L�ob�issance des R�cabites. (1-11) La d�sob�issance des Juifs, envers l��ternel. (12-19)
(1-11)
Jonadab �tait r�put� pour sa sagesse et sa pi�t�. Il v�cu environ 300 ans avant les �v�nements relat�s dans ce texte, 2�Rois�10:15. Jonadab avait command� � sa post�rit� de ne pas boire de vin. Il avait �galement ordonn� aux siens, d�habiter dans des tentes, tels des nomades, afin de leur enseigner � ne pas s��tablir d�finitivement en quelque lieu ici-bas. Rester discret, �tait pour le peuple juif, la meilleure attitude � tenir, afin de survivre le plus longtemps possible sur cette terre o� ils n��taient en fait, que des �trangers.
L�humilit� et le contentement sont toujours la meilleure attitude � observer, et la protection la plus s�re. En outre, bien qu�il soit bon de ne pas se tourner vers les plaisirs ��d�fendus��, il est pr�f�rable aussi de ne pas tomber dans l�exc�s, quant � ceux qui s�av�rent ��l�gaux��.
En consid�rant que nous ne sommes que des �trangers et des p�lerins ici-bas, nous devrions nous astreindre � nous abstenir de toutes convoitises charnelles. Ceux qui n�ont rien ou peu � perdre, ne sont pas effray�s par le temps qui passe�; par contre, ceux qui sont asservis par la possession de leurs diff�rents biens, sont sans cesse su le qui-vive, dans la crainte d��tre d�pouill�s. Les personnes qui vivent dans l�abn�gation, en d�daignant les vanit�s du monde, sont les mieux ��arm�es�� pour combattre la souffrance.
La post�rit� de Jonadab a strictement observ� les r�gles qui lui �taient prescrites�; en ce temps d��preuve commune, elle ne fit qu�employer les moyens � sa disposition, pour garde le peuple en s�curit�.
J�r�mie 35:12
(12-19)
L�int�grit� des R�cabites, quant � leur respect des commandements de Jonadab, �tait remarquable�; la d�sob�issance des juifs, aux commandements divins, �tait par contre, plus regrettable.
Les R�cabites n�ob�issaient en fait, qu�� celui qui n��tait simplement qu�un homme, un de leur semblable�; Jonadab n�a jamais rien fait pour sa descendance qui soit comparable � ce que Dieu fit pour les Siens. La Mis�ricorde divine fut n�anmoins promise aux R�cabites.
La Parole ne nous dit rien au sujet de l�application de cette promesse�; mais il ne fait aucun doute qu�elle fut ex�cut�e�: il se dit encore aujourd�hui que les R�cabites sont un peuple � part.
Sachons respecter les conseils de nos pieux anc�tres, nous ne pourrons en tirer que du bien�!
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Jeremiah 35". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/jeremiah-35.html. 1706.
versets 1-19
J�r�mie 35:1
L�ob�issance des R�cabites. (1-11)
La d�sob�issance des Juifs, envers l��ternel. (12-19)
(1-11)
Jonadab �tait r�put� pour sa sagesse et sa pi�t�. Il v�cu environ 300 ans avant les �v�nements relat�s dans ce texte, 2�Rois�10:15. Jonadab avait command� � sa post�rit� de ne pas boire de vin. Il avait �galement ordonn� aux siens, d�habiter dans des tentes, tels des nomades, afin de leur enseigner � ne pas s��tablir d�finitivement en quelque lieu ici-bas. Rester discret, �tait pour le peuple juif, la meilleure attitude � tenir, afin de survivre le plus longtemps possible sur cette terre o� ils n��taient en fait, que des �trangers.
L�humilit� et le contentement sont toujours la meilleure attitude � observer, et la protection la plus s�re. En outre, bien qu�il soit bon de ne pas se tourner vers les plaisirs ��d�fendus��, il est pr�f�rable aussi de ne pas tomber dans l�exc�s, quant � ceux qui s�av�rent ��l�gaux��.
En consid�rant que nous ne sommes que des �trangers et des p�lerins ici-bas, nous devrions nous astreindre � nous abstenir de toutes convoitises charnelles. Ceux qui n�ont rien ou peu � perdre, ne sont pas effray�s par le temps qui passe�; par contre, ceux qui sont asservis par la possession de leurs diff�rents biens, sont sans cesse su le qui-vive, dans la crainte d��tre d�pouill�s. Les personnes qui vivent dans l�abn�gation, en d�daignant les vanit�s du monde, sont les mieux ��arm�es�� pour combattre la souffrance.
La post�rit� de Jonadab a strictement observ� les r�gles qui lui �taient prescrites�; en ce temps d��preuve commune, elle ne fit qu�employer les moyens � sa disposition, pour garde le peuple en s�curit�.
J�r�mie 35:12
(12-19)
L�int�grit� des R�cabites, quant � leur respect des commandements de Jonadab, �tait remarquable�; la d�sob�issance des juifs, aux commandements divins, �tait par contre, plus regrettable.
Les R�cabites n�ob�issaient en fait, qu�� celui qui n��tait simplement qu�un homme, un de leur semblable�; Jonadab n�a jamais rien fait pour sa descendance qui soit comparable � ce que Dieu fit pour les Siens. La Mis�ricorde divine fut n�anmoins promise aux R�cabites.
La Parole ne nous dit rien au sujet de l�application de cette promesse�; mais il ne fait aucun doute qu�elle fut ex�cut�e�: il se dit encore aujourd�hui que les R�cabites sont un peuple � part.
Sachons respecter les conseils de nos pieux anc�tres, nous ne pourrons en tirer que du bien�!