La main de l��ternel?: expression d�signant ici la mortalit�, comme Deut�ronome�2.15?; 2�Samuel�24.14
Verset 6
Tout b�tail des �gyptiens. L��gypte est encore aujourd�hui expos�e � de fr�quentes �pizooties, telles que celle de 1786, qui extermina presque tout le b�tail et la peste bovine de 1842. Ici il ne s�agit pas seulement du gros et menu b�tail, mais encore des chevaux, des �nes et des chameaux. Le caract�re miraculeux de la plaie ressort aussi de la pr�servation d�Isra�l.
On voit par ce qui suit (versets 9, 10, 19, etc.) que l�expression tout b�tail (litt�ralement) signifie non?: tout le b�tail, mais du b�tail de toute esp�ce et en tous lieux.
Verset 8
Sixi�me plaie?: Les pustules (8-12)
Versets 8 � 9
Dans le Deut�ronome (Exode�28.27), il est parl� de l�ulc�re d��gypte. C�est probablement l�anthrax ou charbon, tumeur inflammatoire qui affecte l�homme et les animaux. L�acte symbolique par lequel Mo�se et Aaron font �clater cette plaie a un caract�re sinistre et mena�ant. Il a pour but de faire comprendre clairement aux �gyptiens de qui provient cette fois le fl�au, qui leur est connu comme plaie naturelle.
Le roi ne para�t pas avoir �t� atteint par cette plaie dont �taient frapp�s ses magiciens eux-m�mes. Cette tol�rance de Dieu est peut-�tre ce qui l�encourage � une nouvelle r�sistance.
Verset 13
Septi�me plaie?: La gr�le (13-35)
L�annonce g�n�rale des trois derni�res plaies (13 �17) pr�c�de l�annonce sp�ciale de la septi�me (18 � 22). Chacune des plaies de cette derni�re s�rie am�ne un changement dans les dispositions de Pharaon?; mais ce changement n�est que momentan�.
De bon matin?; comparez Exode�7.15 et Exode�8.20
Verset 15
Et que je te frappe de la peste. Les deux plaies pr�c�dentes avaient frapp� de mort le b�tail et fait souffrir les hommes, mais sans les tuer. On s�attendrait, apr�s cela, � ce que, selon une progression naturelle, les plaies suivantes consistassent en une mortalit� qui frapp�t les hommes et Pharaon lui-m�me. Et pourtant, il n�en est rien. Dieu lui-m�me d�clare ici que c�est bien ce qui aurait eu lieu, s�il n�avait un motif de faire subsister encore Pharaon, non plus par piti� pour lui (car il est d�j� condamn�), mais afin de faire �clater sa propre puissance.
Verset 18
Telle qu�il n�y en a pas eu en �gypte. La gr�le est rarement consid�rable dans ce pays-l�. Elle est inconnue dans la Haute-�gypte. L��gypte moyenne et le Delta en sont parfois atteintes pendant les mois d�hiver.
Verset 27
C�est l��ternel qui a raison. Ces mots signalent un progr�s. Pharaon n�a c�d� jusqu�ici qu�au droit du plus fort?; il reconna�t maintenant que la justice aussi est du c�t� de Dieu. Mais ce progr�s dans la connaissance, n��tant pas accompagn� d�un repentir s�rieux, ne fera que rendre plus incurable l�endurcissement qui le suivra.
Verset 28
Tonnerre. L�h�breu dit?: Voix de Dieu. C�est dans cette langue le terme propre pour d�signer le tonnerre.
Verset 31
En �gypte l�orge se moissonne en mars?; l�on �tait donc � la fin de janvier ou au commencement de f�vrier, ce qui concorde avec les versets 19 et 20, puisque c�est de janvier � avril que le b�tail reste � la campagne.
L��tat beaucoup moins avanc� du bl� et de l��peautre, qui les pr�serva de la gr�le, fait comprendre comment les sauterelles, dans la plaie suivante, trouv�rent encore quelque chose � ravager.
Verset 34
� la fin de la plaie pr�c�dente, verset 12, �tait rapport� pour la premi�re fois l�acte de l��ternel par lequel il endurcit Pharaon (voir note Exode�4.21). On voit par ce qui est dit au verset 34 que cet endurcissement provenant de Dieu n�avait pas encore �t� toute libert� � Pharaon, puisque lui-m�me appesantit encore son c�ur?; il �touffe la derni�re lueur de sagesse qui restait en lui.
Informations bibliographiques bibliography-text="Commentaire sur Exodus 9". "La Bible Annot�e de Neuch�tel". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/neu/exodus-9.html.
versets 1-35
Verset 1
Cinqui�me plaie?: La peste du b�tail (1-7)
Verset 3
La main de l��ternel?: expression d�signant ici la mortalit�, comme Deut�ronome�2.15?; 2�Samuel�24.14
Verset 6
Tout b�tail des �gyptiens. L��gypte est encore aujourd�hui expos�e � de fr�quentes �pizooties, telles que celle de 1786, qui extermina presque tout le b�tail et la peste bovine de 1842. Ici il ne s�agit pas seulement du gros et menu b�tail, mais encore des chevaux, des �nes et des chameaux. Le caract�re miraculeux de la plaie ressort aussi de la pr�servation d�Isra�l.
On voit par ce qui suit (versets 9, 10, 19, etc.) que l�expression tout b�tail (litt�ralement) signifie non?: tout le b�tail, mais du b�tail de toute esp�ce et en tous lieux.
Verset 8
Sixi�me plaie?: Les pustules (8-12)
Versets 8 � 9
Dans le Deut�ronome (Exode�28.27), il est parl� de l�ulc�re d��gypte. C�est probablement l�anthrax ou charbon, tumeur inflammatoire qui affecte l�homme et les animaux. L�acte symbolique par lequel Mo�se et Aaron font �clater cette plaie a un caract�re sinistre et mena�ant. Il a pour but de faire comprendre clairement aux �gyptiens de qui provient cette fois le fl�au, qui leur est connu comme plaie naturelle.
Le roi ne para�t pas avoir �t� atteint par cette plaie dont �taient frapp�s ses magiciens eux-m�mes. Cette tol�rance de Dieu est peut-�tre ce qui l�encourage � une nouvelle r�sistance.
Verset 13
Septi�me plaie?: La gr�le (13-35)
L�annonce g�n�rale des trois derni�res plaies (13 �17) pr�c�de l�annonce sp�ciale de la septi�me (18 � 22). Chacune des plaies de cette derni�re s�rie am�ne un changement dans les dispositions de Pharaon?; mais ce changement n�est que momentan�.
De bon matin?; comparez Exode�7.15 et Exode�8.20
Verset 15
Et que je te frappe de la peste. Les deux plaies pr�c�dentes avaient frapp� de mort le b�tail et fait souffrir les hommes, mais sans les tuer. On s�attendrait, apr�s cela, � ce que, selon une progression naturelle, les plaies suivantes consistassent en une mortalit� qui frapp�t les hommes et Pharaon lui-m�me. Et pourtant, il n�en est rien. Dieu lui-m�me d�clare ici que c�est bien ce qui aurait eu lieu, s�il n�avait un motif de faire subsister encore Pharaon, non plus par piti� pour lui (car il est d�j� condamn�), mais afin de faire �clater sa propre puissance.
Verset 18
Telle qu�il n�y en a pas eu en �gypte. La gr�le est rarement consid�rable dans ce pays-l�. Elle est inconnue dans la Haute-�gypte. L��gypte moyenne et le Delta en sont parfois atteintes pendant les mois d�hiver.
Verset 27
C�est l��ternel qui a raison. Ces mots signalent un progr�s. Pharaon n�a c�d� jusqu�ici qu�au droit du plus fort?; il reconna�t maintenant que la justice aussi est du c�t� de Dieu. Mais ce progr�s dans la connaissance, n��tant pas accompagn� d�un repentir s�rieux, ne fera que rendre plus incurable l�endurcissement qui le suivra.
Verset 28
Tonnerre. L�h�breu dit?: Voix de Dieu. C�est dans cette langue le terme propre pour d�signer le tonnerre.
Verset 31
En �gypte l�orge se moissonne en mars?; l�on �tait donc � la fin de janvier ou au commencement de f�vrier, ce qui concorde avec les versets 19 et 20, puisque c�est de janvier � avril que le b�tail reste � la campagne.
L��tat beaucoup moins avanc� du bl� et de l��peautre, qui les pr�serva de la gr�le, fait comprendre comment les sauterelles, dans la plaie suivante, trouv�rent encore quelque chose � ravager.
Verset 34
� la fin de la plaie pr�c�dente, verset 12, �tait rapport� pour la premi�re fois l�acte de l��ternel par lequel il endurcit Pharaon (voir note Exode�4.21). On voit par ce qui est dit au verset 34 que cet endurcissement provenant de Dieu n�avait pas encore �t� toute libert� � Pharaon, puisque lui-m�me appesantit encore son c�ur?; il �touffe la derni�re lueur de sagesse qui restait en lui.