqu� par ce envers quoi nous avons observ� la plus grande prudence�? Il est bon que les hommes ne soient pas nos juges�: le Seul vraiment habilit�, est Celui dont le jugement est fait selon la V�rit�.
Observez � quel point David �tait patient, malgr� sa confrontation � ces divers abus. Cela nous rappelle en quelque sorte, l�attitude de Christ, lorsqu�Il a pri� pour ceux qui L�ont injuri� et crucifi�!
Une humble personne saura transformer des reproches en r�primande corrective, sachant ainsi en tirer tout le bien possible, au lieu de s�en trouver irrit�.
David discerna en tout cela, la main de Dieu, �tant persuad� que ce Dernier le soulagerait de son affliction. Nous pouvons compter sur l�aide divine, non seulement dans la fatigue occasionn�e par Son service, mais aussi dans la souffrance.
2 Samuel 16:15
(15-23)
Les meilleurs conseillers � la cour de cette �poque �taient Akhithophel et Husha�: Absalom, persuad� du succ�s de son insurrection, se confiait en ces deux hommes�; il comptait enti�rement sur eux, sans se soucier de l�arche, bien qu�elle fut � ses c�t�s. Mais en fait, ces deux conseillers furent de pi�tres auxiliaires�: Husha� �tait incapable de guider le roi avec sagesse, Akhithophel n��tait anim� que par la m�chancet�; finalement, ils trahirent Absalom, en lui donnant un mauvais conseil�: ceux qui entra�nent les hommes � p�cher, les conduisent inexorablement � leur perte. Au vu de ce texte, il s�av�re que l�honn�tet� est la meilleure des politiques, et finira toujours par ressurgir � la longue.
Akhitophel a donn� de mauvais conseils � Absalom�: il fit d�tester ce dernier par son p�re, ne cherchant jamais � r�concilier les deux hommes�: cette politique maudite venait vraiment du diable. Le c�ur humain est d�sesp�r�ment mauvais�!
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Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur 2 Samuel 16". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/2-samuel-16.html. 1706.
versets 1-23
2 Samuel 16:1
Le mensonge de Tsiba. (1-4)
David est maudit par Shimhi. (5-14)
Le conseil d�Akhithophel. (15-23)
(1-4)
Tsiba trompe Mephibosheth. Les grands responsables devraient toujours se m�fier des flatteurs�: quand une affaire d�licate se pr�sente, ils doivent �tre vigilants, et toujours �couter plusieurs avis diff�rents�!
2 Samuel 16:5
(5-14)
Les jurons lanc�s par Shimhi, � l�encontre de David, �prouvaient beaucoup plus ce dernier, que les flatteries pr�c�dentes de Tsiba�; en effet, le roi �tait ainsi amen� � porter de faux jugements sur les autres, �tant influenc� par les rapports erron�s qu�il avait pr�c�demment re�us�: les ��sourires�� du monde sont parfois plus dangereux que ses ��froncements de sourcils���!
Plus d�une fois, David avait �pargn� la vie de Saul, alors que ce dernier ne cherchait qu�� le tuer. L�innocence est souvent sans d�fense, face � la m�chancet� et au mensonge�; n�est-il pas �trange de se voir attaqu� par ce envers quoi nous avons observ� la plus grande prudence�? Il est bon que les hommes ne soient pas nos juges�: le Seul vraiment habilit�, est Celui dont le jugement est fait selon la V�rit�.
Observez � quel point David �tait patient, malgr� sa confrontation � ces divers abus. Cela nous rappelle en quelque sorte, l�attitude de Christ, lorsqu�Il a pri� pour ceux qui L�ont injuri� et crucifi�!
Une humble personne saura transformer des reproches en r�primande corrective, sachant ainsi en tirer tout le bien possible, au lieu de s�en trouver irrit�.
David discerna en tout cela, la main de Dieu, �tant persuad� que ce Dernier le soulagerait de son affliction. Nous pouvons compter sur l�aide divine, non seulement dans la fatigue occasionn�e par Son service, mais aussi dans la souffrance.
2 Samuel 16:15
(15-23)
Les meilleurs conseillers � la cour de cette �poque �taient Akhithophel et Husha�: Absalom, persuad� du succ�s de son insurrection, se confiait en ces deux hommes�; il comptait enti�rement sur eux, sans se soucier de l�arche, bien qu�elle fut � ses c�t�s. Mais en fait, ces deux conseillers furent de pi�tres auxiliaires�: Husha� �tait incapable de guider le roi avec sagesse, Akhithophel n��tait anim� que par la m�chancet�; finalement, ils trahirent Absalom, en lui donnant un mauvais conseil�: ceux qui entra�nent les hommes � p�cher, les conduisent inexorablement � leur perte. Au vu de ce texte, il s�av�re que l�honn�tet� est la meilleure des politiques, et finira toujours par ressurgir � la longue.
Akhitophel a donn� de mauvais conseils � Absalom�: il fit d�tester ce dernier par son p�re, ne cherchant jamais � r�concilier les deux hommes�: cette politique maudite venait vraiment du diable. Le c�ur humain est d�sesp�r�ment mauvais�!