J�thro, accompagn� de la femme et des deux fils de Mo�se, rencontre ce dernier. (1-6) Mo�se partage un repas avec J�thro. (7-12) J�thro conseille Mo�se. (13-27) (1-6)
J�thro, accompagn� de la femme et des enfants de Mo�se, rencontre ce dernier et partage sa joie, concernant les derni�res nouvelles du peuple d�Isra�l. Mo�se devait garder sa famille � ses c�t�s, en vue d��tre un bon exemple aux yeux du peuple, quant � la conduite de sa maison, 1�Timoth�e�3:5.
Exode 18:7
(7-12)
Les conversations relatant les merveilles divines sont toujours bonnes et �difiantes. J�thro ne s�est pas r�joui uniquement de l�honneur acquis par son gendre, mais aussi de toutes les bont�s que Dieu a accord�es au peuple d�Isra�l. Les t�moins de ces faveurs divines �taient plus touch�s que les H�breux eux-m�mes, pourtant b�n�ficiaires directs. J�thro rendit gloire au Dieu d�Isra�l. Quelle que soit la joie qui nous anime, Dieu doit �tre le premier objet de notre louange.
Les deux patriarches offrirent conjointement un sacrifice de reconnaissance. L�amiti� mutuelle est sanctifi�e par l�adoration commune. Il est vraiment profitable � ceux qui entretiennent des relations amicales, de se r�unir sous le regard de Christ, afin d�offrir un sacrifice spirituel, de pri�re et de louange. Dans ce texte, le festin en question �tait relativement modeste�: ils consomm�rent du pain et de la manne. J�thro devait go�ter � ce pain descendant du ciel�; en tant que ��gentil��, il �tait le bienvenu � ce repas�: les ��gentils�� sont �galement les bienvenus en Christ, le pain de vie.
Exode 18:13
(13-27)
Nous voyons ici tout le z�le et le dur labeur qu�avait Mo�se, dans son r�le de magistrat. Ayant fait sortir Isra�l de la maison de servitude, il est en quelque sorte, une image de Christ�: il l�gif�rait et r�glait, en tant que juge, les affaires du peuple. Si parmi les enfants d�Isra�l, certains se querellaient, malgr� le fait qu�ils �taient directement sous le regard de Dieu, il ne fait aucun doute que l�affaire finissait par remonter jusqu�� Mo�se, qui r�glait le diff�rend, ne faisant en cela, que remplir le r�le pour lequel il avait �t� appel�. Il appara�t qu�il assumait soigneusement cette t�che, avec z�le. M�me le plus mis�rable des isra�lites �tait accueilli favorablement, afin de pouvoir plaider sa cause devant le patriarche. Ce dernier s�adonnait � cette t�che du matin jusqu�au soir. En cons�quence, J�thro pensait que c��tait trop de travail sur les �paules d�un seul homme. Mo�se devait aussi r�gler aupr�s du peuple, les affaires de justice les plus ennuyeuses.
M�me dans l�exercice du bien, on assume parfois trop de travail�! Il est bon de faire preuve de sagesse lorsqu�on dirige des affaires, de fa�on � exercer au moins ce que nous dicte notre devoir, sans aller au-del� de nos forces. C�est pourquoi J�thro sugg�ra � Mo�se une meilleure strat�gie.
Les grands responsables ne doivent pas uniquement �tre attentifs � accomplir leurs t�ches, ils doivent aussi savoir les d�l�guer aux autres, pour valoriser ces derniers. Un grand soin doit �tre pris, dans le choix de telles personnes. Elles doivent faire preuve de bon sens, �tre aptes � comprendre les diff�rentes affaires, �tre non sujettes � mauvaise r�putation, ni � la corruption. Il en va de m�me pour les hommes qui veulent exercer la pi�t� et le minist�re religieux�; ils doivent craindre Dieu, accomplir leur devoir aux yeux de tous, sans cacher quoi que ce soit. La crainte de Dieu fortifiera l�homme soumis � la tentation, � l�injustice. Mo�se n�a pas d�daign� le conseil de son beau-p�re. Il n�y a que les insens�s qui refusent constamment de suivre le conseil des autres�!
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Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Exodus 18". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/exodus-18.html. 1706.
versets 1-27
Exode 18:1
J�thro, accompagn� de la femme et des deux fils de Mo�se, rencontre ce dernier. (1-6)
Mo�se partage un repas avec J�thro. (7-12)
J�thro conseille Mo�se. (13-27)
(1-6)
J�thro, accompagn� de la femme et des enfants de Mo�se, rencontre ce dernier et partage sa joie, concernant les derni�res nouvelles du peuple d�Isra�l. Mo�se devait garder sa famille � ses c�t�s, en vue d��tre un bon exemple aux yeux du peuple, quant � la conduite de sa maison, 1�Timoth�e�3:5.
Exode 18:7
(7-12)
Les conversations relatant les merveilles divines sont toujours bonnes et �difiantes. J�thro ne s�est pas r�joui uniquement de l�honneur acquis par son gendre, mais aussi de toutes les bont�s que Dieu a accord�es au peuple d�Isra�l. Les t�moins de ces faveurs divines �taient plus touch�s que les H�breux eux-m�mes, pourtant b�n�ficiaires directs. J�thro rendit gloire au Dieu d�Isra�l. Quelle que soit la joie qui nous anime, Dieu doit �tre le premier objet de notre louange.
Les deux patriarches offrirent conjointement un sacrifice de reconnaissance. L�amiti� mutuelle est sanctifi�e par l�adoration commune. Il est vraiment profitable � ceux qui entretiennent des relations amicales, de se r�unir sous le regard de Christ, afin d�offrir un sacrifice spirituel, de pri�re et de louange. Dans ce texte, le festin en question �tait relativement modeste�: ils consomm�rent du pain et de la manne. J�thro devait go�ter � ce pain descendant du ciel�; en tant que ��gentil��, il �tait le bienvenu � ce repas�: les ��gentils�� sont �galement les bienvenus en Christ, le pain de vie.
Exode 18:13
(13-27)
Nous voyons ici tout le z�le et le dur labeur qu�avait Mo�se, dans son r�le de magistrat. Ayant fait sortir Isra�l de la maison de servitude, il est en quelque sorte, une image de Christ�: il l�gif�rait et r�glait, en tant que juge, les affaires du peuple. Si parmi les enfants d�Isra�l, certains se querellaient, malgr� le fait qu�ils �taient directement sous le regard de Dieu, il ne fait aucun doute que l�affaire finissait par remonter jusqu�� Mo�se, qui r�glait le diff�rend, ne faisant en cela, que remplir le r�le pour lequel il avait �t� appel�. Il appara�t qu�il assumait soigneusement cette t�che, avec z�le. M�me le plus mis�rable des isra�lites �tait accueilli favorablement, afin de pouvoir plaider sa cause devant le patriarche. Ce dernier s�adonnait � cette t�che du matin jusqu�au soir. En cons�quence, J�thro pensait que c��tait trop de travail sur les �paules d�un seul homme. Mo�se devait aussi r�gler aupr�s du peuple, les affaires de justice les plus ennuyeuses.
M�me dans l�exercice du bien, on assume parfois trop de travail�! Il est bon de faire preuve de sagesse lorsqu�on dirige des affaires, de fa�on � exercer au moins ce que nous dicte notre devoir, sans aller au-del� de nos forces. C�est pourquoi J�thro sugg�ra � Mo�se une meilleure strat�gie.
Les grands responsables ne doivent pas uniquement �tre attentifs � accomplir leurs t�ches, ils doivent aussi savoir les d�l�guer aux autres, pour valoriser ces derniers. Un grand soin doit �tre pris, dans le choix de telles personnes. Elles doivent faire preuve de bon sens, �tre aptes � comprendre les diff�rentes affaires, �tre non sujettes � mauvaise r�putation, ni � la corruption. Il en va de m�me pour les hommes qui veulent exercer la pi�t� et le minist�re religieux�; ils doivent craindre Dieu, accomplir leur devoir aux yeux de tous, sans cacher quoi que ce soit. La crainte de Dieu fortifiera l�homme soumis � la tentation, � l�injustice. Mo�se n�a pas d�daign� le conseil de son beau-p�re. Il n�y a que les insens�s qui refusent constamment de suivre le conseil des autres�!