* Le p�ch� et la mort de Nadab et d�Abihu. (1, 2) L�interdiction faite � Aaron et les siens de pleurer Nadab et Abihu. (3-7) Le vin, interdit aux sacrificateurs, lors le leur service dans le tabernacle. (8-11) L�interdiction aux sacrificateurs de consommer des choses saintes. (12-20)
(1, 2)
Apr�s Mo�se et Aaron, Nadab et Abihu �taient les seules personnes qui �taient dignes, parmi le peuple d�Isra�l, de recevoir les honneurs. On peut supposer que le fils d�Aaron ont �t� emport�s parleur orgueil, ayant l�esprit excit� par une consommation excessive de vin. Alors que le peuple �tait prostern� devant l��ternel, adorant Sa pr�sence et Sa gloire, Nadab et Abihu entr�rent dans le tabernacle pour y br�ler de l�encens, � un moment o� il ne fallait pas le faire�; au lieu d�entrer s�par�ment, ils entr�rent ensemble et utilis�rent du feu qui ne provenait pas de l�autel. Si ces actes avaient �t� accomplis dans l�ignorance, cela aurait pu �tre pardonn� par une ��offrande pour le p�ch�"��. Mais l��me qui agit par orgueil et qui ose se confronter � la justice et � la majest� divines, ne peut qu��tre retranch�e. Le salaire du p�ch�, c�est la mort.
Ces deux hommes moururent � cause de cette faute. Le p�ch� et la punition de ces sacrificateurs r�v�lent l�imperfection du sacerdoce des temps anciens�: personne ne pouvait les sauver du feu de la col�re divine, alors que Christ, au temps de l��vangile, aurait �t� capable de le faire, dans Son sacerdoce parfait.
L�vitique 10:3
(3-7)
Quand nous sommes dans l�affliction, quelle qu�en soit son intensit�, nos sentiments doivent �tre en accord avec l�enseignement de la Parole de Dieu. Qu�est-ce que Dieu veut nous dire dans ce texte�? Malgr� le coup terrible que re�ut Aaron, avec la perte de ses deux fils, malgr� son angoisse et sa consternation, il s�est soumis silencieusement � la justice de la correction divine. Quand Dieu nous corrige, apr�s que nous ayons p�ch�, nous devons accepter cette punition en nous disant�: ��tout cela vient du Seigneur, qu�Il accomplisse ce que bon Lui semble��.
Quand nous adorons Dieu, nous nous approchons de Lui, tels des ��sacrificateurs spirituels���: cela doit nous conduire � garder tout le s�rieux possible dans tous nos actes de d�votion. Quand nous travaillons pour le Seigneur, nous sommes pr�s de Lui et nous devons bien consid�rer qu�Il est le Dieu saint et qu�Il se vengera de tous ceux qui profaneront la saintet� de Son Nom.
L�vitique 10:8
(8-11)
��Vous ne boirez point de vin ni de boisson forte��.
Tel est l�ordre que l��ternel donna aux sacrificateurs, quand ces derniers �taient de service, dans le tabernacle. Il en est de m�me, de nos jours, en ce qui concerne les serviteurs de Dieu�: Ils ne doivent pas �tre adonn�s au vin, 1�Timoth�e�3:3. La consommation d�alcool nuit � la sant�: tout abus ne pouvant, � la longue, que conduire � la mort, engageons-nous vraiment � rester sobres�!
L�vitique 10:12
(12-20)
Les afflictions devraient nous inciter � accomplir notre devoir plut�t que de le n�gliger. Si nous ne pouvons pas l�ex�cuter, par pure incomp�tence et non par omission coupable, il ne nous sera rien reproch�; Dieu �prouvera alors un sentiment de mis�ricorde et non de jugement envers nous. Tirons bien tous les enseignements que ce passage nous donne�! Nous ne devons pas, en effet, nous lancer dans l�adoration de Dieu avec des c�urs irrespectueux, anim�s par de vaines affections, qui viennent de la chair�: mais offrons plut�t nos �mes, dans une bonne communion spirituelle. Si notre adoration n�est pas anim�e par ces sentiments, notre ��encens spirituel�� ne sera jamais allum� par le feu descendant du ciel et l�Esprit du Dieu saint ne sera jamais envoy� dans nos c�urs.
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Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Leviticus 10". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/leviticus-10.html. 1706.
versets 1-20
L�vitique 10:1
* Le p�ch� et la mort de Nadab et d�Abihu. (1, 2)
L�interdiction faite � Aaron et les siens de pleurer Nadab et Abihu. (3-7)
Le vin, interdit aux sacrificateurs, lors le leur service dans le tabernacle. (8-11)
L�interdiction aux sacrificateurs de consommer des choses saintes. (12-20)
(1, 2)
Apr�s Mo�se et Aaron, Nadab et Abihu �taient les seules personnes qui �taient dignes, parmi le peuple d�Isra�l, de recevoir les honneurs. On peut supposer que le fils d�Aaron ont �t� emport�s parleur orgueil, ayant l�esprit excit� par une consommation excessive de vin. Alors que le peuple �tait prostern� devant l��ternel, adorant Sa pr�sence et Sa gloire, Nadab et Abihu entr�rent dans le tabernacle pour y br�ler de l�encens, � un moment o� il ne fallait pas le faire�; au lieu d�entrer s�par�ment, ils entr�rent ensemble et utilis�rent du feu qui ne provenait pas de l�autel. Si ces actes avaient �t� accomplis dans l�ignorance, cela aurait pu �tre pardonn� par une ��offrande pour le p�ch�"��. Mais l��me qui agit par orgueil et qui ose se confronter � la justice et � la majest� divines, ne peut qu��tre retranch�e. Le salaire du p�ch�, c�est la mort.
Ces deux hommes moururent � cause de cette faute. Le p�ch� et la punition de ces sacrificateurs r�v�lent l�imperfection du sacerdoce des temps anciens�: personne ne pouvait les sauver du feu de la col�re divine, alors que Christ, au temps de l��vangile, aurait �t� capable de le faire, dans Son sacerdoce parfait.
L�vitique 10:3
(3-7)
Quand nous sommes dans l�affliction, quelle qu�en soit son intensit�, nos sentiments doivent �tre en accord avec l�enseignement de la Parole de Dieu. Qu�est-ce que Dieu veut nous dire dans ce texte�? Malgr� le coup terrible que re�ut Aaron, avec la perte de ses deux fils, malgr� son angoisse et sa consternation, il s�est soumis silencieusement � la justice de la correction divine. Quand Dieu nous corrige, apr�s que nous ayons p�ch�, nous devons accepter cette punition en nous disant�: ��tout cela vient du Seigneur, qu�Il accomplisse ce que bon Lui semble��.
Quand nous adorons Dieu, nous nous approchons de Lui, tels des ��sacrificateurs spirituels���: cela doit nous conduire � garder tout le s�rieux possible dans tous nos actes de d�votion. Quand nous travaillons pour le Seigneur, nous sommes pr�s de Lui et nous devons bien consid�rer qu�Il est le Dieu saint et qu�Il se vengera de tous ceux qui profaneront la saintet� de Son Nom.
L�vitique 10:8
(8-11)
��Vous ne boirez point de vin ni de boisson forte��.
Tel est l�ordre que l��ternel donna aux sacrificateurs, quand ces derniers �taient de service, dans le tabernacle. Il en est de m�me, de nos jours, en ce qui concerne les serviteurs de Dieu�: Ils ne doivent pas �tre adonn�s au vin, 1�Timoth�e�3:3. La consommation d�alcool nuit � la sant�: tout abus ne pouvant, � la longue, que conduire � la mort, engageons-nous vraiment � rester sobres�!
L�vitique 10:12
(12-20)
Les afflictions devraient nous inciter � accomplir notre devoir plut�t que de le n�gliger. Si nous ne pouvons pas l�ex�cuter, par pure incomp�tence et non par omission coupable, il ne nous sera rien reproch�; Dieu �prouvera alors un sentiment de mis�ricorde et non de jugement envers nous. Tirons bien tous les enseignements que ce passage nous donne�! Nous ne devons pas, en effet, nous lancer dans l�adoration de Dieu avec des c�urs irrespectueux, anim�s par de vaines affections, qui viennent de la chair�: mais offrons plut�t nos �mes, dans une bonne communion spirituelle. Si notre adoration n�est pas anim�e par ces sentiments, notre ��encens spirituel�� ne sera jamais allum� par le feu descendant du ciel et l�Esprit du Dieu saint ne sera jamais envoy� dans nos c�urs.