L�offrande de farine. (1-11) L�offrande des premiers fruits. (12-16)
(1-11)
Les offrandes de fleur de farine peuvent, dans un certain sens, �tre une image de Christ�: Dieu nous a en effet pr�sent� J�sus, comme �tant le Pain de vie, pour nos �mes�; cela souligne aussi notre obligation de reconnaissance envers Dieu, ainsi que la pratique des bonnes �uvres, pour les bienfaits de Sa Providence. Le terme de ��g�teau�� �tait, et est toujours actuellement utilis� pour d�finir plusieurs sortes de mets. La plus grande partie de cette offrande �tait destin�e � �tre consomm�e, � titre de nourriture et non br�l�e. Les offrandes de g�teau ont �t� d�crites apr�s celles qui devaient �tre br�l�es�: si nous ne portons aucun int�r�t au sacrifice de J�sus-Christ et si notre c�ur n�est pas consacr� � Dieu, aucune offrande de notre part, ne peut �tre accept�e par Lui.
Le levain est le symbole de l�orgueil, de la malice et de l�hypocrisie�; le miel repr�sente quant � lui, le plaisir sensuel. Le ��levain�� est en opposition directe avec l�humilit�, l�amour et la sinc�rit�, ces trois derni�res choses �tant approuv�es par Dieu�; elles poussent les hommes � l�exercice de la pi�t� et � la pratique des bonnes �uvres.
Christ, dans Son sacrifice, �tait totalement d�nu� des diff�rents ��attributs�� du levain�; Sa vie de souffrance et Son agonie �taient en totale opposition avec les plaisirs du monde. Son peuple est appel� � Le suivre et � Lui ressembler.
L�vitique 2:12
(12-16)
Le sel est pr�sent dans toutes les offrandes. Dans ce texte, Dieu laisse entendre aux Isra�lites que vu leur �tat de c�ur, leurs sacrifices sont sans ��saveur��. Tous les actes pieux doivent �tre accomplis avec un esprit v�n�r�. Le christianisme est le ��sel�� de la terre. Des instructions sont donn�es au sujet de l�offrande des pr�mices. Si, apr�s avoir eu une bonne r�colte, un homme, dans un esprit de reconnaissance � Dieu, d�cide de Lui pr�senter une offrande, il doit alors Lui apporter ses premiers �pis. Quelque soit l�offrande faite � Dieu, elle doit �tre compos�e de ce qu�il y a de meilleur, m�me si dans le cas du peuple d�Isra�l, certains �pis n��taient pas encore tout � fait m�rs. De l�huile et de l�encens devaient �tre ajout�s � cette offrande. La sagesse et l�humilit� doivent agr�menter l��me et le service des jeunes, afin de les rendre ��agr�ables��, par leurs ��pr�mices��, aux yeux de Dieu. Ce Dernier aime des premiers fruits de l�Esprit ainsi que la manifestation d�une pi�t� et d�un engagement pr�coces.
Le saint Amour divin est le ��feu�� par lequel toutes nos offrandes doivent �tre consum�es. L�encens qui devait accompagner les offrandes, est une image de la m�diation et de l�intercession de Christ, par Lequel, tout notre service pieux est agr��. Si toutes les ordonnances de ce texte sont aujourd�hui obsol�tes, nous devons b�nir Dieu de nous les avoir laiss�es dans Sa Parole.
Toute cette excellence, dans les offrandes de l��poque, se retrouve en Christ, dans Son �uvre de M�diateur qui elle, est toujours d�actualit�! Notre d�pendance � Son �gard doit �tre enti�re�: nous ne devons pas quitter Christ des yeux dans tout ce que nous accomplissons, si nous voulons que notre pi�t� soit agr��e par Dieu.
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Leviticus 2". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/leviticus-2.html. 1706.
versets 1-16
L�vitique 2:1
L�offrande de farine. (1-11)
L�offrande des premiers fruits. (12-16)
(1-11)
Les offrandes de fleur de farine peuvent, dans un certain sens, �tre une image de Christ�: Dieu nous a en effet pr�sent� J�sus, comme �tant le Pain de vie, pour nos �mes�; cela souligne aussi notre obligation de reconnaissance envers Dieu, ainsi que la pratique des bonnes �uvres, pour les bienfaits de Sa Providence. Le terme de ��g�teau�� �tait, et est toujours actuellement utilis� pour d�finir plusieurs sortes de mets. La plus grande partie de cette offrande �tait destin�e � �tre consomm�e, � titre de nourriture et non br�l�e. Les offrandes de g�teau ont �t� d�crites apr�s celles qui devaient �tre br�l�es�: si nous ne portons aucun int�r�t au sacrifice de J�sus-Christ et si notre c�ur n�est pas consacr� � Dieu, aucune offrande de notre part, ne peut �tre accept�e par Lui.
Le levain est le symbole de l�orgueil, de la malice et de l�hypocrisie�; le miel repr�sente quant � lui, le plaisir sensuel. Le ��levain�� est en opposition directe avec l�humilit�, l�amour et la sinc�rit�, ces trois derni�res choses �tant approuv�es par Dieu�; elles poussent les hommes � l�exercice de la pi�t� et � la pratique des bonnes �uvres.
Christ, dans Son sacrifice, �tait totalement d�nu� des diff�rents ��attributs�� du levain�; Sa vie de souffrance et Son agonie �taient en totale opposition avec les plaisirs du monde. Son peuple est appel� � Le suivre et � Lui ressembler.
L�vitique 2:12
(12-16)
Le sel est pr�sent dans toutes les offrandes. Dans ce texte, Dieu laisse entendre aux Isra�lites que vu leur �tat de c�ur, leurs sacrifices sont sans ��saveur��. Tous les actes pieux doivent �tre accomplis avec un esprit v�n�r�. Le christianisme est le ��sel�� de la terre. Des instructions sont donn�es au sujet de l�offrande des pr�mices. Si, apr�s avoir eu une bonne r�colte, un homme, dans un esprit de reconnaissance � Dieu, d�cide de Lui pr�senter une offrande, il doit alors Lui apporter ses premiers �pis. Quelque soit l�offrande faite � Dieu, elle doit �tre compos�e de ce qu�il y a de meilleur, m�me si dans le cas du peuple d�Isra�l, certains �pis n��taient pas encore tout � fait m�rs. De l�huile et de l�encens devaient �tre ajout�s � cette offrande. La sagesse et l�humilit� doivent agr�menter l��me et le service des jeunes, afin de les rendre ��agr�ables��, par leurs ��pr�mices��, aux yeux de Dieu. Ce Dernier aime des premiers fruits de l�Esprit ainsi que la manifestation d�une pi�t� et d�un engagement pr�coces.
Le saint Amour divin est le ��feu�� par lequel toutes nos offrandes doivent �tre consum�es. L�encens qui devait accompagner les offrandes, est une image de la m�diation et de l�intercession de Christ, par Lequel, tout notre service pieux est agr��. Si toutes les ordonnances de ce texte sont aujourd�hui obsol�tes, nous devons b�nir Dieu de nous les avoir laiss�es dans Sa Parole.
Toute cette excellence, dans les offrandes de l��poque, se retrouve en Christ, dans Son �uvre de M�diateur qui elle, est toujours d�actualit�! Notre d�pendance � Son �gard doit �tre enti�re�: nous ne devons pas quitter Christ des yeux dans tout ce que nous accomplissons, si nous voulons que notre pi�t� soit agr��e par Dieu.