Les offrandes des princes d�Isra�l, lors de la d�dicace du tabernacle. (1-9) Les offrandes des princes d�Isra�l, lors de la d�dicace de l�autel. (10-89)
(1-9)
Les offrandes des princes d�Isra�l, pour le service du tabernacle, ne furent faites que lorsque ce dernier fut totalement achev�. Les offrandes volontaires font partie des observances de la religion. Plus il y a de volontaires dans le service religieux, plus ils trouvent d�opportunit�s pour servir Dieu. � peine le tabernacle �tait-il termin� que d�j� des dons �taient faits, pour pouvoir le transporter. D�s que nous sommes �tablis sur cette terre, nous devons nous pr�parer spirituellement � la quitter, en vue du grand d�part vers l�au-del�!
Nombres 7:10
(10-89)
Les princes et les grands d�Isra�l tenaient � �tre particuli�rement actifs pour le service divin. Voici un bon exemple pour ceux qui ont de l�autorit� ou qui d�tiennent un poste �lev�; compte tenu de leur pouvoir, ils doivent tout mettre en �uvre, l� o� ils se trouvent, pour l�avancement du de l��glise. Bien qu�il s�agissait d�un moment de joie et de r�jouissance, il y avait, au centre de chaque sacrifice, une offrande pour le p�ch�. Ce doit �tre pareil pour nous�: m�me quand nous servons le Seigneur de tout notre c�ur, avec joie, nous devons bien garder � l�esprit que le p�ch� nous entoure constamment et nous devons nous repentir en cons�quence.
Dans tous nos �lans vers Dieu, nous devons, par la foi, regarder vers Christ, Celui qui s�est offert pour nos p�ch�s. Chacun des princes d�Isra�l apportait ses offrandes en une seule journ�e.
Le travail pour le Seigneur ne doit pas �tre fait de mani�re confuse ou � la h�te�: il faut pendre son temps pour l�effectuer correctement. Si ce service peut �ventuellement prendre du temps, plusieurs jours, nous ne devons pas le consid�rer comme une corv�e ou un fardeau.
Dans ce texte, toutes les offrandes �taient identiques�; toutes les tribus d�Isra�l offraient une part �gale sur l�autel, avec le m�me empressement, tant pour leurs offrandes que pour leurs sacrifices. Celui qui parlait maintenant � Mo�se, du haut du propitiatoire, entre les ch�rubins, n��tait autre que la Parole de Dieu, dans Sa divine Majest�, la seconde personne de la Trinit�, Jean�1:1-14*�; toute communion entre Dieu et l�homme ne peut se faire que par l�interm�diaire de Son Fils, Celui qui a cr�� le monde et qui dirige l��glise, Celui qui est le m�me hier, aujourd�hui et �ternellement.
* Remarque?: cette r�f�rence a �t� ajout�e par le traducteur, pour rendre le texte plus explicite.
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Numbers 7". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/mhn/numbers-7.html. 1706.
versets 1-89
Nombres 7:1
Les offrandes des princes d�Isra�l, lors de la d�dicace du tabernacle. (1-9)
Les offrandes des princes d�Isra�l, lors de la d�dicace de l�autel. (10-89)
(1-9)
Les offrandes des princes d�Isra�l, pour le service du tabernacle, ne furent faites que lorsque ce dernier fut totalement achev�. Les offrandes volontaires font partie des observances de la religion. Plus il y a de volontaires dans le service religieux, plus ils trouvent d�opportunit�s pour servir Dieu. � peine le tabernacle �tait-il termin� que d�j� des dons �taient faits, pour pouvoir le transporter. D�s que nous sommes �tablis sur cette terre, nous devons nous pr�parer spirituellement � la quitter, en vue du grand d�part vers l�au-del�!
Nombres 7:10
(10-89)
Les princes et les grands d�Isra�l tenaient � �tre particuli�rement actifs pour le service divin. Voici un bon exemple pour ceux qui ont de l�autorit� ou qui d�tiennent un poste �lev�; compte tenu de leur pouvoir, ils doivent tout mettre en �uvre, l� o� ils se trouvent, pour l�avancement du de l��glise. Bien qu�il s�agissait d�un moment de joie et de r�jouissance, il y avait, au centre de chaque sacrifice, une offrande pour le p�ch�. Ce doit �tre pareil pour nous�: m�me quand nous servons le Seigneur de tout notre c�ur, avec joie, nous devons bien garder � l�esprit que le p�ch� nous entoure constamment et nous devons nous repentir en cons�quence.
Dans tous nos �lans vers Dieu, nous devons, par la foi, regarder vers Christ, Celui qui s�est offert pour nos p�ch�s. Chacun des princes d�Isra�l apportait ses offrandes en une seule journ�e.
Le travail pour le Seigneur ne doit pas �tre fait de mani�re confuse ou � la h�te�: il faut pendre son temps pour l�effectuer correctement. Si ce service peut �ventuellement prendre du temps, plusieurs jours, nous ne devons pas le consid�rer comme une corv�e ou un fardeau.
Dans ce texte, toutes les offrandes �taient identiques�; toutes les tribus d�Isra�l offraient une part �gale sur l�autel, avec le m�me empressement, tant pour leurs offrandes que pour leurs sacrifices. Celui qui parlait maintenant � Mo�se, du haut du propitiatoire, entre les ch�rubins, n��tait autre que la Parole de Dieu, dans Sa divine Majest�, la seconde personne de la Trinit�, Jean�1:1-14*�; toute communion entre Dieu et l�homme ne peut se faire que par l�interm�diaire de Son Fils, Celui qui a cr�� le monde et qui dirige l��glise, Celui qui est le m�me hier, aujourd�hui et �ternellement.
* Remarque?: cette r�f�rence a �t� ajout�e par le traducteur, pour rendre le texte plus explicite.