Menace de destruction caus�e par l�impi�t� d�Isra�l, (1-4) Ainsi que par son idol�trie. (5-10) Autres sentences annonc�es pour le m�me type de p�ch�. (11-14)
(1-4)
�tant sous l�oppression, le peuple d�Isra�l aurait bien souhait �recevoir la protection divine, malgr� l�indiff�rence du Tr�s-Haut. � quoi cela peut-il servir de se tenir devant Dieu, si l�on ne peut Lui dire�: ��mon Dieu, je T�aime, je sais que Tu es pr�s de moi, je suis � Ton service et je veux que rien ne me m��loigne de Toi���?
Os�e 8:5
(5-10)
Le peuple, dans son adoration pour les idoles, se fourvoyait dans une fausse paix et dans une victoire trompeuse�; tous ses espoirs ne pouvaient �tre que vains. Ce que le peuple semait n�avait aucune vigueur, aucune vie, les bourgeons n�avaient aucune esp�rance d��panouissement. Les �uvres malhonn�tes sont toujours infructueuses�; la fin de toutes ces choses ne peut �tre que la mort.
Les espoirs que peuvent avoir les p�cheurs ne seront que d�ception, tous leurs gains seront an�antis. Au temps de l��preuve et particuli�rement au jour du jugement, toutes les �uvres de la chair seront d�truites. Elles seront consum�es, telle une proie attir�e irr�m�diablement vers la gueule du lion.
L�homme n�est finalement qu�un simple �non, ne cherchant s�curit� et satisfaction que dans la cr�ature, au lieu de se tourner vers Dieu. Bien que les hommes souffrent d�j� ici-bas, �tant loin de Dieu, ils souffriront beaucoup plus dans l��ternit�.
Os�e 8:11
(11-14)
C�est un grand p�ch� que de bafouer l�adoration de Dieu�; tous ceux qui commettent cette infamie, seront gravement accus�s, quelles que soient leurs excuses invoqu�es. Le Seigneur a �crit Sa loi pour Son peuple, mais celui-ci ne l�a pas recherch�e, ni tent� de lui ob�ir. L�homme, par les temples qu�il construit, semble soucieux de v�n�rer son Cr�ateur, bien qu�il l�oublie et ne semble pas Le craindre Particuli�rement�; personne n�a pu prosp�rer, en ayant le c�ur endurci.
Tant que les hommes m�priseront les v�rit�s et les pr�ceptes de la Parole de Dieu et Ses ordonnances, leurs offrandes personnelles, quel qu�en soit le co�t, ne seront finalement que p�ch�; ne sont approuv�s de Dieu que les seuls services mentionn�s dans sa Parole.
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Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Hosea 8". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/hosea-8.html. 1706.
versets 1-14
Os�e 8:1
Menace de destruction caus�e par l�impi�t� d�Isra�l, (1-4)
Ainsi que par son idol�trie. (5-10)
Autres sentences annonc�es pour le m�me type de p�ch�. (11-14)
(1-4)
�tant sous l�oppression, le peuple d�Isra�l aurait bien souhait �recevoir la protection divine, malgr� l�indiff�rence du Tr�s-Haut. � quoi cela peut-il servir de se tenir devant Dieu, si l�on ne peut Lui dire�: ��mon Dieu, je T�aime, je sais que Tu es pr�s de moi, je suis � Ton service et je veux que rien ne me m��loigne de Toi���?
Os�e 8:5
(5-10)
Le peuple, dans son adoration pour les idoles, se fourvoyait dans une fausse paix et dans une victoire trompeuse�; tous ses espoirs ne pouvaient �tre que vains. Ce que le peuple semait n�avait aucune vigueur, aucune vie, les bourgeons n�avaient aucune esp�rance d��panouissement. Les �uvres malhonn�tes sont toujours infructueuses�; la fin de toutes ces choses ne peut �tre que la mort.
Les espoirs que peuvent avoir les p�cheurs ne seront que d�ception, tous leurs gains seront an�antis. Au temps de l��preuve et particuli�rement au jour du jugement, toutes les �uvres de la chair seront d�truites. Elles seront consum�es, telle une proie attir�e irr�m�diablement vers la gueule du lion.
L�homme n�est finalement qu�un simple �non, ne cherchant s�curit� et satisfaction que dans la cr�ature, au lieu de se tourner vers Dieu. Bien que les hommes souffrent d�j� ici-bas, �tant loin de Dieu, ils souffriront beaucoup plus dans l��ternit�.
Os�e 8:11
(11-14)
C�est un grand p�ch� que de bafouer l�adoration de Dieu�; tous ceux qui commettent cette infamie, seront gravement accus�s, quelles que soient leurs excuses invoqu�es. Le Seigneur a �crit Sa loi pour Son peuple, mais celui-ci ne l�a pas recherch�e, ni tent� de lui ob�ir. L�homme, par les temples qu�il construit, semble soucieux de v�n�rer son Cr�ateur, bien qu�il l�oublie et ne semble pas Le craindre Particuli�rement�; personne n�a pu prosp�rer, en ayant le c�ur endurci.
Tant que les hommes m�priseront les v�rit�s et les pr�ceptes de la Parole de Dieu et Ses ordonnances, leurs offrandes personnelles, quel qu�en soit le co�t, ne seront finalement que p�ch�; ne sont approuv�s de Dieu que les seuls services mentionn�s dans sa Parole.