Les jugements de Dieu � l��gard des p�ch�s du peuple. (1-5) et contre les pr�tres. (6-11) L�idol�trie est r�prouv�e et Juda re�oit un avertissement. (12-19)
(1-5)
Os�e d�nonce l�immoralit� aussi bien que l�idol�trie. Il n�y avait aucune v�rit� pratiqu�e, aucune mis�ricorde ou connaissance de Dieu dans le pays�: il y avait quantit� de meurtriers, 2�Rois�21:16. De ce fait, les calamit�s �taient imminentes, pr�tes � d�soler le pays. Nos p�ch�s, en tant que peuple � part, en tant que famille ou nation, poussent le Seigneur � nous r�primander�; approchons-nous de Lui en toute soumission, avec humilit�, Il saura nous pr�server de toute destruction.
Os�e 4:6
(6-11)
Les pr�tres et le peuple ont tous rejet� la connaissance de la v�rit�; il est alors normal que Dieu les rejette. Ils ont oubli �la loi de Dieu, n�glig� de la garder � l�esprit et manqu� de la transmettre � leur post�rit�; il est logique qu�en cons�quence Dieu les oublie, eux et leurs enfants.
Si nous d�shonorons Dieu, par notre manque de r�v�rence, Celui-ci, t�t ou tard, nous couvrira de honte.
Au lieu de mettre en garde le peuple contre le p�ch�, et l�inciter � la pratique des sacrifices, pour bien montrer l�offense faite � Dieu, les pr�tres conduisaient le peuple dans l�iniquit�, sans l�exhorter � l�expiation. Il est relativement malsain de se r�jouir du p�ch� des autres car cela peut se retourner contre nous. On ne peut jouir en toute qui�tude de ce qui est gagn� malhonn�tement. Le peuple et les pr�tres s�endurcissaient dans le p�ch�; ils m�ritaient, en pure logique, leur punition. Ceux qui pratiquent ensemble le p�ch �doivent s�attendre � partager une ruine commune. Toute convoitise du c�ur finira un jour ou l�autre par extirper la force et la vigueur. C�est pour cette raison que certains professeurs sont si ennuyeux, si peu attrayants, enseignant vainement la religion. Ils sont attir�s par leur propre convoitise, ce qui �loigne leur c�ur de leur sujet d�enseignement.
Os�e 4:12
(12-19)
Certains consultaient des images au lieu de la divine Parole. Cela ne pouvait conduire qu�au d�sordre et au p�ch�. De tels personnes s�exposent � de v�ritables fl�aux et ne peuvent qu�inciter le peuple au vice. Juda ne partageait pas l�adoration idol�tre d�Isra�l. Ce dernier se vouait � ce moment aux idoles et devait �tre de ce fait, �tre mis � part.
Quand les p�cheurs rejettent le joug de Christ, ils continuent � pratiquer leur p�ch� jusqu�� ce que le Seigneur dise�: ��laissez-les seuls��. Ils ne re�oivent alors plus aucun avertissement, ne sont plus sujets � aucune conviction�: C�est � ce moment que Satan les prend enti�rement sous sa domination, afin qu�ils soient pr�ts pour la destruction.
C�est un jugement triste et bien douloureux, de voir ainsi un homme d�truit par son propre p�ch�. Ceux qui ne sont pas sensibilis�s par leur p�ch� se verront d�truits par lui.
Soyons prudents, afin de ne pas tomber dans ce terrible �tat�; la col�re divine, telle une temp�te mugissante, conduira bien vite les p�cheurs impunis, � leur ruine.
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Hosea 4". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/hosea-4.html. 1706.
versets 1-19
Os�e 4:1
Les jugements de Dieu � l��gard des p�ch�s du peuple. (1-5)
et contre les pr�tres. (6-11)
L�idol�trie est r�prouv�e et Juda re�oit un avertissement. (12-19)
(1-5)
Os�e d�nonce l�immoralit� aussi bien que l�idol�trie. Il n�y avait aucune v�rit� pratiqu�e, aucune mis�ricorde ou connaissance de Dieu dans le pays�: il y avait quantit� de meurtriers, 2�Rois�21:16. De ce fait, les calamit�s �taient imminentes, pr�tes � d�soler le pays. Nos p�ch�s, en tant que peuple � part, en tant que famille ou nation, poussent le Seigneur � nous r�primander�; approchons-nous de Lui en toute soumission, avec humilit�, Il saura nous pr�server de toute destruction.
Os�e 4:6
(6-11)
Les pr�tres et le peuple ont tous rejet� la connaissance de la v�rit�; il est alors normal que Dieu les rejette. Ils ont oubli �la loi de Dieu, n�glig� de la garder � l�esprit et manqu� de la transmettre � leur post�rit�; il est logique qu�en cons�quence Dieu les oublie, eux et leurs enfants.
Si nous d�shonorons Dieu, par notre manque de r�v�rence, Celui-ci, t�t ou tard, nous couvrira de honte.
Au lieu de mettre en garde le peuple contre le p�ch�, et l�inciter � la pratique des sacrifices, pour bien montrer l�offense faite � Dieu, les pr�tres conduisaient le peuple dans l�iniquit�, sans l�exhorter � l�expiation. Il est relativement malsain de se r�jouir du p�ch� des autres car cela peut se retourner contre nous. On ne peut jouir en toute qui�tude de ce qui est gagn� malhonn�tement. Le peuple et les pr�tres s�endurcissaient dans le p�ch�; ils m�ritaient, en pure logique, leur punition. Ceux qui pratiquent ensemble le p�ch �doivent s�attendre � partager une ruine commune. Toute convoitise du c�ur finira un jour ou l�autre par extirper la force et la vigueur. C�est pour cette raison que certains professeurs sont si ennuyeux, si peu attrayants, enseignant vainement la religion. Ils sont attir�s par leur propre convoitise, ce qui �loigne leur c�ur de leur sujet d�enseignement.
Os�e 4:12
(12-19)
Certains consultaient des images au lieu de la divine Parole. Cela ne pouvait conduire qu�au d�sordre et au p�ch�. De tels personnes s�exposent � de v�ritables fl�aux et ne peuvent qu�inciter le peuple au vice. Juda ne partageait pas l�adoration idol�tre d�Isra�l. Ce dernier se vouait � ce moment aux idoles et devait �tre de ce fait, �tre mis � part.
Quand les p�cheurs rejettent le joug de Christ, ils continuent � pratiquer leur p�ch� jusqu�� ce que le Seigneur dise�: ��laissez-les seuls��. Ils ne re�oivent alors plus aucun avertissement, ne sont plus sujets � aucune conviction�: C�est � ce moment que Satan les prend enti�rement sous sa domination, afin qu�ils soient pr�ts pour la destruction.
C�est un jugement triste et bien douloureux, de voir ainsi un homme d�truit par son propre p�ch�. Ceux qui ne sont pas sensibilis�s par leur p�ch� se verront d�truits par lui.
Soyons prudents, afin de ne pas tomber dans ce terrible �tat�; la col�re divine, telle une temp�te mugissante, conduira bien vite les p�cheurs impunis, � leur ruine.