* Histoire de l’apostasie du peuple de Dieu, et de l’aggravation de son sort en résultant.
- Dans cette parabole, Samarie et Israël portent le nom d’Ohola, ce qui signifie « son propre tabernacle » ; les différents lieux de culte établis dans ces contrées, étaient en fait, conçus et désignés par ces villes.
Jérusalem et Juda, quant à elles, portent le nom d’Oholiba, signifiant « mon tabernacle est en elle », car leur temple personnel était disposé à l’endroit que Dieu Lui-même avait choisi, afin d’y « placer » son Nom.
Les termes et les images utilisés dans ce texte sont spécifiques à la période relative à cette apostasie. De telles représentations de la dégradation humaine ne devraient-elles pas nous conduire à nous humilier et à nous repentir, la douleur dans l’âme, en repoussant toute trace de fierté, toute esquisse d’auto-contentement ? Cette parabole ne peut que nous inciter également à tourner continuellement notre regard vers Dieu : par Sa Grâce, par le Saint-Esprit, nous pouvons mortifier nos mauvaises actions, pour vivre dans la communion céleste, dans une sainte dévotion !
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Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Ezekiel 23". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/ezekiel-23.html. 1706.
versets 1-49
Ézéchiel 23:1
* Histoire de l’apostasie du peuple de Dieu, et de l’aggravation de son sort en résultant.- Dans cette parabole, Samarie et Israël portent le nom d’Ohola, ce qui signifie « son propre tabernacle » ; les différents lieux de culte établis dans ces contrées, étaient en fait, conçus et désignés par ces villes.
Jérusalem et Juda, quant à elles, portent le nom d’Oholiba, signifiant « mon tabernacle est en elle », car leur temple personnel était disposé à l’endroit que Dieu Lui-même avait choisi, afin d’y « placer » son Nom.
Les termes et les images utilisés dans ce texte sont spécifiques à la période relative à cette apostasie. De telles représentations de la dégradation humaine ne devraient-elles pas nous conduire à nous humilier et à nous repentir, la douleur dans l’âme, en repoussant toute trace de fierté, toute esquisse d’auto-contentement ? Cette parabole ne peut que nous inciter également à tourner continuellement notre regard vers Dieu : par Sa Grâce, par le Saint-Esprit, nous pouvons mortifier nos mauvaises actions, pour vivre dans la communion céleste, dans une sainte dévotion !