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Saturday, September 28th, 2024
the Week of Proper 20 / Ordinary 25
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Bible Commentaries
La Bible Annotée de Neuchâtel La Bible Annotée de Neuchâtel
Déclaration de droit d'auteur
Ces fichiers sont dans le domaine public.
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Hebrews 13". "La Bible Annot�e de Neuch�tel". https://beta.studylight.org/commentaries/fre/neu/hebrews-13.html.
bibliography-text="Commentaire sur Hebrews 13". "La Bible Annot�e de Neuch�tel". https://beta.studylight.org/
versets 1-25
Plan du commentaire biblique de H�breux 13
Pr�ceptes g�n�raux
L�auteur recommande � ses lecteurs l�amour fraternel, l�exercice de l�hospitalit�, l�int�r�t pour les prisonniers, la puret� dans le mariage, le contentement d�esprit (1-6).
Demeurer ferme dans la foi au Christ immuable
Fid�lit� dans la conduite et dans la profession de la foi
Verset 1
Fid�lit� dans la conduite et dans la profession de la foi (1-16)
Grec?: demeure, sous-entendu?: parmi vous (comparer H�breux�10.24?; Romains�12.10?; 1�Thessaloniciens�4.9?; 1�Pierre�1.22?; 2�Pierre�1.7).
Les �glises de la Palestine s��taient, d�s le commencement, distingu�es par leur amour fraternel (Actes�2.45-47?; Actes�4.32-37)?; peut-�tre cet amour s��tait-il refroidi et �tait-ce l� un signe de la rechute que l�auteur voudrait pr�venir (Matthieu�24.12, note).
Les versets H�breux�13.2?; H�breux�13.3 signalent sp�cialement deux occasions o� devait s�exercer cet amour des fr�res.
Verset 2
Lot, Abraham (Gen�se 18 et Gen�se 19).
Tels enfants de Dieu, envers qui s�exerce l�hospitalit�, peuvent �tre, pour la famille qui les re�oit, ces anges (envoy�s de Dieu) qui y laissent de pr�cieuses b�n�dictions.
Sans le savoir?! ce que nous faisons pour Dieu a souvent une port�e plus grande que nous ne savons (Matthieu�25.40-45?; Matthieu�26.12).
Voir sur ce devoir de l�hospitalit�, que les chr�tiens de la primitive �glise et ceux de l��glise de J�rusalem en particulier, avaient tant d�occasions de pratiquer, Romains�12.13?; 1�Pierre�4.9?; 1�Timoth�e�3.2?; 1�Timoth�e�1.8.
Verset 3
Comparer H�breux�10.33?; H�breux�10.34?; Matthieu�25.36.
Tous les chr�tiens, ayant la m�me foi, le m�me esprit, le m�me amour fraternel (H�breux�13.1), sont solidaires les uns des autres (1�Corinthiens�12.26), quand l�un est li�, maltrait�, tous le sont en lui.
Les derni�res paroles, exprimant la raison de cette solidarit�?: comme �tant aussi vous-m�mes dans un corps, ont �t� diversement interpr�t�es.
Calvin entend par le corps o� sont les chr�tiens le corps de Christ, l��glise?; de l� nos anciennes versions?: �?comme �tant du m�me corps?�, sens tr�s beau, mais qui n�est pas dans le texte. B�ze traduit?: �?comme si, en personne, vous �tiez maltrait�s?�.
Enfin, la plupart des interpr�tes, prenant les termes tels qu�ils sont, y trouvent cette pens�e?: �tant dans un corps et vivant dans ce monde, vous �tes expos�s aux m�mes dangers, aux m�mes souffrances qui t�t ou tard vous atteindront?: prenez donc part aux �preuves de vos fr�res.
Verset 4
Il faut traduire ainsi le commencement de ce verset et non?: le mariage est honorable � tous �gards.
Ce que veut l�auteur, c�est condamner l�adult�re et tous les genres de souillure de la chair, comme le montrent les mots qu�il ajoute?: et le lit conjugal sans souillure, car Dieu jugera les fornicateurs et les adult�res.
Ce contexte montre que son intention n�est pas de combattre l�erreur de ceux qui d�pr�ciaient l�institution du mariage (1�Timoth�e�4.3).
Au lieu de?: � tous �gards (grec), en toutes choses, beaucoup d�interpr�tes traduisent?: parmi tous, chez tous.
L�auteur voudrait dire?: le mariage doit �tre �galement respect� par tous, par ceux qui sont mari�s et qui doivent tenir leur union conjugale pour une chose sainte et par ceux qui, n��tant pas mari�s eux-m�mes, doivent honorer le mariage d�autrui.
Verset 5
Ou �?votre disposition d�esprit?� (comparer 1�Timoth�e�3.3).
Voir l�exemple que donnait l�ap�tre Paul (Philippiens�4.11?; Philippiens�4.12?; comparez 1�Timoth�e�6.6).
Pr�cieuse promesse souvent r�p�t�e par Dieu � ses enfants (Gen�se�28.15?; Deut�ronome�31.6?; Deut�ronome�31.8), dans les positions les plus diverses (Josu�1.5?; 1�Chroniques�28.20).
Il y a, dans le texte original, une double n�gation dont la force pourrait se rendre ainsi?: �?Je ne te laisserai certainement pas, je ne t�abandonnerai certainement pas?�.
Verset 6
Voir Psaumes�118.6, comparez Psaumes�56.5?; Psaumes�56.12.
Verset 7
Ces conducteurs (H�breux�13.17?; H�breux�13.24) sont tous ceux qui avaient exerc� quelque minist�re dans l��glise?: des anciens, des diacres et des �vang�listes, comme �tienne?; m�me des ap�tres, dont quelques-uns �taient morts.
On a conclu de ce terme de conducteurs que l��p�tre �tait adress�e � Rome, o� il para�t avoir �t� en usage (Zahn, Einleitung, I, page 484). Mais il �tait aussi employ� � J�rusalem (Actes�15.22).
L�issue de leur vie (grec conduite), la fin d�une vie de fid�lit� et de d�vouement accomplie dans les travaux et les souffrances pour Christ, d�une vie qui s��tait termin�e par le martyre, �tait un puissant t�moignage en faveur de la v�rit� de l��vangile.
C�est l� ce qu�en tous les temps il faut consid�rer s�rieusement, pour imiter la foi (1�Corinthiens�4.16) de ceux qui ont laiss� de tels exemples.
Verset 8
Par opposition aux �?conducteurs?� humains qui passent (H�breux�13.7) et aux doctrines changeantes des hommes (H�breux�13.9).
Hier, aujourd�hui, �ternellement, ces mots embrassent le pass�, le pr�sent, l�avenir, tous les temps d��ternit� en �ternit� (comparer H�breux�1.8-12?; Apocalypse�1.8?; Apocalypse�1.17).
Ainsi toujours Christ est le m�me dans son amour dans sa fid�lit�, dans son action pour r�pandre la v�rit� et la vie. Source in�puisable de confiance pour les siens?!
Verset 9
Grec?: Ne soyez pas emport�s de mani�re � passer � c�t� de J�sus-Christ qui, dans son immutabilit�, doit devenir le rocher de vos �mes (�ph�siens�4.14?; �ph�siens�4.15).
Ni les doctrines diverses (portant sur une grande vari�t� de points) et �trang�res (inspir�es par un esprit oppos� � celui de l��vangile), qui provenaient de la sp�culation ou de la curiosit�, ni le formalisme juif, qui pla�ait la pi�t� dans l�usage de certains aliments ou la participation aux repas sacr�s (1�Corinthiens�10.18), ne pouvait affermir le c�ur, lui donner la certitude le courage, la paix. Il n�y a pour cela qu�un moyen?: la gr�ce re�ue par une foi vivante.
La derni�re proposition est susceptible de deux constructions?:
Verset 12
Ces trois versets (H�breux�13.10-12) sont destin�s � r�futer l�erreur de ceux qui, dans leur faux attachement au juda�sme, esp�raient pouvoir �?affermir leur c�ur?� par l�usage d�aliments consacr�s dans les sacrifices (H�breux�13.9), ou trouver la justice dans ces sacrifices m�mes.
L�auteur veut leur prouver que cette erreur, non seulement ne leur profite de rien (H�breux�13.9), mais les exclut de tous les avantages du sacrifice de Christ. Pour cela, il affirme trois choses?:
Ce sacrifice, dont nous nourrissons nos �mes, vous vous en excluez si vous retournez aux sacrifices symboliques institu�s par la loi. Ceux-ci sont d�sormais inutiles?; et, d�apr�s les prescriptions m�mes de cette loi, ils ne nous offrent pas de repas auxquels nous puissions participer pour affermir nos �mes (H�breux�13.9).
D�apr�s une autre interpr�tation (Weiss), l�auteur voudrait dire simplement?: Il ne peut y avoir pour les chr�tiens de repas attach�s � des sacrifices, car l�unique sacrifice qu�ils connaissent et qui constitue leur autel (H�breux�13.10), le sacrifice de Christ, ne saurait, en sa qualit� de sacrifice pour le p�ch� (H�breux�13.11), �tre accompagn� d�un repas, puisque, d�apr�s les prescriptions de la loi, il �tait interdit, m�me aux sacrificateurs, de manger de la chair des victimes offertes pour le p�ch�
Verset 13
Ce fut pour J�sus la derni�re profondeur de l�humiliation et de l�opprobre, que d��tre ainsi rejet� par son peuple comme une victime charg�e d�ex�cration, condamn� comme un blasph�mateur � mourir hors du camp (L�vitique�24.14).
Or, ses rachet�s qui, par la foi en son sacrifice, obtiennent le pardon de leurs p�ch�s et la r�conciliation avec Dieu, ont le devoir sacr� de porter son opprobre (H�breux�11.26), de le suivre jusque dans ses humiliations et dans sa mort, pour s�offrir comme lui tout entiers � Dieu.
Dans un sens, Christ est mort pour que nous ne mourions pas?; dans un autre sens, il est mort pour nous rendre capables de mourir avec lui (comparer 2�Corinthiens�5.14, note).
Hors du camp signifie donc d�abord?: hors du juda�sme qui a crucifi� son Messie, mais aussi hors du monde qui crucifie toujours le Sauveur, et, s�il le faut, hors de cette vie (H�breux�13.14).
Verset 14
Puissant motif de �?sortir vers J�sus hors du camp?� (H�breux�13.14).
Les biens terrestres, que nous perdrons � agir ainsi, sont passagers et ne sauraient balancer les avantages �ternels que nous trouvons � suivre Christ (H�breux�11.10 et H�breux�13.13-16).
Verset 15
Ayant le sacrifice parfait pour l�expiation et le pardon de nos p�ch�s, n�attachons plus nos c�urs aux sacrifices symboliques, mais offrons-en de vraiment spirituels (1�Pierre�2.5), des sacrifices de louange et de fid�le confession du nom de Dieu, qui supposent le sacrifice du c�ur et de la vie (Romains�12.1, note).
Ces sacrifices ne deviennent acceptables et ne sont agr��s de Dieu que par lui, par ce Sauveur et M�diateur, en vertu de l�amour dont il nous a aim�s le premier.
L�auteur appelle ce sacrifice de louange (expression emprunt�e de L�vitique�7.11) le fruit des l�vres, d�apr�s Os�e�14.2 dans la version grecque des Septante.
Enfin les mots?: qui confessent son nom, sont envisag�s par plusieurs interpr�tes comme une r�miniscence du Psaumes�54.8
Verset 16
Si l�action de gr�ce et la confession du nom de Dieu sont ce sacrifice de louange que Dieu r�clame, il ne faut pas oublier qu�il y a d�autres sacrifices de la reconnaissance et de l�amour que nous devons lui offrir dans la personne de nos fr�res pauvres et souffrants.
N�oubliez pas la bienfaisance et la communication (grec), la vertu qui vous portera � �?faire part?� de vos biens (Romains�15.26?; 2�Corinthiens�8.4).
Si nos c�urs sont � Dieu, nos biens seront � nos fr�res.
On pourrait entendre aussi ce mot de la communion mutuelle de l�amour fraternel, comme dans Actes�2.42?; Galates�2.9?; 1�Jean�1.7.
Il ajouterait alors une id�e nouvelle � celle qu�exprime le terme pr�c�dent. L�amour fraternel et les relations intimes qu�il cr�e, peuvent �tre appel�s, aussi bien que la confession de son nom, sacrifices agr�ables � Dieu.
Verset 17
Ob�issance aux conducteurs et intercession
L�auteur invite les lecteurs � montrer de la d�f�rence envers leurs conducteurs pour que ceux-ci puissent remplir leur t�che avec joie. Il leur demande de prier pour lui, afin qu�il leur soit rendu bient�t (17-19).
V�ux
L�auteur souhaite � ses lecteurs que le Dieu de paix, qui a ressuscit� J�sus-Christ, les rende accomplis. Il les supplie d�accueillir l�exhortation qu�il leur adresse (20-22).
Communications
Timoth�e a �t� rel�ch�; s�il vient bient�t, l�auteur ira avec lui. Il salue les conducteurs et tous les membres de l��glise et leur transmet les salutations de ceux d�Italie. Que la gr�ce soit avec eux tous�! (23-25).
Recommandations, v�ux, salutations (17-25)
H�breux�13.7?; 1�Thessaloniciens�5.12?; 1�Thessaloniciens�5.13?; 1�Pierre�5.2.
Ils veillent pour vos �mes, c�est-�-dire au salut de vos �mes.
Grande responsabilit� des pasteurs (�z�chiel 33) qui doivent rendre compte des �mes?!
Responsabilit� non moins grande des troupeaux qui, en n��tant pas soumis (grec en ne c�dant pas), peuvent entraver l��uvre de leurs conducteurs, � leur propre d�savantage spirituel?!
Verset 18
Comparer Romains�15.30?; 2�Corinthiens�1.11?; �ph�siens�6.19?; Colossiens�4.3?; 1�Thessaloniciens�5.25?; 2�Thessaloniciens�3.1.
On peut se demander si l�auteur comprend dans le pluriel nous ses collaborateurs?; en tout cas, il ne pense pas aux �?conducteurs?� mentionn�s au verset pr�c�dent, car il ne se compte pas parmi eux.
Ces paroles motivent la demande de pri�res que l�auteur adresse � ses fr�res et doivent �loigner les pr�jug�s qui pouvaient exister contre lui dans leur c�ur?: il affirme qu�il s�assure fr�quemment, tous les jours (verbe au pr�sent?; le texte re�u porte le verbe au parfait?: nous sommes assur�s), qu�il a une bonne conscience.
Le t�moignage de sa conscience ne suffit pas au serviteur de Dieu, il lui faut de plus la confiance de ses fr�res pour qu�il puisse leur faire du bien.
Verset 19
Ces mots se rapportent � la demande de prier pour lui (H�breux�13.18)?; et telle est sa confiance dans les pri�res de ses fr�res, qu�il fait d�pendre d�elles son retour aupr�s d�eux.
Verset 21
L�auteur, qui a demand� les pri�res de ses fr�res, prie lui-m�me pour eux et dans ce v�u, si riche en pens�es chr�tiennes, il jette un dernier regard sur son �p�tre enti�re, demandant � Dieu d�en appliquer � ses lecteurs les saintes v�rit�s.
Il s�adresse au Dieu de la paix qui est la source de la paix, qui la donn� volontiers, c�est par ce nom que Paul aime � d�signer Dieu (Romains�15.33?; Romains�16.20?; Philippiens�4.9?; 1�Thessaloniciens�5.23).
Notre auteur ajoute que ce Dieu a ramen� d�entre les morts notre Seigneur J�sus, couronnant par l� l��uvre du Sauveur. C�est la premi�re fois que la r�surrection de J�sus-Christ est mentionn�e dans notre �p�tre, mais elle est suppos�e dans la description de l�entr�e de Christ, souverain sacrificateur de la nouvelle Alliance, dans les lieux saints, aupr�s de Dieu.
L�auteur d�signe le Sauveur par ces termes remarquables?: le grand Pasteur des brebis, pour le placer bien au-dessus de tous les �?conducteurs?� (H�breux�13.17) qui d�pendent de lui et ne sont que ses serviteurs. Il rappelle que J�sus m�rite seul ce titre, parce qu�il a vers� son sang pour ses brebis (Jean�10.11) et que ce sang a scell� une alliance (H�breux�9.15?; H�breux�9.24) qui est �ternelle, par opposition � l�Alliance mosa�que qui avait vieilli et qui allait �tre abolie (H�breux�8.13).
Appuy� sur ces v�rit�s, ou plut�t sur ces faits divins, il exprime son v�u pour ses fr�res?: c�est que ce Dieu de la paix (grec) les forme compl�tement � toute bonne �uvre pour faire sa volont� (1�Pierre�5.10).
Mais comment parviendront-ils � cette perfection qui est selon la volont� divine?;?? L�auteur sait que Dieu les y am�nera lui-m�me?: faisant pour lui-m�me en nous ce qui lui est agr�able, car c�est Dieu qui accomplit en nous tout ce qu�il nous commande (�ph�siens�2.10?; Philippiens�2.13).
Le mot?: pour lui-m�me se lit dans Codex Sinaiticus, A, C et doit �tre maintenu?; il a �t� omis dans quelques documents, parce qu�on n�en comprenait pas le sens.
A, C, versions, portent?: en vous, c�est probablement une correction amen�e par le vous de la phrase pr�c�dente.
Enfin, cette parfaite sanctification ne peut s�op�rer que par J�sus-Christ vivant et agissant en nous?; elle n�a pas pour but notre glorification, mais sa gloire �ternelle qui subsistera aux si�cles des si�cles.
Tout l��vangile et toute la vie chr�tienne se trouvent r�sum�s dans ce v�u.
Verset 22
Grec?: �?la parole d�exhortation?�, que je vous adresse dans cette lettre. Requ�te empreinte de modestie, bien propre � gagner les c�urs (Romains�15.14-16).
Bien que sa lettre soit l�une des plus longues du Nouveau Testament, l�auteur a le sentiment qu�il s�est exprim� aussi bri�vement que possible, �tant donn� l�importance des sujets trait�s et l�abondance de ses pens�es.
Verset 23
On peut traduire aussi par l�imp�ratif?: sachez.
Les donn�es historiques manquent absolument sur ce fait (voir l�Introduction). En communiquant cette nouvelle � ses lecteurs, l�auteur exprime encore une fois (comparez H�breux�13.19) le d�sir de les revoir bient�t.
Verset 24
Cette salutation n�indique pas avec certitude le pays d�o� la lettre a �t� �crite. Ce pourrait �tre d�une contr�e o� se trouvaient des fr�res venus d�Italie, mais c�est plus probablement de Rome, les mots ceux d�Italie d�signent, en ce cas, l�entourage de l�auteur (voir l�Introduction).