Les Isra�lites doivent se s�parer des autres nations. (1-21) Le respect de la loi sur la d�me. (22-29) (1-21)
Mo�se annonce aux enfants d�Isra�l les privil�ges que Dieu leur a donn�s�: ces derniers, en effet, sont un honneur et une image des b�n�dictions c�lestes, que Dieu accordera � ceux qui seront sauv�s en Christ. Tous ces privil�ges r�sultent d�une �lection�: ��L��ternel, ton Dieu, t�a choisi��. Dieu n�a pas choisi Isra�l � cause de ses m�rites, ni pour qu�il domine les autres nations, mais uniquement par pure gr�ce�; les croyants sont �galement �lus, �ph�siens�1:4.
Nous voyons dans ce texte, qu�il s�agit d�une adoption�: ��vous �tes les enfants de l��ternel, votre Dieu��. Non pas que Dieu ait ressenti le besoin d�avoir des enfants, mais Il voyait en Isra�l, un peuple orphelin, qui avait besoin d�un P�re.
Chaque enfant de Dieu est en quelque sorte un ��Isra�lite spirituel��, il est � m�me de partager les bienfaits et les faveurs de son P�re c�leste.
La sanctification est aussi mentionn�e dans ce texte�: ��car tu es un peuple saint pour l��ternel, ton Dieu��. Isra�l devait tendre vers la saintet� et en tant que peuple p�cheur, il �tait vraiment indigne de la gr�ce divine. Ceux que Dieu choisit pour devenir Ses enfants, essaient, gr�ce � Sa main b�nissante, de gravir les �tapes de la sanctification, dans le but de devenir des serviteurs, z�l�s pour les bonnes �uvres. Ces croyants doivent soigneusement �viter toutes les occasions n�fastes qui pourraient les faire d�vier de leur minist�re, en devenant ainsi de tristes exemples aux yeux de ceux qui m�prisent leur engagement spirituel.
Notre p�re c�leste ne d�sire rien d�autre que notre bien-�tre spirituel. Ne cherchons donc pas ce qui pourrait nous nuire, ruiner notre sant�, entacher notre r�putation, notre joie et la paix de notre �me�: ne devenons pas les vils esclaves de nos convoitises et de nos passions�!
Veillons � avoir un bon t�moignage�; tendons � faire le bien et � nous rendre utiles vis-�-vis des autres. La conduite qui s�appuie sur les principes de la chair, est vaine. Cherchons plut�t � nous �loigner de tout ce qui touche � l�idol�trie, dans notre entourage. Il est clair qu�aujourd�hui, au temps de l��vangile, les lois que l�on trouve dans ce texte sont toujours valables. Posons-nous la question�: ��sommes-nous vraiment enfants de Dieu�? Sommes-nous s�par�s des choses vaines du monde, pour nous consacrer � la gloire de Dieu et de J�sus-Christ, Celui qui nous a sauv�s�? Accomplissons-nous les �uvres que le Saint-Esprit nous incite � faire�? Seigneur, enseigne-nous Tes pr�ceptes et montre-nous comment ils pourront nous conduire vers la puret� et la saintet頻�!
Deut�ronome 14:22
(22-29)
Ce texte traite de la d�me sur tous les produits des champs. Les directives donn�es ici vont � l�encontre de la cupidit�, du manque de confiance envers Dieu et de l��go�sme du c�ur humain. Elles instaurent les principes de partage, de lib�ralit� et de joie ainsi que le soutien du pauvre. Il nous est dit �galement qu�il fallait se r�jouir en famille, lors du partage de ces revenus avec les plus d�munis.
Si nous servons le Seigneur dans un tel esprit et si nous pratiquons le bien, avec ce dont nous disposons, il nous est promis que nous serons b�nis dans tous nos revenus ici-bas. Nous conna�trons la b�n�diction divine et la prosp�rit�; hors de ce contexte, toutes nos tentatives seront vaines.
La b�n�diction divine ne s�exerce que sur ceux qui travaillent courageusement. Ne comptons pas que Dieu nous aide si nous vivons dans l�oisivet� et la paresse. La croissance ne viendra que si nous sommes d�cid�s � travailler. Soyons aussi actifs dans l�exercice de la pi�t� et des bonnes �uvres, nous conna�trons alors la voie de la prosp�rit�!
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Deuteronomy 14". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/deuteronomy-14.html. 1706.
versets 1-29
Deut�ronome 14:1
Les Isra�lites doivent se s�parer des autres nations. (1-21)
Le respect de la loi sur la d�me. (22-29)
(1-21)
Mo�se annonce aux enfants d�Isra�l les privil�ges que Dieu leur a donn�s�: ces derniers, en effet, sont un honneur et une image des b�n�dictions c�lestes, que Dieu accordera � ceux qui seront sauv�s en Christ. Tous ces privil�ges r�sultent d�une �lection�: ��L��ternel, ton Dieu, t�a choisi��. Dieu n�a pas choisi Isra�l � cause de ses m�rites, ni pour qu�il domine les autres nations, mais uniquement par pure gr�ce�; les croyants sont �galement �lus, �ph�siens�1:4.
Nous voyons dans ce texte, qu�il s�agit d�une adoption�: ��vous �tes les enfants de l��ternel, votre Dieu��. Non pas que Dieu ait ressenti le besoin d�avoir des enfants, mais Il voyait en Isra�l, un peuple orphelin, qui avait besoin d�un P�re.
Chaque enfant de Dieu est en quelque sorte un ��Isra�lite spirituel��, il est � m�me de partager les bienfaits et les faveurs de son P�re c�leste.
La sanctification est aussi mentionn�e dans ce texte�: ��car tu es un peuple saint pour l��ternel, ton Dieu��. Isra�l devait tendre vers la saintet� et en tant que peuple p�cheur, il �tait vraiment indigne de la gr�ce divine. Ceux que Dieu choisit pour devenir Ses enfants, essaient, gr�ce � Sa main b�nissante, de gravir les �tapes de la sanctification, dans le but de devenir des serviteurs, z�l�s pour les bonnes �uvres. Ces croyants doivent soigneusement �viter toutes les occasions n�fastes qui pourraient les faire d�vier de leur minist�re, en devenant ainsi de tristes exemples aux yeux de ceux qui m�prisent leur engagement spirituel.
Notre p�re c�leste ne d�sire rien d�autre que notre bien-�tre spirituel. Ne cherchons donc pas ce qui pourrait nous nuire, ruiner notre sant�, entacher notre r�putation, notre joie et la paix de notre �me�: ne devenons pas les vils esclaves de nos convoitises et de nos passions�!
Veillons � avoir un bon t�moignage�; tendons � faire le bien et � nous rendre utiles vis-�-vis des autres. La conduite qui s�appuie sur les principes de la chair, est vaine. Cherchons plut�t � nous �loigner de tout ce qui touche � l�idol�trie, dans notre entourage. Il est clair qu�aujourd�hui, au temps de l��vangile, les lois que l�on trouve dans ce texte sont toujours valables. Posons-nous la question�: ��sommes-nous vraiment enfants de Dieu�? Sommes-nous s�par�s des choses vaines du monde, pour nous consacrer � la gloire de Dieu et de J�sus-Christ, Celui qui nous a sauv�s�? Accomplissons-nous les �uvres que le Saint-Esprit nous incite � faire�? Seigneur, enseigne-nous Tes pr�ceptes et montre-nous comment ils pourront nous conduire vers la puret� et la saintet頻�!
Deut�ronome 14:22
(22-29)
Ce texte traite de la d�me sur tous les produits des champs. Les directives donn�es ici vont � l�encontre de la cupidit�, du manque de confiance envers Dieu et de l��go�sme du c�ur humain. Elles instaurent les principes de partage, de lib�ralit� et de joie ainsi que le soutien du pauvre. Il nous est dit �galement qu�il fallait se r�jouir en famille, lors du partage de ces revenus avec les plus d�munis.
Si nous servons le Seigneur dans un tel esprit et si nous pratiquons le bien, avec ce dont nous disposons, il nous est promis que nous serons b�nis dans tous nos revenus ici-bas. Nous conna�trons la b�n�diction divine et la prosp�rit�; hors de ce contexte, toutes nos tentatives seront vaines.
La b�n�diction divine ne s�exerce que sur ceux qui travaillent courageusement. Ne comptons pas que Dieu nous aide si nous vivons dans l�oisivet� et la paresse. La croissance ne viendra que si nous sommes d�cid�s � travailler. Soyons aussi actifs dans l�exercice de la pi�t� et des bonnes �uvres, nous conna�trons alors la voie de la prosp�rit�!