La d�fense d��tienne. (1-50) �tienne bl�me les Juifs au sujet de la mort de Christ. (51-53) Le martyre d��tienne. (54-60) (1-16)
�tienne �tait accus� d�avoir blasph�m� contre Dieu, et d��tre ainsi un apostat de l��glise�; c�est pour cette raison qu�il annon�a au souverain sacrificateur qu�il �tait v�ritablement un descendant d�Abraham. La lenteur avec laquelle la promesse divine faite � Abraham s�est op�r�e, d�montrait clairement qu�il y avait l� une signification spirituelle, et que le territoire promis � Isra�l �tait aussi, de mani�re imag�e, un Royaume c�leste.
Dieu a prot�g� Joseph lors de ses �preuves, Il �tait avec lui, en Esprit�: Il le soutenait et le r�confortait spirituellement, tout en disposant favorablement � son �gard les responsables �gyptiens qui l�entouraient. �tienne rappela aux Juifs les d�buts h�ro�ques de leur histoire, voulant ainsi les rendre fiers de leur nation. Il leur rappela �galement la m�chancet� des patriarches des tribus d�Isra�l, qui enviaient leur fr�re Joseph�; la m�me jalousie anima �galement la haine du peuple juif contre Christ et Ses disciples. La foi des patriarches, qui d�siraient �tre enterr�s en Canaan, d�montrait qu�ils avaient les yeux tourn�s vers la contr�e c�leste.
Il est bon parfois, de revenir � nos premiers sentiments, pervertis au fil des ann�es. Si nous voulons conna�tre la v�ritable nature et les effets de la foi qui justifie, nous devons �tudier le caract�re du P�re de Celui qui est fid�le. Son appel montre le pouvoir et la gratuit� de la Gr�ce divine, ainsi que la nature de la conversion.
Ce texte nous rappelle aussi que les titres et les distinctions de ce monde ne sont rien, compar�s aux avantages que nous avons, en nous s�parant du monde et en nous consacrant � Dieu�!
Actes 7:17
(17-29)
Ne soyons pas d�courag�s quand l�accomplissement des promesses divines semble tarder. Les temps d��preuve sont souvent synonymes de croissance pour l��glise. Dieu pr�pare la d�livrance de Son peuple, m�me lorsque ce dernier, en pleine d�tresse, traverse les p�riodes les plus sombres.
Mo�se �tait tr�s beau, ��il �tait beau aux yeux de Dieu��, verset 20; il avait la beaut� de la saintet�, ce qui est d�un grand prix pour Dieu. Il fut pr�serv� d�une fa�on merveilleuse pendant son enfance�; Dieu, en effet, prend un soin particulier de ceux qu�Il pr�voit d�utiliser. S�il a ainsi prot�g� l�enfant Mo�se, combien plus devait-Il soutenir les int�r�ts de Son saint enfant, J�sus, devant des ennemis rassembl�s contre Lui�?!
Les Juifs pers�cut�rent �tienne car il prenait la d�fense de Christ et de Son �vangile�: pour contrer ses paroles, ils mentionn�rent Mo�se et sa loi. Ces m�mes Juifs pouvaient encore comprendre, s�ils ne tournaient pas obstin�ment le dos � la Lumi�re, que Dieu, par l�interm�diaire de J�sus, pouvait les d�livrer d�un esclavage bien pire que celui de l��gypte.
Bien que les hommes soient capables d�errer dans leur mis�re spirituelle, le Seigneur prendra cependant toujours soin de Ses serviteurs, en agissant envers eux avec Mis�ricorde�?!
Actes 7:30
(30-41)
Les hommes se trompent, s�ils pensent que Dieu n�est pas capable de faire ce que bon Lui semble, o� Il le d�sire�; Il peut tr�s bien amener Ses serviteurs dans le d�sert, et en cet endroit calme, leur parler sereinement.
L��ternel apparut � Mo�se dans un buisson en feu, cependant, ce dernier ne se consumait pas�; ceci repr�sentait l��tat du peuple d�Isra�l en �gypte�: bien qu�il ait �t� opprim�, dans le ��feu de la d�tresse��, il n�a pas pour autant �t� consum�. Ce fait peut nous rappeler Christ, rev�tant ici-bas la forme humaine et servant par l� d�union entre les hommes et Dieu.
La mort d�Abraham, d�Isaac, et de Jacob, n�allait pas rompre l�alliance entre Dieu et ces patriarches. Notre Sauveur prouve en cela ce qui nous attend, Matthieu�22:31. Abraham est mort, mais il faisait une enti�re confiance � Dieu durant son vivant�; d�sormais, par voie de cons�quence, le patriarche est aupr�s de Lui�! Aujourd�hui, ce sont cette vie et cette immortalit� qui sont amen�es � la lumi�re par l��vangile.
Dans ce texte, �tienne dit que Mo�se �tait une figure �minente de Christ, du fait qu�il �tait le lib�rateur d�Isra�l. Dieu �prouve de la compassion quand Son �glise est pers�cut�e et que Son peuple g�mit�; sa d�livrance d�coule de la Mis�ricorde divine.
Ce type de d�livrance s�est aussi manifest� quand Christ est descendu du ciel pour nous, pour notre salut. Ce J�sus, que les Juifs ont refus�, tout comme leurs p�res � l��gard de Mo�se, �tait Celui que Dieu a envoy�, en tant que Prince et Sauveur.
On n�abaisse pas Mo�se en affirmant qu�il n��tait qu�un ��instrument de Dieu��, et qu�il ait �t� infiniment �clips� par J�sus. En affirmant que ce Dernier devait changer les coutumes de la loi, �tienne �tait donc loin d�outrager Mo�se�: en r�alit� il l�honorait, en exposant comment sa proph�tie relative au futur Sauveur (J�sus) s�est accomplie de fa�on si �vidente. Dieu, qui a donn� la loi au peuple juif, par Son serviteur Mo�se, est capable, sans aucun doute, de ��l�accomplir��, par son Fils J�sus�!
Mais Isra�l a repouss� Mo�se, pr�f�rant revenir � son esclavage en �gypte. En g�n�ral, de la m�me mani�re, les hommes ne veulent pas ob�ir � J�sus, parce qu�ils aiment trop ce pr�sent monde mauvais, se r�jouissant de leurs propres �uvres et divers projets douteux...
Actes 7:42
(42-50)
Dans ce texte, nous voyons, �tienne reprocher aux Juifs l�idol�trie de leurs p�res, ce qui poussa Dieu a les punir. C��tait un honneur pour Dieu, de voir le tabernacle prendre le chemin du temple�; ainsi en est-il aujourd�hui�: le temple terrestre conduit vers l�adoration, vers ��le temple spirituel���; pour finir, ce dernier laissera la place � celui qui sera �ternel.
Le monde entier est en quelque sorte, ��le temple de Dieu��, dans lequel le Seigneur est omnipr�sent, le remplissant de Sa gloire. Ses ouvrages r�v�lent Sa puissance �ternelle et Sa Divinit�. Mais le ciel �tant Son tr�ne et la terre Son marchepied, que pourrions-nous lui offrir qu�Il n�ait d�j�, Il est Celui qui a cr�� toutes choses�?
Le c�ur bris� d�un p�cheur repentant aux pieds de Christ, est ��le temple�� que Dieu pr�f�re le plus�!
Actes 7:51
(51-53)
�tienne continua son t�moignage, semble-t-il, pour bien montrer que le temple et le service de la loi allaient toucher � leur fin, pour faire place � l�adoration du P�re, en Esprit et en v�rit�; il per�ut toutefois que les Juifs n�allaient pas supporter ce genre d�annonce�: il a donc cess� de t�moigner sur ce sujet et pouss� par l�Esprit de sagesse, avec courage et d�termination, il r�primanda avec douceur ses pers�cuteurs.
Quand des arguments clairs et des v�rit�s accablantes provoquent les opposants de l��vangile, on doit leur prouver leur culpabilit� et le danger qu�ils courent. Ces Juifs, comme leurs p�res, �taient t�tus et opini�tres. Il y a toujours dans le c�ur coupable des impies, des �l�ments qui r�sistent au Saint-Esprit, la ��chair�� qui s��l�ve contre l�Esprit, et lutte contre Ses actions divines�; mais dans le c�ur de l��lu de Dieu, r�gne la pl�nitude et ce genre d�opposition spirituelle est vaincue.
Apr�s la mort de Christ, l��vangile �tait d�sormais ��offert��, non par les anges, mais par le Saint-Esprit�; malgr� cela, les Juifs de cette �poque ne l�ont pas re�u, refusant de se soumettre � Dieu, que ce soit et Sa loi et Son �vangile. Leur culpabilit� les piqua � vif et ils cherch�rent � nier ce sentiment en lapidant �tienne, leur d�tracteur, au lieu de pleurer et de supplier Dieu pour obtenir Sa Mis�ricorde.
Actes 7:54
(54-60)
Rien n�est plus r�confortant pour les saints, � l�approche de leur mort, ou au temps de l��preuve, que de ��voir�� J�sus debout, � la droite de Dieu�: b�ni soit-Il, par la foi, nous pouvons Le voir�!
Alors qu�il allait mourir, �tienne fit monter vers Dieu deux courtes pri�res. Notre Seigneur J�sus est v�ritablement Dieu, Celui que nous devons rechercher et en Qui nous devons placer notre confiance�: Il saura nous r�conforter ici-bas, m�me � l�approche de la mort. Si nous nous sommes souci�s en ce monde de rechercher Sa pr�sence, Il saura nous r�conforter, m�me en nos derniers instants sur cette terre.
Dans ce texte, nous voyons, �tienne prier pour ses pers�cuteurs. Bien que leur p�ch� ait �t� tr�s grave et s�ils ont pu le regretter de tout c�ur, Dieu ne devait pas leur imputer cette faute. �tienne est sans doute mort assez rapidement, le texte mentionne sa mort en ces termes�: ��il s�endormit���; il a affront� la mort avec autant de s�r�nit� que s�il allait s�endormir. Il se r�veillera, au matin de la r�surrection, pour �tre re�u en la pr�sence du Seigneur, l� o� se trouve la f�licit�, pour partager �ternellement avec Lui les joies c�lestes�!
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Acts 7". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/acts-7.html. 1706.
versets 1-60
Actes 7:1
La d�fense d��tienne. (1-50)
�tienne bl�me les Juifs au sujet de la mort de Christ. (51-53)
Le martyre d��tienne. (54-60)
(1-16)
�tienne �tait accus� d�avoir blasph�m� contre Dieu, et d��tre ainsi un apostat de l��glise�; c�est pour cette raison qu�il annon�a au souverain sacrificateur qu�il �tait v�ritablement un descendant d�Abraham. La lenteur avec laquelle la promesse divine faite � Abraham s�est op�r�e, d�montrait clairement qu�il y avait l� une signification spirituelle, et que le territoire promis � Isra�l �tait aussi, de mani�re imag�e, un Royaume c�leste.
Dieu a prot�g� Joseph lors de ses �preuves, Il �tait avec lui, en Esprit�: Il le soutenait et le r�confortait spirituellement, tout en disposant favorablement � son �gard les responsables �gyptiens qui l�entouraient. �tienne rappela aux Juifs les d�buts h�ro�ques de leur histoire, voulant ainsi les rendre fiers de leur nation. Il leur rappela �galement la m�chancet� des patriarches des tribus d�Isra�l, qui enviaient leur fr�re Joseph�; la m�me jalousie anima �galement la haine du peuple juif contre Christ et Ses disciples. La foi des patriarches, qui d�siraient �tre enterr�s en Canaan, d�montrait qu�ils avaient les yeux tourn�s vers la contr�e c�leste.
Il est bon parfois, de revenir � nos premiers sentiments, pervertis au fil des ann�es. Si nous voulons conna�tre la v�ritable nature et les effets de la foi qui justifie, nous devons �tudier le caract�re du P�re de Celui qui est fid�le. Son appel montre le pouvoir et la gratuit� de la Gr�ce divine, ainsi que la nature de la conversion.
Ce texte nous rappelle aussi que les titres et les distinctions de ce monde ne sont rien, compar�s aux avantages que nous avons, en nous s�parant du monde et en nous consacrant � Dieu�!
Actes 7:17
(17-29)
Ne soyons pas d�courag�s quand l�accomplissement des promesses divines semble tarder. Les temps d��preuve sont souvent synonymes de croissance pour l��glise. Dieu pr�pare la d�livrance de Son peuple, m�me lorsque ce dernier, en pleine d�tresse, traverse les p�riodes les plus sombres.
Mo�se �tait tr�s beau, ��il �tait beau aux yeux de Dieu��, verset 20; il avait la beaut� de la saintet�, ce qui est d�un grand prix pour Dieu. Il fut pr�serv� d�une fa�on merveilleuse pendant son enfance�; Dieu, en effet, prend un soin particulier de ceux qu�Il pr�voit d�utiliser. S�il a ainsi prot�g� l�enfant Mo�se, combien plus devait-Il soutenir les int�r�ts de Son saint enfant, J�sus, devant des ennemis rassembl�s contre Lui�?!
Les Juifs pers�cut�rent �tienne car il prenait la d�fense de Christ et de Son �vangile�: pour contrer ses paroles, ils mentionn�rent Mo�se et sa loi. Ces m�mes Juifs pouvaient encore comprendre, s�ils ne tournaient pas obstin�ment le dos � la Lumi�re, que Dieu, par l�interm�diaire de J�sus, pouvait les d�livrer d�un esclavage bien pire que celui de l��gypte.
Bien que les hommes soient capables d�errer dans leur mis�re spirituelle, le Seigneur prendra cependant toujours soin de Ses serviteurs, en agissant envers eux avec Mis�ricorde�?!
Actes 7:30
(30-41)
Les hommes se trompent, s�ils pensent que Dieu n�est pas capable de faire ce que bon Lui semble, o� Il le d�sire�; Il peut tr�s bien amener Ses serviteurs dans le d�sert, et en cet endroit calme, leur parler sereinement.
L��ternel apparut � Mo�se dans un buisson en feu, cependant, ce dernier ne se consumait pas�; ceci repr�sentait l��tat du peuple d�Isra�l en �gypte�: bien qu�il ait �t� opprim�, dans le ��feu de la d�tresse��, il n�a pas pour autant �t� consum�. Ce fait peut nous rappeler Christ, rev�tant ici-bas la forme humaine et servant par l� d�union entre les hommes et Dieu.
La mort d�Abraham, d�Isaac, et de Jacob, n�allait pas rompre l�alliance entre Dieu et ces patriarches. Notre Sauveur prouve en cela ce qui nous attend, Matthieu�22:31. Abraham est mort, mais il faisait une enti�re confiance � Dieu durant son vivant�; d�sormais, par voie de cons�quence, le patriarche est aupr�s de Lui�! Aujourd�hui, ce sont cette vie et cette immortalit� qui sont amen�es � la lumi�re par l��vangile.
Dans ce texte, �tienne dit que Mo�se �tait une figure �minente de Christ, du fait qu�il �tait le lib�rateur d�Isra�l. Dieu �prouve de la compassion quand Son �glise est pers�cut�e et que Son peuple g�mit�; sa d�livrance d�coule de la Mis�ricorde divine.
Ce type de d�livrance s�est aussi manifest� quand Christ est descendu du ciel pour nous, pour notre salut. Ce J�sus, que les Juifs ont refus�, tout comme leurs p�res � l��gard de Mo�se, �tait Celui que Dieu a envoy�, en tant que Prince et Sauveur.
On n�abaisse pas Mo�se en affirmant qu�il n��tait qu�un ��instrument de Dieu��, et qu�il ait �t� infiniment �clips� par J�sus. En affirmant que ce Dernier devait changer les coutumes de la loi, �tienne �tait donc loin d�outrager Mo�se�: en r�alit� il l�honorait, en exposant comment sa proph�tie relative au futur Sauveur (J�sus) s�est accomplie de fa�on si �vidente. Dieu, qui a donn� la loi au peuple juif, par Son serviteur Mo�se, est capable, sans aucun doute, de ��l�accomplir��, par son Fils J�sus�!
Mais Isra�l a repouss� Mo�se, pr�f�rant revenir � son esclavage en �gypte. En g�n�ral, de la m�me mani�re, les hommes ne veulent pas ob�ir � J�sus, parce qu�ils aiment trop ce pr�sent monde mauvais, se r�jouissant de leurs propres �uvres et divers projets douteux...
Actes 7:42
(42-50)
Dans ce texte, nous voyons, �tienne reprocher aux Juifs l�idol�trie de leurs p�res, ce qui poussa Dieu a les punir. C��tait un honneur pour Dieu, de voir le tabernacle prendre le chemin du temple�; ainsi en est-il aujourd�hui�: le temple terrestre conduit vers l�adoration, vers ��le temple spirituel���; pour finir, ce dernier laissera la place � celui qui sera �ternel.
Le monde entier est en quelque sorte, ��le temple de Dieu��, dans lequel le Seigneur est omnipr�sent, le remplissant de Sa gloire. Ses ouvrages r�v�lent Sa puissance �ternelle et Sa Divinit�. Mais le ciel �tant Son tr�ne et la terre Son marchepied, que pourrions-nous lui offrir qu�Il n�ait d�j�, Il est Celui qui a cr�� toutes choses�?
Le c�ur bris� d�un p�cheur repentant aux pieds de Christ, est ��le temple�� que Dieu pr�f�re le plus�!
Actes 7:51
(51-53)
�tienne continua son t�moignage, semble-t-il, pour bien montrer que le temple et le service de la loi allaient toucher � leur fin, pour faire place � l�adoration du P�re, en Esprit et en v�rit�; il per�ut toutefois que les Juifs n�allaient pas supporter ce genre d�annonce�: il a donc cess� de t�moigner sur ce sujet et pouss� par l�Esprit de sagesse, avec courage et d�termination, il r�primanda avec douceur ses pers�cuteurs.
Quand des arguments clairs et des v�rit�s accablantes provoquent les opposants de l��vangile, on doit leur prouver leur culpabilit� et le danger qu�ils courent. Ces Juifs, comme leurs p�res, �taient t�tus et opini�tres. Il y a toujours dans le c�ur coupable des impies, des �l�ments qui r�sistent au Saint-Esprit, la ��chair�� qui s��l�ve contre l�Esprit, et lutte contre Ses actions divines�; mais dans le c�ur de l��lu de Dieu, r�gne la pl�nitude et ce genre d�opposition spirituelle est vaincue.
Apr�s la mort de Christ, l��vangile �tait d�sormais ��offert��, non par les anges, mais par le Saint-Esprit�; malgr� cela, les Juifs de cette �poque ne l�ont pas re�u, refusant de se soumettre � Dieu, que ce soit et Sa loi et Son �vangile. Leur culpabilit� les piqua � vif et ils cherch�rent � nier ce sentiment en lapidant �tienne, leur d�tracteur, au lieu de pleurer et de supplier Dieu pour obtenir Sa Mis�ricorde.
Actes 7:54
(54-60)
Rien n�est plus r�confortant pour les saints, � l�approche de leur mort, ou au temps de l��preuve, que de ��voir�� J�sus debout, � la droite de Dieu�: b�ni soit-Il, par la foi, nous pouvons Le voir�!
Alors qu�il allait mourir, �tienne fit monter vers Dieu deux courtes pri�res. Notre Seigneur J�sus est v�ritablement Dieu, Celui que nous devons rechercher et en Qui nous devons placer notre confiance�: Il saura nous r�conforter ici-bas, m�me � l�approche de la mort. Si nous nous sommes souci�s en ce monde de rechercher Sa pr�sence, Il saura nous r�conforter, m�me en nos derniers instants sur cette terre.
Dans ce texte, nous voyons, �tienne prier pour ses pers�cuteurs. Bien que leur p�ch� ait �t� tr�s grave et s�ils ont pu le regretter de tout c�ur, Dieu ne devait pas leur imputer cette faute. �tienne est sans doute mort assez rapidement, le texte mentionne sa mort en ces termes�: ��il s�endormit���; il a affront� la mort avec autant de s�r�nit� que s�il allait s�endormir. Il se r�veillera, au matin de la r�surrection, pour �tre re�u en la pr�sence du Seigneur, l� o� se trouve la f�licit�, pour partager �ternellement avec Lui les joies c�lestes�!