Satan obtient la permission d��prouver Job. (1-6) Les souffrances de Job. (7-10) Ses amis viennent le r�conforter. (11-13)
(1-6)
Qu�il est r�confortant de savoir qu�au jugement dernier, ni les hommes ni les forces diaboliques ne seront finalement nos juges�! Toute justice sera effectu�e par le Seigneur, qui Lui, ne se trompe jamais. Job, dans son �preuve, reste int�gre, ce qui fait sa force. Dieu mentionne la puissance de Sa gr�ce. L��go�sme et l�instinct de conservation sont des sentiments intenses dans le c�ur des hommes. Mais Satan accuse Job, le traitant d��go�ste, en disant qu�il ne recherche que son propre int�r�t et sa s�curit�. Il en est souvent ainsi pour le peuple de Dieu, souvent bl�m� � tort par le diable et ses sujets. Satan est autoris� � dispenser l��preuve, mais dans certaines limites. Si Dieu n�avait pas encha�n� ce lion hurlant, nous aurions �t� bien vite d�vor�s�!
Job, ainsi diffam� par Satan, �tait une image de Christ, dont la proph�tie annon�ait, au d�but des temps, que Satan devait blesser Son talon et �tre finalement �cras� par le Roi des rois.
Job 2:7
(7-10)
Le diable tente ses propres enfants et les m�ne au p�ch�, Il les �prouve et les conduit � la ruine�; dans notre passage, le serviteur de Dieu est afflig� et est alors tent� de maudire cette affliction. Le diable a provoqu� Job pour que ce dernier maudisse Dieu. Cette souffrance �tait tr�s dure � supporter. Si, � tout moment, nous pouvons �tre �prouv�s par des maladies douloureuses et p�nibles, ne pensons pas �tre trait�s injustement, car Dieu peut parfois agir ainsi envers certains de Ses saints ou de Ses serviteurs les plus z�l�s. Job s�est humili� sous la puissante main de Dieu, il Lui a confi� son esprit. Son �pouse l�a incit� � maudire Dieu, pour mourir ensuite. Satan fait toujours des efforts pour �loigner les hommes de Dieu, comme il l�a d�j� fait avec nos premiers parents, en leur sugg�rant de se rebeller contre le Seigneur�; rien n�est finalement plus mauvais pour l�homme. Mais Job a r�sist� et a surmont� la tentation. Recevrions-nous, cr�atures sans valeur, fautives et souill�es que nous sommes, beaucoup de b�n�dictions, d�un Dieu juste et saint, tout en refusant d�accepter la punition due � nos p�ch�s�? Nous sommes punis, en fait, tellement moins que nous ne le m�ritons�!Que nos murmures, aussi bien que nos vantardises, s��loignent de nous � jamais�! Jusqu�ici Job a r�sist� � l��preuve, ce qui l�a affermi pour le tourment de l�affliction suivante. Il aurait pu na�tre en son c�ur des sentiments n�gatifs, mais la Gr�ce a eu finalement le dessus.
Job 2:11
(11-13)
Les amis de Job semblent remarquables � la fois par leur rang social, leur sagesse et leur pi�t�. Une grande partie du r�confort que nous trouvons ici-bas provient de notre lien amical avec des personnes prudentes et vertueuses. En venant pleurer avec Job, ses trois amis lui ont manifest� la peine qu�ils ressentaient r�ellement. Ils vinrent donc pour le soulager et se sont assis aupr�s de lui. Au vu de ces �preuves, il semblerait qu�ils aient suspect� un jugement c�leste relatif � quelque crime commis par le patriarche, malgr� sa profession de pi�t�. Beaucoup consid�rent que ces trois personnages ont rendu tout simplement visite � leur ami �prouv�; nous devons prendre exemple de cette d�marche�: si la religion anime notre c�ur, du fruit doit en ressortir dans nos vies. Et si l�exemple des amis de Job n�est pas suffisant pour nous faire �prouver de la piti� pour l�afflig�, recherchons plut�t � avoir l�esprit qui animait Christ.
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Job 2". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/job-2.html. 1706.
versets 1-13
Job 2:1
Satan obtient la permission d��prouver Job. (1-6)
Les souffrances de Job. (7-10)
Ses amis viennent le r�conforter. (11-13)
(1-6)
Qu�il est r�confortant de savoir qu�au jugement dernier, ni les hommes ni les forces diaboliques ne seront finalement nos juges�! Toute justice sera effectu�e par le Seigneur, qui Lui, ne se trompe jamais. Job, dans son �preuve, reste int�gre, ce qui fait sa force. Dieu mentionne la puissance de Sa gr�ce. L��go�sme et l�instinct de conservation sont des sentiments intenses dans le c�ur des hommes. Mais Satan accuse Job, le traitant d��go�ste, en disant qu�il ne recherche que son propre int�r�t et sa s�curit�. Il en est souvent ainsi pour le peuple de Dieu, souvent bl�m� � tort par le diable et ses sujets. Satan est autoris� � dispenser l��preuve, mais dans certaines limites. Si Dieu n�avait pas encha�n� ce lion hurlant, nous aurions �t� bien vite d�vor�s�!
Job, ainsi diffam� par Satan, �tait une image de Christ, dont la proph�tie annon�ait, au d�but des temps, que Satan devait blesser Son talon et �tre finalement �cras� par le Roi des rois.
Job 2:7
(7-10)
Le diable tente ses propres enfants et les m�ne au p�ch�, Il les �prouve et les conduit � la ruine�; dans notre passage, le serviteur de Dieu est afflig� et est alors tent� de maudire cette affliction. Le diable a provoqu� Job pour que ce dernier maudisse Dieu. Cette souffrance �tait tr�s dure � supporter. Si, � tout moment, nous pouvons �tre �prouv�s par des maladies douloureuses et p�nibles, ne pensons pas �tre trait�s injustement, car Dieu peut parfois agir ainsi envers certains de Ses saints ou de Ses serviteurs les plus z�l�s. Job s�est humili� sous la puissante main de Dieu, il Lui a confi� son esprit. Son �pouse l�a incit� � maudire Dieu, pour mourir ensuite. Satan fait toujours des efforts pour �loigner les hommes de Dieu, comme il l�a d�j� fait avec nos premiers parents, en leur sugg�rant de se rebeller contre le Seigneur�; rien n�est finalement plus mauvais pour l�homme. Mais Job a r�sist� et a surmont� la tentation. Recevrions-nous, cr�atures sans valeur, fautives et souill�es que nous sommes, beaucoup de b�n�dictions, d�un Dieu juste et saint, tout en refusant d�accepter la punition due � nos p�ch�s�? Nous sommes punis, en fait, tellement moins que nous ne le m�ritons�!Que nos murmures, aussi bien que nos vantardises, s��loignent de nous � jamais�! Jusqu�ici Job a r�sist� � l��preuve, ce qui l�a affermi pour le tourment de l�affliction suivante. Il aurait pu na�tre en son c�ur des sentiments n�gatifs, mais la Gr�ce a eu finalement le dessus.
Job 2:11
(11-13)
Les amis de Job semblent remarquables � la fois par leur rang social, leur sagesse et leur pi�t�. Une grande partie du r�confort que nous trouvons ici-bas provient de notre lien amical avec des personnes prudentes et vertueuses. En venant pleurer avec Job, ses trois amis lui ont manifest� la peine qu�ils ressentaient r�ellement. Ils vinrent donc pour le soulager et se sont assis aupr�s de lui. Au vu de ces �preuves, il semblerait qu�ils aient suspect� un jugement c�leste relatif � quelque crime commis par le patriarche, malgr� sa profession de pi�t�. Beaucoup consid�rent que ces trois personnages ont rendu tout simplement visite � leur ami �prouv�; nous devons prendre exemple de cette d�marche�: si la religion anime notre c�ur, du fruit doit en ressortir dans nos vies. Et si l�exemple des amis de Job n�est pas suffisant pour nous faire �prouver de la piti� pour l�afflig�, recherchons plut�t � avoir l�esprit qui animait Christ.