La gu�rison � la piscine de B�thesda. (1-9) Le d�plaisir des Juifs. (10-16) Christ bl�me les Juifs. (17-23) Le discours de Christ. (24-47)
(1-9)
Nous sommes tous par nature, ��impotents�� dans le domaine spirituel, nous sommes aveugles, boiteux et estropi�s�; mais un rem�de pour notre r�tablissement existe, le salut, si, du moins, nous l�attendons par la foi�!
Ce texte nous indique qu�en certaines saisons, un ange descendait, dans cette piscine et en agitait l�eau�; cette eau gu�rissait alors toute maladie, quelle qu�elle soit, uniquement pour le premier qui se jetait dans cette piscine.
Ceci nous apprend � �tre prudent�: ne laissons pas passer toute occasion d�entendre le message de l��vangile, elle pourrait ne jamais se reproduire...
Cet infirme avait perdu l�usage de ses membres depuis trente-huit ans. Pouvons-nous nous plaindre de quelques maux passagers, nous qui peut-�tre, depuis de nombreuses ann�es, avons rarement connu un seul jour de maladie, alors que beaucoup d�autres personnes, bien plus ��m�ritantes��, ont � peine connu ne serait-ce qu�un seul moment de bien-�tre�?
Christ choisit ce paralytique en particulier. Ceux qui languissent dans l�affliction, peuvent se consoler de ce que Dieu tient compte de leurs longues souffrances. Remarquez comment cet infirme mentionna l�ind�licatesse de ceux qui l�entouraient�: il n�exprima aucune amertume � leur �gard. De la m�me mani�re, soyons reconnaissants et patients envers tout ce que le ciel nous accorde�!
Notre Seigneur J�sus gu�rit cet homme bien que ce dernier ne le lui ait pas demand�, ni m�me envisag� son r�tablissement. J�sus lui dit�: ��L�ve-toi et marche��. Dieu nous donne cette prescription�: ��changez et vous vivrez�; ayez un c�ur nouveau���; Nous ne disposons d�aucune r�elle puissance, sans la Gr�ce de Dieu, cette Gr�ce merveilleuse�! L�ordre qui fut donn� � cet infirme manifestait la Puissance de Christ�; qu�Il en re�oive toute la gloire�!
Quelle dut �tre la surprise pour le pauvre estropi�, en se voyant soudain � l�aise, fort et capable de se mouvoir lui-m�me�! La preuve de notre ��gu�rison�� spirituelle n�est effective que lorsque nous nous ��levons et marchons��. Si Christ a gu�ri nos maladies spirituelles, allons l� o� Il nous envoie, chargeons-nous de ce qu�Il nous donne � porter�; marchons devant Lui�!
Jean 5:10
(10-16)
Ceux qui s�accommodent du ch�timent de leur p�ch�, risquent de rechuter lorsque l�anxi�t� et la contrainte, dues � cette sanction, sont dissip�es, � moins que la Gr�ce divine ne les prot�ge de cette tentation.
Les souffrances que peuvent supporter les croyants ont pour but de les mettre en garde, afin qu�ils ne se livrent plus au p�ch�, m�me s�ils ont pu �prouver en ce dernier, un quelconque attrait.
La voix de la Providence nous interpelle�: ��Va, et ne p�che plus��. Christ a consid�r� qu�il �tait essentiel de donner cet avertissement � l�homme qu�Il venait de gu�rir�; il est en effet courant de voir de nombreux malades faire beaucoup de promesses�: mais aussit�t gu�ris, ils ne les accomplissent que partiellement, oubliant rapidement leurs engagements.
Christ a �voqu� la col�re divine � venir, Jean�5:14*, qu�on ne saurait comparer avec les pires �preuves�: certains peuvent en effet, par leur indulgence devant leur iniquit� coupable, �tre �prouv�s des ann�es durant...
Si de telles afflictions, envoy�es ici-bas par le ciel, sont aussi s�v�res, quelle sera l��pouvante du m�chant, face � sa punition �ternelle�!
* R�f�rence ajout�e par le traducteur pour faciliter la compr�hension du texte.
Jean 5:17
(17-23)
La divine puissance du miracle d�crit dans les versets pr�c�dents prouvait aux Juifs que J�sus �tait (Il l�est toujours) v�ritablement le Fils de Dieu�: Il d�clara qu�Il �uvrait avec Son P�re, agissant comme Lui, comme Il Lui semblait bon.
Les ennemis de Christ le comprirent, ce qui excita davantage leur violence, accusant J�sus non seulement de ne pas respecter le sabbat, mais aussi de blasph�mer, en appelant Dieu Son propre P�re, et en se faisant Lui-m�me Son �gal.
Mais toutes choses d�sormais, jusqu�au Jugement Dernier, sont soumises au Fils, dans le but que tous les hommes puissent L�honorer, comme ils honorent le P�re�; tous ceux qui n�honorent pas le Fils, quelle que soit leur raison, n�honorent pas le P�re, Celui qui L�a envoy�.
Jean 5:24
(24-29)
Nous voyons dans ce texte notre Seigneur manifester Son autorit�, en annon�ant qu�Il �tait v�ritablement le Messie. Le temps �tait venu o� les morts allaient entendre Sa voix, celle du Fils de Dieu, et vivre�!
Notre Seigneur fait r�f�rence pour la premi�re fois � Sa r�surrection, pour ceux qui �taient ��morts�� dans le p�ch� et qui allaient conna�tre une nouveaut� de vie en la puissance de l�Esprit�; Il mentionne aussi la future r�surrection des morts.
La fonction de Juge de l�humanit� ne peut �tre exerc�e que par Celui qui poss�de toute connaissance, avec un pouvoir tout-puissant. Puissions-nous croire en Son t�moignage�! Notre foi et notre esp�rance seront alors �tablies en Dieu, et nous ne serons pas condamn�s par le ciel. Puisse Sa voix atteindre le c�ur de ceux qui sont morts dans l�iniquit�; qu�ils puissent accomplir des �uvres dignes de la repentance et se pr�parer pour le jour solennel du retour du Seigneur�!
Jean 5:30
(30-38)
Dans ce texte, notre Seigneur revient sur Sa d�claration attestant l�accord total entre le P�re et le Fils�; Il se d�clare Lui-m�me le Fils de Dieu. J�sus poss�dait un t�moignage plus grand que celui de Jean�; Ses �uvres manifestent la v�racit� de toutes Ses paroles.
La Parole divine n�avait h�las aucune place dans le c�ur de ceux qui ont refus� de croire en Celui que le P�re avait envoy�, selon Ses anciennes promesses. La voix de Dieu, accompagn�e par la Puissance du Saint-Esprit est efficace pour la conversion des p�cheurs�; Elle proclame encore�: ��voici le Fils bien-aim�, en qui le P�re a mis toute son affection��.
Mais quand le c�ur de l�homme est rempli de fiert�, d�orgueil et d�amour du monde, il ne dispose d�aucune place pour que cette Parole divine demeure en lui...
Jean 5:39
(39-44)
Les Juifs consid�raient que la vie �ternelle leur �tait r�v�l�e par les �critures, et qu�ils la poss�daient, parce qu�ils avaient la Parole de Dieu entre leurs mains.
J�sus les invite � fouiller les �critures avec plus d�assiduit� et d�attention�: ��vous sondez les �critures parce que vous pensez avoir en elles la vie �ternelle��. Le Juifs sondaient en effet les �critures, mais uniquement pour se glorifier personnellement...
Il est possible de constater que certaines personnes ont une grande connaissance des �critures, tout en �tant cependant �trang�res � la puissance de ces Derni�res. On peut interpr�ter le message du Seigneur, ��sondez les �critures�� sous la forme d�un appel�: ��vous d�clarez recevoir et croire l��criture, qu�Elle en soit juge���! Il est �galement command� aux chr�tiens, de sonder les �critures�: ils doivent non seulement les lire ou les entendre, mais ils doivent en plus les sonder, ce qui doit d�noter une certaine assiduit� dans leur examen et leur �tude.
Nous devons sonder les �critures avec une certaine ��perspective c�leste��, un but final�: ��parce que vous pensez avoir en elles la vie �ternelle��. Nous devons sonder les �critures pour Christ�: Il est en effet le Chemin nouveau et vivant qui conduit � cette fin.
Au t�moignage de Christ envers les Juifs, s�ajoutent des reproches pour leur incr�dulit� et leur m�chancet�, ainsi que leur n�gligence, quant � la doctrine c�leste. Il leur reproche �galement leur manque d�amour pour Dieu.
Seules les �mes contrites peuvent avoir la vie en J�sus-Christ. Nombreux sont ceux qui professent hautement leur pi�t� et qui, cependant, manquent d�amour pour Dieu, et n�gligent la Personne de Christ, en m�prisant Ses commandements. L�amour que nous �prouvons pour Dieu doit �tre vivant, actif en notre c�ur�: il sera alors accept�.
Les Juifs sous-estim�rent Christ, ils le tourn�rent en d�rision, s�admirant et se surestimant eux-m�mes. Comment de telles personnes peuvent-elles croire, quand elles acclament les hommes et en font leurs idoles�?
Alors que Christ et Ses disciples sont seuls dignes d��tre suivis, comment les orgueilleux peuvent-ils croire, quand ils n�ont de plus grande ambition que d��taler leur apparente bonne conduite�?
Jean 5:45
(45-47)
Beaucoup se r�f�rent � certaines formes de doctrines ou quelques passages bibliques, sans entrer r�ellement dans la vraie signification de leur enseignement, ne se soumettant pas vraiment aux diverses instructions spirituelles des proph�tes�; il en �tait ainsi pour les Juifs, � l��gard de Mo�se.
Recherchons et prions en lisant les �critures, dans l�intention d�y d�couvrir la vie �ternelle�; remarquons � quel point Christ en est le sujet principal, et mettons en pratique chaque jour Ses enseignements, Le louant pour la vie qu�Il nous accorde�!
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur John 5". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/john-5.html. 1706.
versets 1-47
Jean 5:1
La gu�rison � la piscine de B�thesda. (1-9)
Le d�plaisir des Juifs. (10-16)
Christ bl�me les Juifs. (17-23)
Le discours de Christ. (24-47)
(1-9)
Nous sommes tous par nature, ��impotents�� dans le domaine spirituel, nous sommes aveugles, boiteux et estropi�s�; mais un rem�de pour notre r�tablissement existe, le salut, si, du moins, nous l�attendons par la foi�!
Ce texte nous indique qu�en certaines saisons, un ange descendait, dans cette piscine et en agitait l�eau�; cette eau gu�rissait alors toute maladie, quelle qu�elle soit, uniquement pour le premier qui se jetait dans cette piscine.
Ceci nous apprend � �tre prudent�: ne laissons pas passer toute occasion d�entendre le message de l��vangile, elle pourrait ne jamais se reproduire...
Cet infirme avait perdu l�usage de ses membres depuis trente-huit ans. Pouvons-nous nous plaindre de quelques maux passagers, nous qui peut-�tre, depuis de nombreuses ann�es, avons rarement connu un seul jour de maladie, alors que beaucoup d�autres personnes, bien plus ��m�ritantes��, ont � peine connu ne serait-ce qu�un seul moment de bien-�tre�?
Christ choisit ce paralytique en particulier. Ceux qui languissent dans l�affliction, peuvent se consoler de ce que Dieu tient compte de leurs longues souffrances. Remarquez comment cet infirme mentionna l�ind�licatesse de ceux qui l�entouraient�: il n�exprima aucune amertume � leur �gard. De la m�me mani�re, soyons reconnaissants et patients envers tout ce que le ciel nous accorde�!
Notre Seigneur J�sus gu�rit cet homme bien que ce dernier ne le lui ait pas demand�, ni m�me envisag� son r�tablissement. J�sus lui dit�: ��L�ve-toi et marche��. Dieu nous donne cette prescription�: ��changez et vous vivrez�; ayez un c�ur nouveau���; Nous ne disposons d�aucune r�elle puissance, sans la Gr�ce de Dieu, cette Gr�ce merveilleuse�! L�ordre qui fut donn� � cet infirme manifestait la Puissance de Christ�; qu�Il en re�oive toute la gloire�!
Quelle dut �tre la surprise pour le pauvre estropi�, en se voyant soudain � l�aise, fort et capable de se mouvoir lui-m�me�! La preuve de notre ��gu�rison�� spirituelle n�est effective que lorsque nous nous ��levons et marchons��. Si Christ a gu�ri nos maladies spirituelles, allons l� o� Il nous envoie, chargeons-nous de ce qu�Il nous donne � porter�; marchons devant Lui�!
Jean 5:10
(10-16)
Ceux qui s�accommodent du ch�timent de leur p�ch�, risquent de rechuter lorsque l�anxi�t� et la contrainte, dues � cette sanction, sont dissip�es, � moins que la Gr�ce divine ne les prot�ge de cette tentation.
Les souffrances que peuvent supporter les croyants ont pour but de les mettre en garde, afin qu�ils ne se livrent plus au p�ch�, m�me s�ils ont pu �prouver en ce dernier, un quelconque attrait.
La voix de la Providence nous interpelle�: ��Va, et ne p�che plus��. Christ a consid�r� qu�il �tait essentiel de donner cet avertissement � l�homme qu�Il venait de gu�rir�; il est en effet courant de voir de nombreux malades faire beaucoup de promesses�: mais aussit�t gu�ris, ils ne les accomplissent que partiellement, oubliant rapidement leurs engagements.
Christ a �voqu� la col�re divine � venir, Jean�5:14*, qu�on ne saurait comparer avec les pires �preuves�: certains peuvent en effet, par leur indulgence devant leur iniquit� coupable, �tre �prouv�s des ann�es durant...
Si de telles afflictions, envoy�es ici-bas par le ciel, sont aussi s�v�res, quelle sera l��pouvante du m�chant, face � sa punition �ternelle�!
* R�f�rence ajout�e par le traducteur pour faciliter la compr�hension du texte.
Jean 5:17
(17-23)
La divine puissance du miracle d�crit dans les versets pr�c�dents prouvait aux Juifs que J�sus �tait (Il l�est toujours) v�ritablement le Fils de Dieu�: Il d�clara qu�Il �uvrait avec Son P�re, agissant comme Lui, comme Il Lui semblait bon.
Les ennemis de Christ le comprirent, ce qui excita davantage leur violence, accusant J�sus non seulement de ne pas respecter le sabbat, mais aussi de blasph�mer, en appelant Dieu Son propre P�re, et en se faisant Lui-m�me Son �gal.
Mais toutes choses d�sormais, jusqu�au Jugement Dernier, sont soumises au Fils, dans le but que tous les hommes puissent L�honorer, comme ils honorent le P�re�; tous ceux qui n�honorent pas le Fils, quelle que soit leur raison, n�honorent pas le P�re, Celui qui L�a envoy�.
Jean 5:24
(24-29)
Nous voyons dans ce texte notre Seigneur manifester Son autorit�, en annon�ant qu�Il �tait v�ritablement le Messie. Le temps �tait venu o� les morts allaient entendre Sa voix, celle du Fils de Dieu, et vivre�!
Notre Seigneur fait r�f�rence pour la premi�re fois � Sa r�surrection, pour ceux qui �taient ��morts�� dans le p�ch� et qui allaient conna�tre une nouveaut� de vie en la puissance de l�Esprit�; Il mentionne aussi la future r�surrection des morts.
La fonction de Juge de l�humanit� ne peut �tre exerc�e que par Celui qui poss�de toute connaissance, avec un pouvoir tout-puissant. Puissions-nous croire en Son t�moignage�! Notre foi et notre esp�rance seront alors �tablies en Dieu, et nous ne serons pas condamn�s par le ciel. Puisse Sa voix atteindre le c�ur de ceux qui sont morts dans l�iniquit�; qu�ils puissent accomplir des �uvres dignes de la repentance et se pr�parer pour le jour solennel du retour du Seigneur�!
Jean 5:30
(30-38)
Dans ce texte, notre Seigneur revient sur Sa d�claration attestant l�accord total entre le P�re et le Fils�; Il se d�clare Lui-m�me le Fils de Dieu. J�sus poss�dait un t�moignage plus grand que celui de Jean�; Ses �uvres manifestent la v�racit� de toutes Ses paroles.
La Parole divine n�avait h�las aucune place dans le c�ur de ceux qui ont refus� de croire en Celui que le P�re avait envoy�, selon Ses anciennes promesses. La voix de Dieu, accompagn�e par la Puissance du Saint-Esprit est efficace pour la conversion des p�cheurs�; Elle proclame encore�: ��voici le Fils bien-aim�, en qui le P�re a mis toute son affection��.
Mais quand le c�ur de l�homme est rempli de fiert�, d�orgueil et d�amour du monde, il ne dispose d�aucune place pour que cette Parole divine demeure en lui...
Jean 5:39
(39-44)
Les Juifs consid�raient que la vie �ternelle leur �tait r�v�l�e par les �critures, et qu�ils la poss�daient, parce qu�ils avaient la Parole de Dieu entre leurs mains.
J�sus les invite � fouiller les �critures avec plus d�assiduit� et d�attention�: ��vous sondez les �critures parce que vous pensez avoir en elles la vie �ternelle��. Le Juifs sondaient en effet les �critures, mais uniquement pour se glorifier personnellement...
Il est possible de constater que certaines personnes ont une grande connaissance des �critures, tout en �tant cependant �trang�res � la puissance de ces Derni�res. On peut interpr�ter le message du Seigneur, ��sondez les �critures�� sous la forme d�un appel�: ��vous d�clarez recevoir et croire l��criture, qu�Elle en soit juge���! Il est �galement command� aux chr�tiens, de sonder les �critures�: ils doivent non seulement les lire ou les entendre, mais ils doivent en plus les sonder, ce qui doit d�noter une certaine assiduit� dans leur examen et leur �tude.
Nous devons sonder les �critures avec une certaine ��perspective c�leste��, un but final�: ��parce que vous pensez avoir en elles la vie �ternelle��. Nous devons sonder les �critures pour Christ�: Il est en effet le Chemin nouveau et vivant qui conduit � cette fin.
Au t�moignage de Christ envers les Juifs, s�ajoutent des reproches pour leur incr�dulit� et leur m�chancet�, ainsi que leur n�gligence, quant � la doctrine c�leste. Il leur reproche �galement leur manque d�amour pour Dieu.
Seules les �mes contrites peuvent avoir la vie en J�sus-Christ. Nombreux sont ceux qui professent hautement leur pi�t� et qui, cependant, manquent d�amour pour Dieu, et n�gligent la Personne de Christ, en m�prisant Ses commandements. L�amour que nous �prouvons pour Dieu doit �tre vivant, actif en notre c�ur�: il sera alors accept�.
Les Juifs sous-estim�rent Christ, ils le tourn�rent en d�rision, s�admirant et se surestimant eux-m�mes. Comment de telles personnes peuvent-elles croire, quand elles acclament les hommes et en font leurs idoles�?
Alors que Christ et Ses disciples sont seuls dignes d��tre suivis, comment les orgueilleux peuvent-ils croire, quand ils n�ont de plus grande ambition que d��taler leur apparente bonne conduite�?
Jean 5:45
(45-47)
Beaucoup se r�f�rent � certaines formes de doctrines ou quelques passages bibliques, sans entrer r�ellement dans la vraie signification de leur enseignement, ne se soumettant pas vraiment aux diverses instructions spirituelles des proph�tes�; il en �tait ainsi pour les Juifs, � l��gard de Mo�se.
Recherchons et prions en lisant les �critures, dans l�intention d�y d�couvrir la vie �ternelle�; remarquons � quel point Christ en est le sujet principal, et mettons en pratique chaque jour Ses enseignements, Le louant pour la vie qu�Il nous accorde�!