La r�bellion de Sh�ba. (1-3) Amasa est tu� par Joab. (4-13) Sh�ba se r�fugie en Abel. (14-22) Les officiers de David. (23-26) (1-3)
Les �preuves que la Providence divine nous permet d�endurer, surgissent parfois les unes apr�s les autres, pour notre �dification, jusqu�� ce que nous atteignions le point, o� le p�ch� et la douleur seront vaincus. Les personnes belliqueuses comprennent mal ou interpr�tent n�gativement les paroles des autres�; les hommes orgueilleux ne se fient qu�en eux-m�mes, refusant compl�tement toute aide ext�rieure.
Comme nous pouvons le voir dans ce texte, l�opinion du peuple ne doit pas �tre la seule � prendre en compte�; qu�a fait ce dernier, quand Hosanna, le ��Fils de David�� allait �tre sur le point d��tre crucifi�, sinon s��crier�: ��Crucifie-le���!
2 Samuel 20:4
(4-13)
Joab assassina Amasa avec cruaut�. Plus on remarque d�intrigues li�es au p�ch�, plus ce dernier est abominable. Joab sacrifia l�int�r�t du roi et du royaume, au profit de sa vengeance personnelle. On est en droit de se demander, sous quelle apparence un meurtrier peut poursuivre un tra�tre�; comment Joab, anim� d�un si mauvais esprit, a-t-il eu aussi le courage de courir un tel danger�: en fait, sa conscience �tait compl�tement dess�ch�e.
2 Samuel 20:14
(14-22)
Il �tait tout � fait juste d�attaquer cette ville car elle abritait un tra�tre�; tel est le ��prix � payer�� pour un c�ur qui h�berge des convoitises rebelles, et ne poss�de pas Christ, y r�gnant en Ma�tre.
Une femme relativement discr�te, par sa conduite prudente, a d�une part, satisfait Joab, mais aussi, sauv� la ville. La sagesse n��mane pas uniquement de personnes de haut rang, ni de sexe particulier�; elle ne n�cessite pas de connaissances colossales�; par contre, elle dicte comment agir en fonction des al�as qui surgissent, afin de r�soudre en toute s�curit�, les probl�mes qui peuvent r�sulter des �preuves. Beaucoup de sottises pourraient �tre �vit�es si, lors des querelles, les deux parties contestataires pouvaient se comprendre mutuellement. Elles ne devraient pas se quitter avant d�avoir r�gl� leur diff�rend. La paix s�obtient simplement par la ��reddition��, du fautif.
Il en est ainsi dans la d�marche divine, vis-�-vis de l��me en d�tresse, � la recherche du Seigneur�; en fait, le p�ch� est ��le�� tra�tre�; la convoitise, si ch�re, est la source de la r�bellion�: fort de ces faits, rejetons toute forme de transgression, et tout ira pour le mieux. Il n�y a aucun autre moyen d�avoir une paix authentique�!
2 Samuel 20:23
(23-26)
Voici la constitution de la cour de David, apr�s la restauration de ce dernier, sur le tr�ne. Il est bien de voir des hommes capables, charg�s d�assurer les fonctions publiques�; ils doivent s�efforcer de remplir fid�lement ces fonctions, comme de fid�les serviteurs de Christ, le ��Fils de David��.
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Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur 2 Samuel 20". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/2-samuel-20.html. 1706.
versets 1-26
2 Samuel 20:1
La r�bellion de Sh�ba. (1-3)
Amasa est tu� par Joab. (4-13)
Sh�ba se r�fugie en Abel. (14-22)
Les officiers de David. (23-26)
(1-3)
Les �preuves que la Providence divine nous permet d�endurer, surgissent parfois les unes apr�s les autres, pour notre �dification, jusqu�� ce que nous atteignions le point, o� le p�ch� et la douleur seront vaincus. Les personnes belliqueuses comprennent mal ou interpr�tent n�gativement les paroles des autres�; les hommes orgueilleux ne se fient qu�en eux-m�mes, refusant compl�tement toute aide ext�rieure.
Comme nous pouvons le voir dans ce texte, l�opinion du peuple ne doit pas �tre la seule � prendre en compte�; qu�a fait ce dernier, quand Hosanna, le ��Fils de David�� allait �tre sur le point d��tre crucifi�, sinon s��crier�: ��Crucifie-le���!
2 Samuel 20:4
(4-13)
Joab assassina Amasa avec cruaut�. Plus on remarque d�intrigues li�es au p�ch�, plus ce dernier est abominable. Joab sacrifia l�int�r�t du roi et du royaume, au profit de sa vengeance personnelle. On est en droit de se demander, sous quelle apparence un meurtrier peut poursuivre un tra�tre�; comment Joab, anim� d�un si mauvais esprit, a-t-il eu aussi le courage de courir un tel danger�: en fait, sa conscience �tait compl�tement dess�ch�e.
2 Samuel 20:14
(14-22)
Il �tait tout � fait juste d�attaquer cette ville car elle abritait un tra�tre�; tel est le ��prix � payer�� pour un c�ur qui h�berge des convoitises rebelles, et ne poss�de pas Christ, y r�gnant en Ma�tre.
Une femme relativement discr�te, par sa conduite prudente, a d�une part, satisfait Joab, mais aussi, sauv� la ville. La sagesse n��mane pas uniquement de personnes de haut rang, ni de sexe particulier�; elle ne n�cessite pas de connaissances colossales�; par contre, elle dicte comment agir en fonction des al�as qui surgissent, afin de r�soudre en toute s�curit�, les probl�mes qui peuvent r�sulter des �preuves. Beaucoup de sottises pourraient �tre �vit�es si, lors des querelles, les deux parties contestataires pouvaient se comprendre mutuellement. Elles ne devraient pas se quitter avant d�avoir r�gl� leur diff�rend. La paix s�obtient simplement par la ��reddition��, du fautif.
Il en est ainsi dans la d�marche divine, vis-�-vis de l��me en d�tresse, � la recherche du Seigneur�; en fait, le p�ch� est ��le�� tra�tre�; la convoitise, si ch�re, est la source de la r�bellion�: fort de ces faits, rejetons toute forme de transgression, et tout ira pour le mieux. Il n�y a aucun autre moyen d�avoir une paix authentique�!
2 Samuel 20:23
(23-26)
Voici la constitution de la cour de David, apr�s la restauration de ce dernier, sur le tr�ne. Il est bien de voir des hommes capables, charg�s d�assurer les fonctions publiques�; ils doivent s�efforcer de remplir fid�lement ces fonctions, comme de fid�les serviteurs de Christ, le ��Fils de David��.